La marque horlogère indépendante du Noirmont propose cette année une nouvelle version de son régulateur, « la » spécialité de la maison.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision. Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur -remis au goût du jour il y a une douzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur qui relança cette complication auprès des amateurs de montres, notamment dans l’entrée de gamme. On en trouve aujourd’hui à tous les prix… Du plus cher au plus raisonnable. Comme ce beau modèle classique de chez Louis Erard.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision. Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur -remis au goût du jour il y a une douzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur qui relança cette complication auprès des amateurs de montres, notamment dans l’entrée de gamme. On en trouve aujourd’hui à tous les prix… Du plus cher au plus raisonnable. Comme ce beau modèle classique de chez Louis Erard.
C’est en 2003 que la maison Louis Erard se passionne pour cette complication avec un premier garde-temps mécanique à régulateur ; désormais bon nombre de créations de l’enseigne lui sont dédié. Dans cet esprit, la marque vient de dévoiler un tout nouveau modèle en édition limitée à 50 exemplaires qui s’adresse, une fois n’est pas coutume, aux dames.
Sous le cadran nacre et la lunette sertie bat un calibre mécanique à remontage manuel : le fameux Peseux 7001, coiffé d’une complication exclusive Louis Erard, un régulateur avec réserve de marche.
Côté face, ce modèle affiche une lunette sertie de 76 diamants et un cadran à deux niveaux, élégamment composé d’une nacre blanche ouverte sur les compteurs et la réserve de marche opalins ; aiguilles lancines bleues. Côté pile, la montre à fond transparent dévoile ses charmes mécaniques : Côtes de Genève, vis bleues, gravure. Ce modèle se porte sur un bracelet en alligator blanc comme la nacre.
Sous le cadran nacre et la lunette sertie bat un calibre mécanique à remontage manuel : le fameux Peseux 7001, coiffé d’une complication exclusive Louis Erard, un régulateur avec réserve de marche.
Côté face, ce modèle affiche une lunette sertie de 76 diamants et un cadran à deux niveaux, élégamment composé d’une nacre blanche ouverte sur les compteurs et la réserve de marche opalins ; aiguilles lancines bleues. Côté pile, la montre à fond transparent dévoile ses charmes mécaniques : Côtes de Genève, vis bleues, gravure. Ce modèle se porte sur un bracelet en alligator blanc comme la nacre.