Rafael Nadal est prêt pour sa « decima » ! Comprendre, son dixième titre à Roland-Garros, qui lui a échappé l’année dernière (éliminé en quart de finale en 2015). Si tout se passe bien, l’ogre de l’ocre soulèvera donc le 5 juin prochain, sa dixième coupe des Mousquetaires avec sa toute nouvelle Richard Mille au poignet. La RM 35-02, qui pour la première fois, embarque un calibre mécanique à remontage automatique !
Si la première victoire de Rafa à Roland-Garros remonte à 2005, sa toute première rencontre avec Richard Mille remonte quant à elle à 2008. Depuis l’horloger et le joueur de tennis espagnol ont vécu ensemble, l’une des plus belles aventures horlogère du 21ème siècle. Une épopée riche en rebondissements, et pas seulement de petites balles jaunes, mais également d’avancées technologiques majeures !
« Pour moi, collaborer ne signifie pas donner une montre à quelqu’un et organiser une séance photo en guise d’exercice de relations publiques indique Richard Mille. La collaboration doit être réelle, tangible et nourrir la vision pour le futur de l’horlogerie. C’est la raison pour laquelle travailler si étroitement avec Rafael à la création de nouvelles pièces d’horlogerie me comblent ».
Pour la petite histoire rappelons que les deux hommes se sont rencontrés par l’entremise d’un ami commun tennisman. Dès la première entrevue, le contact s’est fait immédiatement. D’autant que c’est le roi d’Espagne Juan Carlos qui le premier, parle de son admiration pour la marque horlogère au jeune majorquin. Problème… Superstitieux comme la plupart des sportifs, Nadal refusait alors de porter une montre pendant ses matchs. C’est la raison pour laquelle, l’horloger a du déployer des trésors d’imagination pour rendre ses montres le plus léger possible !
Si la première victoire de Rafa à Roland-Garros remonte à 2005, sa toute première rencontre avec Richard Mille remonte quant à elle à 2008. Depuis l’horloger et le joueur de tennis espagnol ont vécu ensemble, l’une des plus belles aventures horlogère du 21ème siècle. Une épopée riche en rebondissements, et pas seulement de petites balles jaunes, mais également d’avancées technologiques majeures !
« Pour moi, collaborer ne signifie pas donner une montre à quelqu’un et organiser une séance photo en guise d’exercice de relations publiques indique Richard Mille. La collaboration doit être réelle, tangible et nourrir la vision pour le futur de l’horlogerie. C’est la raison pour laquelle travailler si étroitement avec Rafael à la création de nouvelles pièces d’horlogerie me comblent ».
Pour la petite histoire rappelons que les deux hommes se sont rencontrés par l’entremise d’un ami commun tennisman. Dès la première entrevue, le contact s’est fait immédiatement. D’autant que c’est le roi d’Espagne Juan Carlos qui le premier, parle de son admiration pour la marque horlogère au jeune majorquin. Problème… Superstitieux comme la plupart des sportifs, Nadal refusait alors de porter une montre pendant ses matchs. C’est la raison pour laquelle, l’horloger a du déployer des trésors d’imagination pour rendre ses montres le plus léger possible !
En quelques années, cette collaboration a donc donné lieu à une collection de montres uniques chez Richard Mille. Des garde-temps « Rafa », synonymes d’innovation, de légèreté et de résistance aux chocs. De la toute première RM 027 au boîtier en nanotubes de carbone en 2010, à la récente RM 27-02 avec platine monocoque en carbone NTPT en passant par la RM 27-01 et son mouvement suspendu par câbles, chacun des modèles conçus ensemble a permis des avancées importantes en terme de développement, témoignant même d’une nouvelle approche structurelle en horlogerie.
La RM 35-02 Rafael Nadal (139.500 euros) est animée le nouveau calibre RMAL1 (heures, minutes et secondes) avec platine et ponts en titane grade 5 sablé traité PVD/Titalyt lui assurant une grande rigidité. Son balancier à inertie variable, cadencé à 4 htz, est alimenté par un système de double barillet afin d’améliorer la stabilité du couple. « Inspirée de la RM 35-01, la RM 35-02 est née de la demande de nombreux clients Richard Mille désireux de disposer d’un système de remontage automatique placé au cœur d’un calibre Nadal » précise la marque dans son communiqué. Sa réserve de marche est de 55 h environ.
