Cette année marque donc le centième anniversaire de la mort de Ferdinand Hodler, disparu à Genève en 1918. Une belle occasion pour le monde de l’art, et notamment pour les grands musées helvétiques, de rendre hommage à ce représentant majeur du symbolisme et peintre emblématique de la Suisse, relativement méconnu en France.
Dans ces trois séries ultra-limitées de huit pièces chacune, JLC rend hommage à cet artiste qui a beaucoup représenté les paysages de lacs et de montagnes de Suisse rappelant l’environnement naturel de la Vallée de Joux où la manufacture est située depuis ses origines en 1833. A travers ces paysages dépeints tout en parallélisme, Ferdinand Hodler retranscrit sa vision de l’ordre de la nature.
Au recto de la pièce, c’est un beau travail de guillochage qui apparaît. L’artisan guillocheur a finement décoré le cadran grâce à une machine centenaire nécessitant savoir-faire et des années d’expérience. Le cadran est travaillé de petits losanges, qui apparaissent comme tressés et réalisés avec une extrême finesse pour un rendu des plus délicat. Cette gravure est ensuite recouverte d’un émail translucide, dont la couleur a été étudiée pendant de longues heures pour s’accorder parfaitement avec celle de la peinture reproduite au verso du boîtier.
Dans ces trois séries ultra-limitées de huit pièces chacune, JLC rend hommage à cet artiste qui a beaucoup représenté les paysages de lacs et de montagnes de Suisse rappelant l’environnement naturel de la Vallée de Joux où la manufacture est située depuis ses origines en 1833. A travers ces paysages dépeints tout en parallélisme, Ferdinand Hodler retranscrit sa vision de l’ordre de la nature.
Au recto de la pièce, c’est un beau travail de guillochage qui apparaît. L’artisan guillocheur a finement décoré le cadran grâce à une machine centenaire nécessitant savoir-faire et des années d’expérience. Le cadran est travaillé de petits losanges, qui apparaissent comme tressés et réalisés avec une extrême finesse pour un rendu des plus délicat. Cette gravure est ensuite recouverte d’un émail translucide, dont la couleur a été étudiée pendant de longues heures pour s’accorder parfaitement avec celle de la peinture reproduite au verso du boîtier.
Au verso de la Reverso Tribute Enamel, c’est une inspiration d’un chef-d’oeuvre de Ferdinand Hodler qui se découvre. Les artisans émailleurs ont passé une cinquantaine d’heures à reproduire le plus fidèlement possible le tableau du maître sur chaque montre afin de mettre au jour la grande sérénité qui s’en dégage. Chaque tableau reproduit représente divers défis pour les émailleurs de Jaeger-LeCoultre. Le premier étant bien sûr de reproduire une oeuvre d’art de grande taille sur une surface de 3cm2 !
Pour l’huile sur toile « Lac Léman avec le Mont Blanc dans la lumière du matin » (peint en 1918 – 74 x 150 cm), le travail s’est porté sur les lumières rose et or du matin. Au recto, c’est un gris clair très tendre qui a été choisi pour s’accorder aux couleurs de l’oeuvre. Les fondus du ciel et du lac reflétant la lumière sont exprimés par petites taches de couleurs transcrivant la grande douceur de ce paysage et l’unité parfaite qu’elle traduit.
Pour l’huile sur toile « Lac Léman avec le Mont Blanc dans la lumière du matin » (peint en 1918 – 74 x 150 cm), le travail s’est porté sur les lumières rose et or du matin. Au recto, c’est un gris clair très tendre qui a été choisi pour s’accorder aux couleurs de l’oeuvre. Les fondus du ciel et du lac reflétant la lumière sont exprimés par petites taches de couleurs transcrivant la grande douceur de ce paysage et l’unité parfaite qu’elle traduit.
Le tableau « Lac de Thoune aux reflets » (peint en 1904 – 89 x 100 cm) exprime une lumière plus vive comme celle du milieu de journée, où les bleus du lac et de la montagne se répondent puissamment. Le travail sur la transparence de l’eau laissant apparaitre les rochers au premier plan dans un dégradé de vert est remarquable. Il a inspiré l’artisan émailleur pour chercher la couleur vert pin ornant le cadran au recto.
Troisième tableau reproduit, l’huile sur toile « Lac de Thoune aux reflets symétriques » (peint en 1909 – 67,5 x 92 cm) dépeint les montagnes des Alpes se reflétant dans l’eau du lac de Thoune dans la lumière tombante du soir. Les jeux de miroir et la douceur des dégradés de bleus et de blancs de cette oeuvre évoquent la sérénité du Lac de Joux. Pour l’émail translucide du recto, c’est un bleu horizon d’une couleur très délicate qui a été travaillé et recouvre délicatement le guilloché.
Au-delà de ça, on retrouve les codes emblématiques de la Reverso avec ces index facettés en applique, ses aiguilles dauphines et sa minuterie chemin de fer au coeur de son cadran.
Troisième tableau reproduit, l’huile sur toile « Lac de Thoune aux reflets symétriques » (peint en 1909 – 67,5 x 92 cm) dépeint les montagnes des Alpes se reflétant dans l’eau du lac de Thoune dans la lumière tombante du soir. Les jeux de miroir et la douceur des dégradés de bleus et de blancs de cette oeuvre évoquent la sérénité du Lac de Joux. Pour l’émail translucide du recto, c’est un bleu horizon d’une couleur très délicate qui a été travaillé et recouvre délicatement le guilloché.
Au-delà de ça, on retrouve les codes emblématiques de la Reverso avec ces index facettés en applique, ses aiguilles dauphines et sa minuterie chemin de fer au coeur de son cadran.