Décidément, Nicholas Foulkes est omniprésent dans la littérature horlogère, voire même, en position de monopole puisque tous les livres qui paraissent ces derniers temps en matière de montres sont rédigés par ce dandy journaliste britannique…
Ceci étant, les éditions Assouline viennent de publier un nouvel ouvrage horloger qui cette fois-ci revient sur la riche histoire de la fameuse Reverso qui fut créée, rappelons-le, durant l’apogée du style Art déco.
Son concept : imaginer une montre-bracelet capable de résister aux rigueurs des matchs de polo. Ce qui en fait l’un des premiers garde-temps sportifs, même si depuis, la Reverso est surtout considérée comme une montre de ville, habillée.
Depuis 90 ans, cette montre est unique en son genre ; même si on trouve dans les années 30, un modèle Reverso chez Patek Philippe (il y en aura aussi chez Vacheron Constantin ou Cartier) qui ne sera produit qu’à huit exemplaires sous une licence accordée par JLC et par Mr Trey, le Suisse qui déposa le nom de Reverso.
Avec le temps, son fond de boîtier en métal vierge, né de la recherche d’une solution purement fonctionnelle, est devenu une véritable toile d’expression créative, se parant d'émail, de gravures ou de pierres précieuses. Ou de messages…
Tout en retraçant l’histoire de la montre et son évolution à travers les neuf décennies précédentes – avec plus de 50 calibres et plusieurs centaines de cadrans –, ce nouveau livre explore le milieu social et les changements culturels qui ont fourni la trame de fond à la création de la Reverso, et, plus tard, à sa perpétuelle réinvention.
Plus original, il raconte aussi l’histoire de plus d’une douzaine de propriétaires de Reverso ayant personnalisé leur montre avec un souvenir ou un motif d’une signification chère à leur cœur.
Ceci étant, les éditions Assouline viennent de publier un nouvel ouvrage horloger qui cette fois-ci revient sur la riche histoire de la fameuse Reverso qui fut créée, rappelons-le, durant l’apogée du style Art déco.
Son concept : imaginer une montre-bracelet capable de résister aux rigueurs des matchs de polo. Ce qui en fait l’un des premiers garde-temps sportifs, même si depuis, la Reverso est surtout considérée comme une montre de ville, habillée.
Depuis 90 ans, cette montre est unique en son genre ; même si on trouve dans les années 30, un modèle Reverso chez Patek Philippe (il y en aura aussi chez Vacheron Constantin ou Cartier) qui ne sera produit qu’à huit exemplaires sous une licence accordée par JLC et par Mr Trey, le Suisse qui déposa le nom de Reverso.
Avec le temps, son fond de boîtier en métal vierge, né de la recherche d’une solution purement fonctionnelle, est devenu une véritable toile d’expression créative, se parant d'émail, de gravures ou de pierres précieuses. Ou de messages…
Tout en retraçant l’histoire de la montre et son évolution à travers les neuf décennies précédentes – avec plus de 50 calibres et plusieurs centaines de cadrans –, ce nouveau livre explore le milieu social et les changements culturels qui ont fourni la trame de fond à la création de la Reverso, et, plus tard, à sa perpétuelle réinvention.
Plus original, il raconte aussi l’histoire de plus d’une douzaine de propriétaires de Reverso ayant personnalisé leur montre avec un souvenir ou un motif d’une signification chère à leur cœur.