Cette nouvelle montre -d’avant-garde- rend donc un vibrant, voire même, un « vrombissant » hommage à l’une des voitures de route les plus rapides, les plus perfectionnées et les plus surprenantes produites par McLaren Automotive jusqu’à ce jour : la très futuriste Speedtail.
S’inspirant de la forme d’une goutte d’eau, reconnue comme étant la forme naturelle la plus aérodynamique qui soit, la Speedtail est un petit bolide à trois places et la troisième-née de la gamme Ultimate de McLaren.
Avec sa motorisation hybride fournissant une puissance de 1 070 chevaux, la Speedtail parcourt à plein régime 112 mètres par seconde, affichant une vitesse maximale de 402 km/h (!) qui en fait aujourd’hui la voiture de route la plus rapide de McLaren.
S’inspirant de la forme d’une goutte d’eau, reconnue comme étant la forme naturelle la plus aérodynamique qui soit, la Speedtail est un petit bolide à trois places et la troisième-née de la gamme Ultimate de McLaren.
Avec sa motorisation hybride fournissant une puissance de 1 070 chevaux, la Speedtail parcourt à plein régime 112 mètres par seconde, affichant une vitesse maximale de 402 km/h (!) qui en fait aujourd’hui la voiture de route la plus rapide de McLaren.
« Il y a des nombreuses similitudes entre Richard Mille et McLaren dans notre approche, la gestion des différentes problématiques, comme la volonté de gagner en légèreté, de réduire les impacts des vibrations et d’optimiser la résistance, explique Rob Melville, directeur du design chez McLaren Automotive ».
Et de poursuivre : « notre contribution au développement de la RM 40-01 a été importante. Nous avons cherché à transmettre la philosophie qui a présidé à la conception de la voiture pour aider à retrouver dans la montre des équivalents de tous ses points forts ».
Dans ces conditions, pendant 18 mois, l’équipe d’ingénieurs habillage Richard Mille, menée par son directeur technique Julien Boillat, a consacré 2.800 heures à parfaire les lignes de cette montre qui sera produite en 106 exemplaires tout comme la Speedtail d’ailleurs ; qui sont probablement d’ores et déjà tous vendus compte-tenu du succès de toutes les montres RM ces dernières années.
Et de poursuivre : « notre contribution au développement de la RM 40-01 a été importante. Nous avons cherché à transmettre la philosophie qui a présidé à la conception de la voiture pour aider à retrouver dans la montre des équivalents de tous ses points forts ».
Dans ces conditions, pendant 18 mois, l’équipe d’ingénieurs habillage Richard Mille, menée par son directeur technique Julien Boillat, a consacré 2.800 heures à parfaire les lignes de cette montre qui sera produite en 106 exemplaires tout comme la Speedtail d’ailleurs ; qui sont probablement d’ores et déjà tous vendus compte-tenu du succès de toutes les montres RM ces dernières années.
« En plus de nous inspirer de la forme en goutte d’eau de la Speedtail, nous avons dû relever le défi d’allier les spécificités existantes de Richard Mille à celles de McLaren, explique Julien Boillat. Ainsi les crénelures de la lunette évoquent les ouvertures latérales du capot, tandis que les poussoirs rappellent les aérations placées derrière les roues avant ».
Et le directeur technique d’ajouter : « le niveau de finitions parmi les plus élevés jamais réalisés par Richard Mille a exigé énormément de développement avec nos angleurs et nos polisseurs et les surfaces sont poli miroir, bruts ou satinés selon les endroits. Nous avons combiné titane et Carbone TPT pour le boîtier lui-même composé de 69 pièces distinctes ».
En raison de la complexité sans précédent de la conception, cinq prototypes ont été nécessaires avant de parvenir à la forme optimale. On remarque que son épaisseur (comme le sont généralement les montres de pilotes) est bien plus importante à 12h qu’à 6h. La lunette et le fond du boîtier en titane (étanche à 50 mètres) sont quant à eux, unis par une carrure en Carbone TPT soutenue par des piliers en titane de tailles différentes.
Et le directeur technique d’ajouter : « le niveau de finitions parmi les plus élevés jamais réalisés par Richard Mille a exigé énormément de développement avec nos angleurs et nos polisseurs et les surfaces sont poli miroir, bruts ou satinés selon les endroits. Nous avons combiné titane et Carbone TPT pour le boîtier lui-même composé de 69 pièces distinctes ».
En raison de la complexité sans précédent de la conception, cinq prototypes ont été nécessaires avant de parvenir à la forme optimale. On remarque que son épaisseur (comme le sont généralement les montres de pilotes) est bien plus importante à 12h qu’à 6h. La lunette et le fond du boîtier en titane (étanche à 50 mètres) sont quant à eux, unis par une carrure en Carbone TPT soutenue par des piliers en titane de tailles différentes.
La protection du mouvement a conduit Richard Mille à mettre au point un verre supérieur unique doté d’un triple rayon prenant en compte le rétrécissement progressif et l’épaisseur de la lunette. Cette seule pièce a nécessité 18 mois de développement.
Visible à 6h sur le mouvement, la bande orange, couleur emblématique de McLaren, prolonge son tracé le long du poignet. L’anatomie inhabituelle du boîtier n’a pas empêché Salvador Arbona, directeur technique mouvement chez Richard Mille, de concevoir un véritable « moteur » horloger qui occupe parfaitement tout l’espace disponible (c’est là tout l’art de la haute horlogerie : que le calibre soit adapté au boitier).
Le titane grade 5 est entré dans la composition d’éléments clés comme les ponts, les vis des ponts, la platine et le cœur du rotor. Par ailleurs, le mouvement CRMT4, qui anime la RM 40-01 (4 Hz), présente pour la première fois dans un tourbillon maison, un indicateur de réserve de marche ainsi qu’un guichet de date surdimensionné et un sélecteur de fonctions (très RM). La marque a du développer trois systèmes de réserve de marche (de 50h) avant d’arriver à la version définitive !
Visible à 6h sur le mouvement, la bande orange, couleur emblématique de McLaren, prolonge son tracé le long du poignet. L’anatomie inhabituelle du boîtier n’a pas empêché Salvador Arbona, directeur technique mouvement chez Richard Mille, de concevoir un véritable « moteur » horloger qui occupe parfaitement tout l’espace disponible (c’est là tout l’art de la haute horlogerie : que le calibre soit adapté au boitier).
Le titane grade 5 est entré dans la composition d’éléments clés comme les ponts, les vis des ponts, la platine et le cœur du rotor. Par ailleurs, le mouvement CRMT4, qui anime la RM 40-01 (4 Hz), présente pour la première fois dans un tourbillon maison, un indicateur de réserve de marche ainsi qu’un guichet de date surdimensionné et un sélecteur de fonctions (très RM). La marque a du développer trois systèmes de réserve de marche (de 50h) avant d’arriver à la version définitive !
Autre détail souvent oublié : les finitions ne concernent pas seulement les parties visibles de la montre, mais également les surfaces inférieures invisibles des composants (là encore, ce sont des standards ancestraux de la haute horlogerie).
Ornant le capot de la Speedtail, le logo de McLaren a été également appliqué sur plusieurs roues du mécanisme. D’autres pièces bombées inaugurent de nouveaux profils surfaciques visant à reproduire le plus fidèlement les courbures de la voiture, déjà visibles sur le pont du tourbillon.
Afin de préserver tant l’équilibre de la montre dans son ensemble que le raffinement de ses lignes, le réglage de la date positionné à 8h a été préféré au classique positionnement à 11h.
Ornant le capot de la Speedtail, le logo de McLaren a été également appliqué sur plusieurs roues du mécanisme. D’autres pièces bombées inaugurent de nouveaux profils surfaciques visant à reproduire le plus fidèlement les courbures de la voiture, déjà visibles sur le pont du tourbillon.
Afin de préserver tant l’équilibre de la montre dans son ensemble que le raffinement de ses lignes, le réglage de la date positionné à 8h a été préféré au classique positionnement à 11h.
Enfin, le rotor de remontage, en platine et or rouge 5N (pour effet balourd et remontage optimal), s’inspire du capot de la Speedtail, tandis que le barillet reprend les lignes de son toit.
La légère courbure suivie par le mécanisme de 12h à 6h reprend celle de l’élément en métal brossé assurant la démarcation entre le cockpit de la voiture et sa carrosserie, inspiré à McLaren par les lignes des montres Richard Mille, notamment par les rehauts.
La bande orange prolongeant la partie inférieure du mouvement et reprise sur le bracelet (asymétrique) rappelle les lignes du feu stop vertical intégré au niveau de la lunette arrière de la Speedtail. En caoutchouc, il a été fabriquée grâce au procédé spécial Vulcolor conçu par Biwi SA qui en permet le surmoulage. A noter qu’il reste possible d’opter pour un bracelet en alligator.
La légère courbure suivie par le mécanisme de 12h à 6h reprend celle de l’élément en métal brossé assurant la démarcation entre le cockpit de la voiture et sa carrosserie, inspiré à McLaren par les lignes des montres Richard Mille, notamment par les rehauts.
La bande orange prolongeant la partie inférieure du mouvement et reprise sur le bracelet (asymétrique) rappelle les lignes du feu stop vertical intégré au niveau de la lunette arrière de la Speedtail. En caoutchouc, il a été fabriquée grâce au procédé spécial Vulcolor conçu par Biwi SA qui en permet le surmoulage. A noter qu’il reste possible d’opter pour un bracelet en alligator.