On le sait, les montres Richard Mille, en plus d’embarquer des calibres d’exception, sont ultra-résistantes. D’ailleurs, elles sont utilisées par les plus grands sportifs pendant leurs compétitions : du tennis au golf en passant par la voile, le polo, la Formule 1 où, depuis cette année, la marque est omniprésente sur les circuits, notamment avec son partenariat avec Ferrari.
Cette nouveauté en édition limitée à 50 exemplaires, comme son appellation Aérodyne le laisse supposer, est issue de l’univers de l’aérien, un secteur ultra-technique et d’avant-garde en matière de nouvelles technologies et de matériaux.
Cette RM 21-01 embarque un boitier tripartite de 42,68 x 50,12 (étanche à 50 mètres) en or rouge 5N, renforcé par une ossature externe en carbone TPT pour la lunette et les piliers. Rappelons que ce matériau composite (déjà utilisé de nombreuses fois chez RM) est à la fois léger et résistant.
Cette nouveauté en édition limitée à 50 exemplaires, comme son appellation Aérodyne le laisse supposer, est issue de l’univers de l’aérien, un secteur ultra-technique et d’avant-garde en matière de nouvelles technologies et de matériaux.
Cette RM 21-01 embarque un boitier tripartite de 42,68 x 50,12 (étanche à 50 mètres) en or rouge 5N, renforcé par une ossature externe en carbone TPT pour la lunette et les piliers. Rappelons que ce matériau composite (déjà utilisé de nombreuses fois chez RM) est à la fois léger et résistant.
Il est obtenu en superposant des centaines de couches de fibres de carbone via un procédé automatisé qui modifie l’orientation de 45°entre chaque couche puis est chauffé à 120 °C dans un autoclave avant d’être usiné au micron près.
Une véritable armure qui assure une protection optimale de la boîte et qui est fermement maintenue
par 20 vis spline peu sujettes au vieillissement (des vis spécifiques à la maison Richard Mille qui font d’ailleurs partie des caractéristiques incontournables de la marque).
On retrouve le carbone TPT au cœur de la platine, conjugué cette fois à une structure orthorhombique
alvéolée –exprimant les concepts d’air– en Haynes 214 traitée PVD bleu, une première pour la
marque.
Une véritable armure qui assure une protection optimale de la boîte et qui est fermement maintenue
par 20 vis spline peu sujettes au vieillissement (des vis spécifiques à la maison Richard Mille qui font d’ailleurs partie des caractéristiques incontournables de la marque).
On retrouve le carbone TPT au cœur de la platine, conjugué cette fois à une structure orthorhombique
alvéolée –exprimant les concepts d’air– en Haynes 214 traitée PVD bleu, une première pour la
marque.
Généralement, cet alliage nickel-chrome-aluminium-fer est principalement réservé à une utilisation dans des environnements thermiques avoisinant les mille degrés (955°) ! Sa résistance optimale à l’oxydation haute température permet un moulage et un assemblage classiques, le rendant particulièrement adapté aux chambres de combustion.
Cette platine offre ainsi une rigidité incomparable, un coefficient de dilatation thermique extrêmement bas et une résistance exceptionnelle à la torsion. Autant d’attributs indispensables pour une montre Mille.
Pour la construction des ponts, Richard Mille a opté pour le titane grade 5, un alliage de titane-aluminium-vanadium biocompatible utilisé dans l’industrie aérospatiale, offrant une grande rigidité et une excellente résistance, là encore, à la corrosion.
Constitués de quatre bras sur une assise circulaire ajourée et cerclée d’or, les ponts de barillet et de tourbillon, placés dans le creuset central de la platine, offrent des propriétés mécaniques idéales à la rotation de ces parties mobiles du mouvement, non sans laisser s’exprimer toute la beauté du tourbillon. Ce calibre est terminé avec un traitement PVD en or rouge 5N.
Cette platine offre ainsi une rigidité incomparable, un coefficient de dilatation thermique extrêmement bas et une résistance exceptionnelle à la torsion. Autant d’attributs indispensables pour une montre Mille.
Pour la construction des ponts, Richard Mille a opté pour le titane grade 5, un alliage de titane-aluminium-vanadium biocompatible utilisé dans l’industrie aérospatiale, offrant une grande rigidité et une excellente résistance, là encore, à la corrosion.
Constitués de quatre bras sur une assise circulaire ajourée et cerclée d’or, les ponts de barillet et de tourbillon, placés dans le creuset central de la platine, offrent des propriétés mécaniques idéales à la rotation de ces parties mobiles du mouvement, non sans laisser s’exprimer toute la beauté du tourbillon. Ce calibre est terminé avec un traitement PVD en or rouge 5N.
Le cadran en verre saphir assure une transparence totale sur la construction du calibre RM21-01 à
remontage manuel. En lieu et place du chiffre 11, on trouve l’indicateur de la réserve de marche de 70 heures et à l’emplacement du chiffre 1, l’indicateur de couple.
Rappelons que celui-ci permet de visualiser instantanément la tension du ressort-moteur du barillet et optimiser ainsi le fonctionnement du mouvement. À 4h, on remarque le sélecteur de fonctions commandé par le poussoir central intégré à la couronne en carbone TPT et or rouge 5N avec un joint de même matière que le bracelet en caoutchouc blanc.
D’une simple pression sur la couronne, on passe de la position neutre (N) au remontage (W) et à la mise à l’heure (H) de la montre. Il s’agit là d’une complication propre à la marque.
Le mécanisme de mise à l’heure modulaire qui se trouve sur le fond du boitier présente les avantages suivants en termes de longévité et d’entretien : ce module étant monté en dehors du mouvement, il peut être remplacé sans toucher à la platine lors d’une intervention ou d’une opération d’entretien. Et le montage et le démontage de ce module à partir du fond ne nécessite pas le retrait des aiguilles ou du cadran.
L’ensemble se porte sur un bracelet en caoutchouc blanc.
remontage manuel. En lieu et place du chiffre 11, on trouve l’indicateur de la réserve de marche de 70 heures et à l’emplacement du chiffre 1, l’indicateur de couple.
Rappelons que celui-ci permet de visualiser instantanément la tension du ressort-moteur du barillet et optimiser ainsi le fonctionnement du mouvement. À 4h, on remarque le sélecteur de fonctions commandé par le poussoir central intégré à la couronne en carbone TPT et or rouge 5N avec un joint de même matière que le bracelet en caoutchouc blanc.
D’une simple pression sur la couronne, on passe de la position neutre (N) au remontage (W) et à la mise à l’heure (H) de la montre. Il s’agit là d’une complication propre à la marque.
Le mécanisme de mise à l’heure modulaire qui se trouve sur le fond du boitier présente les avantages suivants en termes de longévité et d’entretien : ce module étant monté en dehors du mouvement, il peut être remplacé sans toucher à la platine lors d’une intervention ou d’une opération d’entretien. Et le montage et le démontage de ce module à partir du fond ne nécessite pas le retrait des aiguilles ou du cadran.
L’ensemble se porte sur un bracelet en caoutchouc blanc.