« Richard Mille est une maison entièrement dévouée à la recherche de la performance » rappelle la marque dans son communiqué.
Au fil du temps, ce leitmotiv a conduit les ingénieurs travaillant pour la marque à rechercher des matériaux aux propriétés physiques hors norme, issus de secteurs à l’opposé de l’horlogerie comme l’aviation, l’automobile, l’électronique de pointe.
Ces univers ont permis de concevoir des calibres rigides et souples, antimagnétiques, résistants aux fortes températures, à la corrosion…
Mais un calibre Richard Mille possède également un rendement extrême. Les rouages sont étudiés pour diminuer la perte de couple et les diagrammes de couple de barillet pour être les plus constants.
De plus, les solutions de remontage sont optimisées et les balanciers sont des plus réguliers. « Le mouvement RM031 est un calibre à remontage manuel équipé d’un échappement AP à impulsion direct dont la précision est bien plus importante qu’un échappement classique grâce à l’action directe de la roue d’échappement sur le balancier » assure la marque dans son communiqué.
Cadencé à 36.000 alternances par heure et associé à un double barillet, la régularité dans le fractionnement du temps fait de cet échappement l’organe clé dans la course à la performance. Néanmoins, tout comme dans l’automobile, une telle puissance n’est utile que si elle est parfaitement retransmise aux roues. Ainsi, les ingénieurs mouvement Richard Mille ont mis l’accent sur la transmission de la montre en adoptant pour l’ensemble du rouage un angle de pression de 20° sur les dentures.
Cette optimisation permet l’excellente transmission de la force et donc un rendement optimal. