Après avoir travaillé pour différents horlogers suisses, Bernard Julémont décide de créer sa propre marque de montres en 2011 sous le nom de Raidillon. Fasciné par le –splendide- circuit automobile de Spa-Francorchamps, il s’inspire de ce tracé automobile mythique, pour personnaliser sa marque.
En effet, tous les amateurs de grosses cylindrées le savent, le nom de Raidillon fait référence au célèbre virage en côte du circuit, à propos duquel le célèbre pilote automobile allemand Michael Schumacher (désormais ambassadeur Audemars Piguet) dit qu’il procure des « sensations indescriptibles ».
Seulement 55 voitures prennent le départ des courses, chaque modèle conçu par la marque sera donc limité à ce nombre. Les mouvements suisses (ETA et Valjoux) sont mécaniques à remontage automatique et le design des montres, jusque-là masculines, s’inspire des tableaux de bord des voitures d’antan.
Quant aux bracelets de cuir, surpiqués, perforés ou pleins, ils sont réalisés à la main, à Ostende, en Belgique, et s’imprègnent de la palette des couleurs de la course (jaune, bleu, rouge, violet) qui côtoient les gris, noir, marron, taupe et blanc.
La diversité de la gamme, le style des aiguilles et la variété des fonds ne cessent d’évoluer grâce à la réactivité de fabrication due aux nombres de pièces systématiquement limitées de 0 à 55, sans chiffre 13, selon la superstition des coureurs.
Le 55 est toujours présent, de manière plus ou moins visible, sur le fond de cadran de chacune des montres. Chaque pièce est numérotée sur la tranche du boîtier. Les verres saphir sont traités antireflets sur les deux faces. La collection 2011 se compose d’une cinquantaine de modèles, principalement des chronographes.
Rappelons que la marque est aujourd’hui présente dans son magasin à l’enseigne Galerie de la Reine à Bruxelles et dans une dizaine de pays dans le monde, dont la France (Paris, St Tropez, Versailles...) Il est aussi possible de passer commande sur le site internet et de réceptionner la montre chez un détaillant : www.raidillon.com
En effet, tous les amateurs de grosses cylindrées le savent, le nom de Raidillon fait référence au célèbre virage en côte du circuit, à propos duquel le célèbre pilote automobile allemand Michael Schumacher (désormais ambassadeur Audemars Piguet) dit qu’il procure des « sensations indescriptibles ».
Seulement 55 voitures prennent le départ des courses, chaque modèle conçu par la marque sera donc limité à ce nombre. Les mouvements suisses (ETA et Valjoux) sont mécaniques à remontage automatique et le design des montres, jusque-là masculines, s’inspire des tableaux de bord des voitures d’antan.
Quant aux bracelets de cuir, surpiqués, perforés ou pleins, ils sont réalisés à la main, à Ostende, en Belgique, et s’imprègnent de la palette des couleurs de la course (jaune, bleu, rouge, violet) qui côtoient les gris, noir, marron, taupe et blanc.
La diversité de la gamme, le style des aiguilles et la variété des fonds ne cessent d’évoluer grâce à la réactivité de fabrication due aux nombres de pièces systématiquement limitées de 0 à 55, sans chiffre 13, selon la superstition des coureurs.
Le 55 est toujours présent, de manière plus ou moins visible, sur le fond de cadran de chacune des montres. Chaque pièce est numérotée sur la tranche du boîtier. Les verres saphir sont traités antireflets sur les deux faces. La collection 2011 se compose d’une cinquantaine de modèles, principalement des chronographes.
Rappelons que la marque est aujourd’hui présente dans son magasin à l’enseigne Galerie de la Reine à Bruxelles et dans une dizaine de pays dans le monde, dont la France (Paris, St Tropez, Versailles...) Il est aussi possible de passer commande sur le site internet et de réceptionner la montre chez un détaillant : www.raidillon.com