Lorsque Quentin réalise son premier bijou à partir de mécanisme de montre d’époque, il est loin d’imaginer que sa réalisation va s’avérer précieuse !
A l’époque, ce jeune architecte de formation souhaite offrir un cadeau à son père passionné d’horlogerie. Il lui confectionne alors des boutons de manchette à partir de mécanismes de montres chinés dans une brocante (concept relativement courant désormais).
Par le plus grand des hasards, un antiquaire parisien les découvre aux poignets de son père et décide d’en mettre en vitrine. Rapidement, ces bijoux deviennent des pièces originales et se retrouvent au Louvre des Antiquaires à Paris.
Quentin décide alors de développer son concept plus largement. La création de bijoux fabriqués à partir de mécanismes de montres anciennes lui permet de redonner vie à ces objets oubliés (voir cassés et inutilisables). Le jeune homme poursuit son chemin, il gagne alors des concours, comme celui du Clap qui lui permet d’obtenir une subvention de l’Etat et celui de Maisons de Mode qui lui donne accès à sa première boutique à Lille (Nord).
En recherche perpétuelle de matière première auprès de particuliers et de professionnels de l’horlogerie, Quentin récupère, démonte et recycle (ce qui est tout à fait dans l’air du temps). C’est donc avec une véritable démarche artistique qu’il propose aujourd’hui colliers, bagues, boutons de manchette, tableaux et sculptures où mécanismes, aiguilles et cadrans s’entrelacent… Luxe et recyclage, deux mondes a priori antinomiques, ne font plus qu’un !
Les bijoux de Quentin Carnaille sont des accessoires plein de charme et d’histoire, témoins du temps et de l’ingéniosité humaine. Des objets reconvertis ayant servi pendant d’innombrables heures (c’est le cas de le dire !) ; les montres, parfois centenaires se reposent enfin et n’existent plus que par leur beauté !
« Mon travail a pour but de révéler la beauté qui nait d'un objet dont l'existence est à l'origine technique, pratique, utile souligne le jeune créateur. Ainsi le mécanisme d'une montre n'a pas été pensé pour être beau mais pour donner l'heure et pourtant, de cet objet usuel émerge une esthétique époustouflante ».
A l’époque, ce jeune architecte de formation souhaite offrir un cadeau à son père passionné d’horlogerie. Il lui confectionne alors des boutons de manchette à partir de mécanismes de montres chinés dans une brocante (concept relativement courant désormais).
Par le plus grand des hasards, un antiquaire parisien les découvre aux poignets de son père et décide d’en mettre en vitrine. Rapidement, ces bijoux deviennent des pièces originales et se retrouvent au Louvre des Antiquaires à Paris.
Quentin décide alors de développer son concept plus largement. La création de bijoux fabriqués à partir de mécanismes de montres anciennes lui permet de redonner vie à ces objets oubliés (voir cassés et inutilisables). Le jeune homme poursuit son chemin, il gagne alors des concours, comme celui du Clap qui lui permet d’obtenir une subvention de l’Etat et celui de Maisons de Mode qui lui donne accès à sa première boutique à Lille (Nord).
En recherche perpétuelle de matière première auprès de particuliers et de professionnels de l’horlogerie, Quentin récupère, démonte et recycle (ce qui est tout à fait dans l’air du temps). C’est donc avec une véritable démarche artistique qu’il propose aujourd’hui colliers, bagues, boutons de manchette, tableaux et sculptures où mécanismes, aiguilles et cadrans s’entrelacent… Luxe et recyclage, deux mondes a priori antinomiques, ne font plus qu’un !
Les bijoux de Quentin Carnaille sont des accessoires plein de charme et d’histoire, témoins du temps et de l’ingéniosité humaine. Des objets reconvertis ayant servi pendant d’innombrables heures (c’est le cas de le dire !) ; les montres, parfois centenaires se reposent enfin et n’existent plus que par leur beauté !
« Mon travail a pour but de révéler la beauté qui nait d'un objet dont l'existence est à l'origine technique, pratique, utile souligne le jeune créateur. Ainsi le mécanisme d'une montre n'a pas été pensé pour être beau mais pour donner l'heure et pourtant, de cet objet usuel émerge une esthétique époustouflante ».
La dernière montre…
Cadran solaire et gnomon, clepsydre et sablier, horloge mécanique, montre à gousset, en pendentif ou encore en bracelet…
De l’invention simple au mécanisme complexe et miniaturisé au fil des âges, ces objets de mesure temporelle ont une durée de vie de plus en plus courte au fur et à mesure que nous avançons dans… le temps.
Noyée dans un monde de technologie moderne, l’heure est aujourd’hui indiquée partout où nous allons, avec une exactitude inégalée.
De fait, après des siècles de recherches et d’inventions, la montre est aujourd’hui devenue autant bijou qu’instrument de temps.
Le concept de « la dernière montre » s’annonce donc comme « sculpture portative », comme « une véritable transition entre l’utile et l’accessoire ». A mi-chemin entre la montre mécanique et la montre-bijou.
« Mécanisme, rouage, cadran et aiguilles créent une alchimie mystérieuse évoquant la beauté de la ruine. Cette montre est le témoin de siècles d’inventions, comme un hommage à l’horlogerie ancienne. L’envers du décor est ainsi révélé, elle n’indique pas l’heure, mais le temps y est inscrit grâce à ses matériaux presque centenaires » souligne encore le jeune homme.
www.quentincarnaille-theshop.com
De l’invention simple au mécanisme complexe et miniaturisé au fil des âges, ces objets de mesure temporelle ont une durée de vie de plus en plus courte au fur et à mesure que nous avançons dans… le temps.
Noyée dans un monde de technologie moderne, l’heure est aujourd’hui indiquée partout où nous allons, avec une exactitude inégalée.
De fait, après des siècles de recherches et d’inventions, la montre est aujourd’hui devenue autant bijou qu’instrument de temps.
Le concept de « la dernière montre » s’annonce donc comme « sculpture portative », comme « une véritable transition entre l’utile et l’accessoire ». A mi-chemin entre la montre mécanique et la montre-bijou.
« Mécanisme, rouage, cadran et aiguilles créent une alchimie mystérieuse évoquant la beauté de la ruine. Cette montre est le témoin de siècles d’inventions, comme un hommage à l’horlogerie ancienne. L’envers du décor est ainsi révélé, elle n’indique pas l’heure, mais le temps y est inscrit grâce à ses matériaux presque centenaires » souligne encore le jeune homme.
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