Quoi de plus évident pour RM que d’utiliser son rotor à géométrie variable breveté, véritable symbole de l’automatisme chez Richard Mille, et qui permet d’adapter le remontage à l’activité du propriétaire de la montre ; avec Nadal elle devrait rarement se trouver sur la position « neutre ». Inédit également dans cette collection, le fond du boitier est protégé par un verre saphir traité antireflet permettant de contempler le calibre sous tous les angles.
La RM 35-02 Rafael Nadal (139.500 euros) est animée le nouveau calibre RMAL1 (heures, minutes et secondes) avec platine et ponts en titane grade 5 sablé traité PVD/Titalyt lui assurant une grande rigidité. Son balancier à inertie variable, cadencé à 4 htz, est alimenté par un système de double barillet afin d’améliorer la stabilité du couple. « Inspirée de la RM 35-01, la RM 35-02 est née de la demande de nombreux clients Richard Mille désireux de disposer d’un système de remontage automatique placé au cœur d’un calibre Nadal » précise la marque dans son communiqué. Sa réserve de marche est de 55 h environ.
Quoi de plus évident pour RM que d’utiliser son rotor à géométrie variable breveté, véritable symbole de l’automatisme chez Richard Mille, et qui permet d’adapter le remontage à l’activité du propriétaire de la montre ; avec Nadal elle devrait rarement se trouver sur la position « neutre ». Inédit également dans cette collection, le fond du boitier est protégé par un verre saphir traité antireflet permettant de contempler le calibre sous tous les angles.
Côté boitier justement, cette RM 35-02 (49.94x44.5x13.15mm / étanche 50 mètres) affiche au choix un carbone NTPT ou un Quartz-TPT rouge vif veiné de blanc. Ses couches de silice, d’une épaisseur maximale de 45 microns, sont imprégnées d’une résine rouge spécialement conçue pour RM puis intercalées par un système de dépose automatisé qui varie la direction des fibres de 45° à chaque couche.
Chauffé à 120°C dans un autoclave similaire à ceux utilisés pour les pièces aéronautiques, le matériau est alors prêt à être travaillé chez ProArt, manufacture dédiée à l’usinage des composants et des boîtiers RMe. La fibre de quartz d’un blanc naturel, non teintée selon l’usage en horlogerie, offre un rapport résistance/poids très élevé, des propriétés non-allergènes et une excellente résistance aux UV. A noter que le Quartz-TPT rouge utilisé pour la RM 35-02 peut résister à des chocs allant jusqu’à 5000 g.
« Toutes les montres qu’il m’a demandé de créer pour lui devaient être pour ainsi dire immatérielles, bien réelles mais si légères qu’on les oublie poursuit le patron de la marque. Je pense que lui et moi pouvons affirmer d’un commun accord que la série de montres qui porte son nom incarne à la perfection l’objectif de ce défi ». Elles pèsent toutes dans les 20 grammes bracelet compris, ce qui fait très cher le gramme, on vous l’accorde...
Chauffé à 120°C dans un autoclave similaire à ceux utilisés pour les pièces aéronautiques, le matériau est alors prêt à être travaillé chez ProArt, manufacture dédiée à l’usinage des composants et des boîtiers RMe. La fibre de quartz d’un blanc naturel, non teintée selon l’usage en horlogerie, offre un rapport résistance/poids très élevé, des propriétés non-allergènes et une excellente résistance aux UV. A noter que le Quartz-TPT rouge utilisé pour la RM 35-02 peut résister à des chocs allant jusqu’à 5000 g.
« Toutes les montres qu’il m’a demandé de créer pour lui devaient être pour ainsi dire immatérielles, bien réelles mais si légères qu’on les oublie poursuit le patron de la marque. Je pense que lui et moi pouvons affirmer d’un commun accord que la série de montres qui porte son nom incarne à la perfection l’objectif de ce défi ». Elles pèsent toutes dans les 20 grammes bracelet compris, ce qui fait très cher le gramme, on vous l’accorde...