Si la première victoire de Rafa à Roland-Garros remonte à 2005, sa toute première rencontre avec Richard Mille date de 2008. Pour la petite histoire rappelons que les deux hommes se sont rencontrés par l’entremise d’un ami commun tennisman.
Dès la première entrevue, le contact s’est fait immédiatement. D’autant que c’est le roi d’Espagne Juan Carlos qui le premier, parle de son admiration pour la marque horlogère au jeune majorquin.
Problème… Superstitieux comme la plupart des sportifs, Nadal refusait alors de porter une montre pendant ses matchs. C’est la raison pour laquelle, l’horloger a du déployer des trésors d’imagination pour rendre ses montres le plus léger possible !
Avec cette « decima » tant attendue, si désirée, Rafa réalise donc une grande première ! En effet, c’est la première fois qu’un joueur remporte à dix reprises le même tournoi du grand Chelem… Tout simplement du jamais vu.
Après avoir connu une année délicate en 2016, le taureau de Manacor est donc de retour ! Et il aura été sans pitié durant cette quinzaine parisienne, aucun joueur n’étant suffisamment fort pour lui faire face. Désormais deuxième mondial derrière Andy Murray, Nadal n’a perdu que 22 jeux. Avec une moyenne d’1 h 34 par match (vite fait, bien fait), le Majorquin n’a pas eu à trop puiser dans ses réserves pour faire face au Suisse Stan Wawrinka en finale.
Sacré dès 2005 à l’âge de 19 ans, le « roi » a mis fin aux espoirs de Stan the Man en seulement trois sets et moins de deux heures de jeu : Richard Mille contre Audemars Piguet par joueurs interposés. Et c’est RM qui a remporté la victoire !
Rafa a mené ce match grâce à ses deux armes redoutables : son grand coup droit et son fantastique revers à deux mains. « Revenir en finale et gagner la Decima, c’est incroyable. Je suis très ému. Le sentiment que j’ai est indescriptible. Jamais je ne ressens autant l’adrénaline qu’en jouant ici. C’est le tournoi le plus important de ma carrière » a indiqué le joueur qui partage sa victoire avec son public venu nombreux pour l’occasion.
Ce moment est également historique pour Richard Mille qui accompagne le sportif depuis 2010 et avec qui il a conçu 4 pièces exceptionnelles (mais sept éditions Nadal en tout) à jamais inscrite dans le grand livre de l’horlogerie : le tourbillon RM 027 en carbone et LITAL, la RM 27-01, montre tourbillon la plus légère au monde avec 18.83g sur la balance, la RM 27-02 et sa platine unique en carbone TPT faisant office de carrure et la dernière-née, la RM 27-03, un calibre tourbillon capable de résister à des chocs extrêmes de 10 000 g. A noter que le dernier modèle est aux couleurs de l’Espagne et qu’il coute dans les 650.000 euros. Série limitée à 50 exemplaires, comme toutes les éditions Nadal.
Prochaine étape pour Rafa, Wimbledon bien sûr, tournoi qu’il a déjà remporté deux fois en 2008 et 2010 et auquel il n’avait pu participer l’an passé en raison de sa blessure au poignet. Alors 2017, une « tercera » sur le gazon ?
Dès la première entrevue, le contact s’est fait immédiatement. D’autant que c’est le roi d’Espagne Juan Carlos qui le premier, parle de son admiration pour la marque horlogère au jeune majorquin.
Problème… Superstitieux comme la plupart des sportifs, Nadal refusait alors de porter une montre pendant ses matchs. C’est la raison pour laquelle, l’horloger a du déployer des trésors d’imagination pour rendre ses montres le plus léger possible !
Avec cette « decima » tant attendue, si désirée, Rafa réalise donc une grande première ! En effet, c’est la première fois qu’un joueur remporte à dix reprises le même tournoi du grand Chelem… Tout simplement du jamais vu.
Après avoir connu une année délicate en 2016, le taureau de Manacor est donc de retour ! Et il aura été sans pitié durant cette quinzaine parisienne, aucun joueur n’étant suffisamment fort pour lui faire face. Désormais deuxième mondial derrière Andy Murray, Nadal n’a perdu que 22 jeux. Avec une moyenne d’1 h 34 par match (vite fait, bien fait), le Majorquin n’a pas eu à trop puiser dans ses réserves pour faire face au Suisse Stan Wawrinka en finale.
Sacré dès 2005 à l’âge de 19 ans, le « roi » a mis fin aux espoirs de Stan the Man en seulement trois sets et moins de deux heures de jeu : Richard Mille contre Audemars Piguet par joueurs interposés. Et c’est RM qui a remporté la victoire !
Rafa a mené ce match grâce à ses deux armes redoutables : son grand coup droit et son fantastique revers à deux mains. « Revenir en finale et gagner la Decima, c’est incroyable. Je suis très ému. Le sentiment que j’ai est indescriptible. Jamais je ne ressens autant l’adrénaline qu’en jouant ici. C’est le tournoi le plus important de ma carrière » a indiqué le joueur qui partage sa victoire avec son public venu nombreux pour l’occasion.
Ce moment est également historique pour Richard Mille qui accompagne le sportif depuis 2010 et avec qui il a conçu 4 pièces exceptionnelles (mais sept éditions Nadal en tout) à jamais inscrite dans le grand livre de l’horlogerie : le tourbillon RM 027 en carbone et LITAL, la RM 27-01, montre tourbillon la plus légère au monde avec 18.83g sur la balance, la RM 27-02 et sa platine unique en carbone TPT faisant office de carrure et la dernière-née, la RM 27-03, un calibre tourbillon capable de résister à des chocs extrêmes de 10 000 g. A noter que le dernier modèle est aux couleurs de l’Espagne et qu’il coute dans les 650.000 euros. Série limitée à 50 exemplaires, comme toutes les éditions Nadal.
Prochaine étape pour Rafa, Wimbledon bien sûr, tournoi qu’il a déjà remporté deux fois en 2008 et 2010 et auquel il n’avait pu participer l’an passé en raison de sa blessure au poignet. Alors 2017, une « tercera » sur le gazon ?