Michael Tay est un grand amateur de montres. Forcément, c’est le patron de l’un des plus grands groupes horlogers au monde, The Hour Glass, détaillant incontournable en Asie du sud-est et d’une partie de l’Asie.
Mais, Michael Tay est également un fin connaisseur en matière de costumes. L’homme a du goût. Un goût pour l’art sartorial classique et assumé. Il porte le costume telle une seconde peau. Une élégance discrète et raffinée.
Naturellement, Michael Tay peut s’habiller en bespoke de la tête au pied. Et forcément, il connait les meilleurs tailleurs du monde. Récemment, dans le cadre de sa série de vidéos « The Lives of Artists » rendant hommage à des artisans contemporains, The Hour Glass a mis en avant la famille de Luca.
Lire aussi : Demi-mesure, petite mesure ou grande mesure à vous de choisir selon vos envies
Mais, Michael Tay est également un fin connaisseur en matière de costumes. L’homme a du goût. Un goût pour l’art sartorial classique et assumé. Il porte le costume telle une seconde peau. Une élégance discrète et raffinée.
Naturellement, Michael Tay peut s’habiller en bespoke de la tête au pied. Et forcément, il connait les meilleurs tailleurs du monde. Récemment, dans le cadre de sa série de vidéos « The Lives of Artists » rendant hommage à des artisans contemporains, The Hour Glass a mis en avant la famille de Luca.
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Une famille de tailleurs très parisiens qui associe le style italien avec, de surcroit, une touche d’Espagne ! Marc de Luca, qui a reçu la Légion d’Honneur en septembre dernier est actuellement en pleine transmission de son entreprise à ses trois enfants : deux fils, Julien, Charles et une fille, Clara.
Tout commence en 1969 quand Mario de Luca s’associe à un autre tailleur, l’Espagnol Joseph Camps d’origine catalane. Camps de Luca est né. Depuis, ce grand nom de l’art sartorial est devenu synonyme de ce qui se fait de mieux au monde en matière de costumes en grande-mesure.
Le fameux « bespoke ». Camps de Luca, le « nec plus ultra » du sur-mesure et, aujourd’hui, maison familiale certifiée du label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV).
Tout commence en 1969 quand Mario de Luca s’associe à un autre tailleur, l’Espagnol Joseph Camps d’origine catalane. Camps de Luca est né. Depuis, ce grand nom de l’art sartorial est devenu synonyme de ce qui se fait de mieux au monde en matière de costumes en grande-mesure.
Le fameux « bespoke ». Camps de Luca, le « nec plus ultra » du sur-mesure et, aujourd’hui, maison familiale certifiée du label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV).
L’atelier Camps de Luca -discrètement- installé 11 rue des Pyramides à Paris, accueille une trentaine d’artisans. Des hommes et des femmes, tous les meilleurs dans leur spécialité : des culottiers, des apiéceurs, des giletiers, des boutonniéristes ou encore des monteurs de manches !
Camps de Luca est notamment connue des amateurs pour son appartenance à l’école parisienne, un style propre à ce tailleur parisien.
Entre autre, une emmanchure haute pour un meilleur confort, le fameux revers et son cran parisien et, bien évidemment, sa poche intérieure en forme de goutte et les initiales brodées discrètement sous la boutonnière de la manche.
Camps de Luca est notamment connue des amateurs pour son appartenance à l’école parisienne, un style propre à ce tailleur parisien.
Entre autre, une emmanchure haute pour un meilleur confort, le fameux revers et son cran parisien et, bien évidemment, sa poche intérieure en forme de goutte et les initiales brodées discrètement sous la boutonnière de la manche.
A noter qu’en plus de la grande mesure, Camps de Luca propose aussi depuis quelques années, l’Atelier de Luca qui présente une offre plus accessible en « petite mesure » (compter dans les 3.000 euros sur liasse).
Comme aime à le rappeler Marc de Luca, « mon père avait l’habitude de dire « Chi va piano, va sano e va lontano » ».
Espérons donc que la maison Camps de Luca poursuivra la création de ses splendides costumes pendant de nombreuses années encore, pour le plus grand plaisir des générations à venir.
Comme aime à le rappeler Marc de Luca, « mon père avait l’habitude de dire « Chi va piano, va sano e va lontano » ».
Espérons donc que la maison Camps de Luca poursuivra la création de ses splendides costumes pendant de nombreuses années encore, pour le plus grand plaisir des générations à venir.