Clive Owen : « L’horlogerie est depuis longtemps une passion pour moi. Le mécanisme et l’histoire des montres me fascinent. Difficile d’imaginer que la Reverso a déjà 80 ans. Elle était une réelle innovation pour son époque et demeure une montre emblématique ».
Antoine de Caunes : « Autant je déteste les gens qui retournent leur veste, autant j'aime ceux qui retournent leur montre. Que ce soit pour en protéger le délicat mécanisme contre d'éventuels coups de crosse ou pour oublier quelques instants l'irréversibilité du temps qui passe. Irréversible ? Reverso ! »
Ariane Massenet : « Cette montre fait partie des objets qu’on rêve de porter (ou mieux de posséder !) une fois dans sa vie. Elle est la quintessence de l’élégance, s’accommodant de tous les styles, « chicifiant » ou modernisant une tenue, tout en gardant un certain mystère de l’autre côté du cadran. Je ne pourrai plus m’en passer. La mode passe, la Reverso reste... Pour toujours. »
Patrick Timsit : « L'une des montres à laquelle je suis très attaché est la Master Control que j'ai portée pour le film « Pédale douce ». Dernièrement, une autre très belle rencontre, toujours avec Jaeger-LeCoultre, la Reverso Duoface qui m'accompagne à l'occasion de mes allers retours aux Etats-Unis. En plus d'être pratique, ludique, elle est très élégante.… la classe quoi… »
Pierre Arditti : « D’un geste, on a à la fois une montre et un bijou. Quand on est une femme, un bijou de femme, quand on est un homme, un bijou d’homme et on peut parfois pousser le vice jusqu’à avoir deux bijoux d’un même geste. On n’est plus avec un objet de raison mais avec un objet de cœur. »
Marcel Hartmann : « Ma Reverso Duoface m'accompagne dans tous mes voyages et me permet de m'adapter immédiatement à l'heure du pays où j'atterris tout en restant connecté avec ma famille. En tant que photographe, ce n'est pas anodin de porter sur soi un instrument de précision qui travaille sur le temps et tente d'en restituer le beauté. Tout comme mon appareil photo. »
Charlotte de Turckheim : « Ma Reverso c'est l'objet qui m'est le plus cher : les prénoms de mes trois filles y sont gravés et elle m'a été offerte par mon mari au premier plus beau jour de me vie, la naissance de ma fille ainée. Toute ma vie ! »
Eduardo Novillo Astrada, joueur de polo : « la Reverso est la montre du polo. Pour moi, il n’y a aucune autre montre qui soit plus liée au polo. Je suis très chanceux de porter ma Reverso Squadra ».
Anderson Luis de Carvalho dit « Néné »/ n°10 au PSG : « Il me suffit de retourner ma Reverso Squadra World Chronograph pour penser à mes deux garçons qui vivent avec leur maman au Brésil à Jundiai Sao Paulo ma ville natale, cette montre m’accompagne dans mes nombreux déplacements avec le Paris SG tout au long du Championnat de France de Ligue 1 et à l’étranger bien sur à l’occasion des matchs d’Europa League. Cette fenêtre ouverte sur le monde me permet en un instant de voir si je peux joindre mes amis qui jouent à travers toute l’Europe dans des clubs étrangers, la planète foot est internationale comme moi, c’est mon style de vie depuis toujours ! ».
Antoine de Caunes : « Autant je déteste les gens qui retournent leur veste, autant j'aime ceux qui retournent leur montre. Que ce soit pour en protéger le délicat mécanisme contre d'éventuels coups de crosse ou pour oublier quelques instants l'irréversibilité du temps qui passe. Irréversible ? Reverso ! »
Ariane Massenet : « Cette montre fait partie des objets qu’on rêve de porter (ou mieux de posséder !) une fois dans sa vie. Elle est la quintessence de l’élégance, s’accommodant de tous les styles, « chicifiant » ou modernisant une tenue, tout en gardant un certain mystère de l’autre côté du cadran. Je ne pourrai plus m’en passer. La mode passe, la Reverso reste... Pour toujours. »
Patrick Timsit : « L'une des montres à laquelle je suis très attaché est la Master Control que j'ai portée pour le film « Pédale douce ». Dernièrement, une autre très belle rencontre, toujours avec Jaeger-LeCoultre, la Reverso Duoface qui m'accompagne à l'occasion de mes allers retours aux Etats-Unis. En plus d'être pratique, ludique, elle est très élégante.… la classe quoi… »
Pierre Arditti : « D’un geste, on a à la fois une montre et un bijou. Quand on est une femme, un bijou de femme, quand on est un homme, un bijou d’homme et on peut parfois pousser le vice jusqu’à avoir deux bijoux d’un même geste. On n’est plus avec un objet de raison mais avec un objet de cœur. »
Marcel Hartmann : « Ma Reverso Duoface m'accompagne dans tous mes voyages et me permet de m'adapter immédiatement à l'heure du pays où j'atterris tout en restant connecté avec ma famille. En tant que photographe, ce n'est pas anodin de porter sur soi un instrument de précision qui travaille sur le temps et tente d'en restituer le beauté. Tout comme mon appareil photo. »
Charlotte de Turckheim : « Ma Reverso c'est l'objet qui m'est le plus cher : les prénoms de mes trois filles y sont gravés et elle m'a été offerte par mon mari au premier plus beau jour de me vie, la naissance de ma fille ainée. Toute ma vie ! »
Eduardo Novillo Astrada, joueur de polo : « la Reverso est la montre du polo. Pour moi, il n’y a aucune autre montre qui soit plus liée au polo. Je suis très chanceux de porter ma Reverso Squadra ».
Anderson Luis de Carvalho dit « Néné »/ n°10 au PSG : « Il me suffit de retourner ma Reverso Squadra World Chronograph pour penser à mes deux garçons qui vivent avec leur maman au Brésil à Jundiai Sao Paulo ma ville natale, cette montre m’accompagne dans mes nombreux déplacements avec le Paris SG tout au long du Championnat de France de Ligue 1 et à l’étranger bien sur à l’occasion des matchs d’Europa League. Cette fenêtre ouverte sur le monde me permet en un instant de voir si je peux joindre mes amis qui jouent à travers toute l’Europe dans des clubs étrangers, la planète foot est internationale comme moi, c’est mon style de vie depuis toujours ! ».