Remis depuis plus de vingt ans à l'équinoxe d'automne, le Prix Gaïa s'est imposé au fil du temps comme une distinction de référence dans le vaste domaine de l’horlogerie, qu'elle soit abordée par le regard de l'artisan, de l'industriel ou du chercheur. Unique dans son genre, ce prix honore des femmes et des hommes dont les carrières sont dédiées à la mesure du temps.
Anita Porchet (au centre) : Lauréate dans la catégorie Artisanat-Création, pour son rôle fondamental, sa persévérance et son indépendance dans la redynamisation d’une discipline en voie de disparition: l’émaillage. Elle a travaillé avec les plus grandes maisons, de Patek Philippe à Vacheron Constantin. Les amateurs d’horlogerie et de métiers d’art connaissent bien son œuvre.
Jonathan Betts (à gauche) : Lauréat dans la catégorie Histoire-Recherches pour sa contribution essentielle à l’histoire de la mesure du temps dans le domaine de l'horlogerie britannique et des chronomètres de marins.
Giulio Papi (à droite) : Lauréat dans la catégorie Esprit d'entreprise pour le rôle majeur qu’il a joué dans le développement des complications de montres bracelets en fondant la société Renaud et Papi en 1986.
Chaque année, le jury sollicité par le conservateur du MIH est composé de personnalités suisses et étrangères parmi lesquelles on retrouve des experts de l’Université de Neuchâtel, de la Haute Ecole Arc, du Centre Intercommunal de Formation des Montagnes Neuchâteloises et des personnalités issues de milieux divers (culturel, journalistique, scientifique, économique).
Anita Porchet (au centre) : Lauréate dans la catégorie Artisanat-Création, pour son rôle fondamental, sa persévérance et son indépendance dans la redynamisation d’une discipline en voie de disparition: l’émaillage. Elle a travaillé avec les plus grandes maisons, de Patek Philippe à Vacheron Constantin. Les amateurs d’horlogerie et de métiers d’art connaissent bien son œuvre.
Jonathan Betts (à gauche) : Lauréat dans la catégorie Histoire-Recherches pour sa contribution essentielle à l’histoire de la mesure du temps dans le domaine de l'horlogerie britannique et des chronomètres de marins.
Giulio Papi (à droite) : Lauréat dans la catégorie Esprit d'entreprise pour le rôle majeur qu’il a joué dans le développement des complications de montres bracelets en fondant la société Renaud et Papi en 1986.
Chaque année, le jury sollicité par le conservateur du MIH est composé de personnalités suisses et étrangères parmi lesquelles on retrouve des experts de l’Université de Neuchâtel, de la Haute Ecole Arc, du Centre Intercommunal de Formation des Montagnes Neuchâteloises et des personnalités issues de milieux divers (culturel, journalistique, scientifique, économique).
