On le sait, les Japonais ne font rien comme les autres. C’est d’ailleurs ce qui nous fascine tant à propos de ce pays où le raffinement et l’élégance sont de mises dans les moindres gestes du quotidien… C’est ainsi qu’apparait à la fin du XVème siècle, l’art du kintsugi (金継ぎ) que l’on pourrait traduire par « jointure en or ».
Dans la pratique, il s’agit d’une méthode japonaise de réparation des porcelaines ou céramiques brisées (notamment celles servant aux cérémonies du thé) au moyen de laque saupoudrée de poudre d'or. De fait, plutôt que d’essayer de « cacher » la réparation, on la laisse non seulement visible mais même, ultravisible en élevant la réparation à un niveau quasi-philosophique. Et toujours très esthétique !
La base de ce concept étant de prendre en compte le passé et le vécu de l’objet brisé et de lui offrir une seconde vie. Tel un autre cycle et une continuité dans son utilisation en mettant en avant ces « cicatrices » porteuses d’histoire, bien visibles et saupoudrées d’or.
Dans la pratique, il s’agit d’une méthode japonaise de réparation des porcelaines ou céramiques brisées (notamment celles servant aux cérémonies du thé) au moyen de laque saupoudrée de poudre d'or. De fait, plutôt que d’essayer de « cacher » la réparation, on la laisse non seulement visible mais même, ultravisible en élevant la réparation à un niveau quasi-philosophique. Et toujours très esthétique !
La base de ce concept étant de prendre en compte le passé et le vécu de l’objet brisé et de lui offrir une seconde vie. Tel un autre cycle et une continuité dans son utilisation en mettant en avant ces « cicatrices » porteuses d’histoire, bien visibles et saupoudrées d’or.
L’éclat de l’or, matériau noble et précieux par excellence, permet ici de réconcilier avec grâce, la beauté et l’imperfection, en transformant ces blessures en une symphonie de lumière. Certains esthètes collectionnent d’ailleurs ces pièces au destin si singulier. Ces "beautés cassées".
Treize ans après avoir croisé l’art du Kintsugi lors de son séjour à Tokyo, Gautier Massonneau, fondateur et directeur de la création chez Trilobe a décidé de s’inspirer de cette technique japonaise pour réaliser une pièce unique baptisée « Réconciliation » ; un terme bienvenu dans un monde de plus en plus désunis à tous les niveaux.
Réconciliation : avec ses « fractures » apparentes, ce garde-temps en titane PVD noir (40,5 mm) de chez Trilobe (modèle Une folle journée) souhaite témoigner du temps qui passe. « Comme les tribulations de la vie qui nous façonnent, cette création unique rend hommage au voyage qu’elle a entrepris - une odyssée transformatrice où elle a été intentionnellement brisée, pour en ressortir encore plus précieuse et captivante » souligne la marque dans son communiqué.
Treize ans après avoir croisé l’art du Kintsugi lors de son séjour à Tokyo, Gautier Massonneau, fondateur et directeur de la création chez Trilobe a décidé de s’inspirer de cette technique japonaise pour réaliser une pièce unique baptisée « Réconciliation » ; un terme bienvenu dans un monde de plus en plus désunis à tous les niveaux.
Réconciliation : avec ses « fractures » apparentes, ce garde-temps en titane PVD noir (40,5 mm) de chez Trilobe (modèle Une folle journée) souhaite témoigner du temps qui passe. « Comme les tribulations de la vie qui nous façonnent, cette création unique rend hommage au voyage qu’elle a entrepris - une odyssée transformatrice où elle a été intentionnellement brisée, pour en ressortir encore plus précieuse et captivante » souligne la marque dans son communiqué.
Ainsi, les impacts sur les anneaux (qui servent à lire l’heure, rappelons-le) et le mouvement sont réalisés à la main par un artisan horloger qui s’applique à donner un effet de texture martelée sur les ponts, la platine et les anneaux symboliques. Il vient ensuite dorer ces anfractuosités à la feuille d’or.
Dotée d’un dôme en saphir de 10,2 mm de hauteur, cette montre entrainé par le calibre « maison » X-Centric à remontage automatique (micro-rotor) présente trois anneaux rotatifs, représentant les heures, les minutes et les secondes, mis en mouvement par un système de piliers.
Cette Trilobe « pièce unique » se porte sur un bracelet en cuir avec une boucle ardillon PVD noir.
Dotée d’un dôme en saphir de 10,2 mm de hauteur, cette montre entrainé par le calibre « maison » X-Centric à remontage automatique (micro-rotor) présente trois anneaux rotatifs, représentant les heures, les minutes et les secondes, mis en mouvement par un système de piliers.
Cette Trilobe « pièce unique » se porte sur un bracelet en cuir avec une boucle ardillon PVD noir.
Encore une fois, cette jeune marque horlogère aux origines françaises mais de facture suisse, toujours raffinée dans ses concepts, réussit le pari de proposer une montre poétique et réfléchie qui devrait recevoir un beau succès lors de la prochaine session d’Only Watch le 5 novembre 2023 à Genève.
Cette vente aux enchères caritative revient tous les deux ans depuis 2005 et sert à financer la recherche scientifique contre la maladie de Duchenne. Une maladie qui touche un garçon sur 3.000 à la naissance, dont le fils du fondateur d’Only Watch, Luc Pettavino, est d’ailleurs décédé...
Au-delà de l’aspect « avancée de la médecine » qui est financé par la vente de ces montres, toutes en pièces uniques, Only Watch est devenue au fil du temps une véritable institution.
C’est, d’une part un rendez-vous important pour la recherche scientifique, mais c’est aussi devenu un véritable baromètre de la désirabilité des marques et de leur potentiel en matière d’investissement : en effet, en fonction des résultats, mais aussi en fonction de la créativité des horlogers, les enchères décollent… ou pas !
Cette vente aux enchères caritative revient tous les deux ans depuis 2005 et sert à financer la recherche scientifique contre la maladie de Duchenne. Une maladie qui touche un garçon sur 3.000 à la naissance, dont le fils du fondateur d’Only Watch, Luc Pettavino, est d’ailleurs décédé...
Au-delà de l’aspect « avancée de la médecine » qui est financé par la vente de ces montres, toutes en pièces uniques, Only Watch est devenue au fil du temps une véritable institution.
C’est, d’une part un rendez-vous important pour la recherche scientifique, mais c’est aussi devenu un véritable baromètre de la désirabilité des marques et de leur potentiel en matière d’investissement : en effet, en fonction des résultats, mais aussi en fonction de la créativité des horlogers, les enchères décollent… ou pas !