Sur la première déclinaison, la maison horlogère suisse, souvent avant-gardiste, met en avant un cadran venant tout droit du grand cosmos et créé en plein coeur d’une nébuleuse solaire il y a des milliards d’années… La météorite.
Souvent désignée comme la « croûte d’autres mondes », la météorite est la plus dure des roches extraterrestres jamais trouvée sur Terre. RJ-Romain Jerome a choisi de tailler ses cadran dans des « Chondrites », une sous- catégorie beaucoup plus rare que l’or ou le platine. Cette pierre de l’espace est intégrée dans un boitier en acier satiné.
Rappelons que tailler une météorite pour en faire un cadran exige un savoir-faire rare et délicat. D’ailleurs peu de marques en proposent (Rolex, Jaquet Droz, Omega entre autre et plus récemment Corum)… La matière est cassante, difficile à travailler et les surfaces se doivent d’être parfaitement exécutées pour ne pas nuire à la bonne marche du garde-temps.
En quête de matériaux innovants pour les trois autres cadrans de sa collection 1969, la marque (jamais à court d’idées) a trouvé son inspiration dans les trésors de « mère-nature ». Abrégé par le sigle « SI » dans le tableau périodique des éléments, le silicium est un matériau naturel couvrant près de 90% de la surface de la planète. Souvent utilisé dans l’électronique, son improbable collision avec le monde horloger se matérialise chez RJ-Romain Jerome sur les cadrans de ses nouvelles montres 1969.
Cette matière naturelle, translucide et très fragile peut être colorée grâce un processus spécial de vaporisation de matière (PVD). Les cadrans en silicium bleu et gris sont emboités dans un boîtier en acier satiné tandis que le cadran brun est intégré dans un boîtier en acier PVD noir. A noter que la petite seconde décalquée à 9h évoque le viseur utilisé par les astronautes pour guider le LEM vers la surface de la lune alors que la face de la couronne est décorée par quatre empreintes rappelant les marques laissées par les « pieds » du LEM dans le sol lunaire !
Autres détails, les griffes qui sécurisent la lunette suggèrent le X emblématique de la marque alors que les extrémités des aiguilles ont été recouvertes de Superluminova émettant une couleur bleue dans l’obscurité. L’arrière de chaque montre est quant à lui un témoin de l’épopée spatiale dans laquelle gravitent les modèles 1969 : il est en effet décoré d’un médaillon en Moon SilverRJ… Cette plaque en argent spécial est un alliage d’argent à très faible taux d’oxydation dans lequel des roches lunaires ont été fusionnées. On la trouve apposée sur le fond de la montre : cette plaque gravée reproduit la surface lunaire dont les grains minéraux interagissent à une échelle infra moléculaire avec le porteur de la montre.
Souvent désignée comme la « croûte d’autres mondes », la météorite est la plus dure des roches extraterrestres jamais trouvée sur Terre. RJ-Romain Jerome a choisi de tailler ses cadran dans des « Chondrites », une sous- catégorie beaucoup plus rare que l’or ou le platine. Cette pierre de l’espace est intégrée dans un boitier en acier satiné.
Rappelons que tailler une météorite pour en faire un cadran exige un savoir-faire rare et délicat. D’ailleurs peu de marques en proposent (Rolex, Jaquet Droz, Omega entre autre et plus récemment Corum)… La matière est cassante, difficile à travailler et les surfaces se doivent d’être parfaitement exécutées pour ne pas nuire à la bonne marche du garde-temps.
En quête de matériaux innovants pour les trois autres cadrans de sa collection 1969, la marque (jamais à court d’idées) a trouvé son inspiration dans les trésors de « mère-nature ». Abrégé par le sigle « SI » dans le tableau périodique des éléments, le silicium est un matériau naturel couvrant près de 90% de la surface de la planète. Souvent utilisé dans l’électronique, son improbable collision avec le monde horloger se matérialise chez RJ-Romain Jerome sur les cadrans de ses nouvelles montres 1969.
Cette matière naturelle, translucide et très fragile peut être colorée grâce un processus spécial de vaporisation de matière (PVD). Les cadrans en silicium bleu et gris sont emboités dans un boîtier en acier satiné tandis que le cadran brun est intégré dans un boîtier en acier PVD noir. A noter que la petite seconde décalquée à 9h évoque le viseur utilisé par les astronautes pour guider le LEM vers la surface de la lune alors que la face de la couronne est décorée par quatre empreintes rappelant les marques laissées par les « pieds » du LEM dans le sol lunaire !
Autres détails, les griffes qui sécurisent la lunette suggèrent le X emblématique de la marque alors que les extrémités des aiguilles ont été recouvertes de Superluminova émettant une couleur bleue dans l’obscurité. L’arrière de chaque montre est quant à lui un témoin de l’épopée spatiale dans laquelle gravitent les modèles 1969 : il est en effet décoré d’un médaillon en Moon SilverRJ… Cette plaque en argent spécial est un alliage d’argent à très faible taux d’oxydation dans lequel des roches lunaires ont été fusionnées. On la trouve apposée sur le fond de la montre : cette plaque gravée reproduit la surface lunaire dont les grains minéraux interagissent à une échelle infra moléculaire avec le porteur de la montre.
Spécificités techniques de la montre RJ-Romain Jerome 1969
Calibre RJ003-A Mouvement mécanique à remontage automatique
Fréquence 28,800 A/h
Empierrage 30 rubis
Réserve de marche 40 heures
Etanchéité : 3 atm (30 mètres)
Fonctions : heures et minutes, petite seconde à 9h
Boîtier 43 mm
Acier ou acier PVD noir, fond de boîte au fond stellaire rehaussé d’un médaillon Moon SilverRJ
Lunette acier satiné ou acier PVD noir
Cadran météorite ou silicium avec finition PVD bleu, gris ou brun rehaut intérieur rhodié
Aiguilles rhodiées, polies et satinées avec Superluminova C1 « blue emission »
Bracelet alligator noir sur boucle ardillon en acier satiné
Quatre éditions limitées de 99 pièces
Fréquence 28,800 A/h
Empierrage 30 rubis
Réserve de marche 40 heures
Etanchéité : 3 atm (30 mètres)
Fonctions : heures et minutes, petite seconde à 9h
Boîtier 43 mm
Acier ou acier PVD noir, fond de boîte au fond stellaire rehaussé d’un médaillon Moon SilverRJ
Lunette acier satiné ou acier PVD noir
Cadran météorite ou silicium avec finition PVD bleu, gris ou brun rehaut intérieur rhodié
Aiguilles rhodiées, polies et satinées avec Superluminova C1 « blue emission »
Bracelet alligator noir sur boucle ardillon en acier satiné
Quatre éditions limitées de 99 pièces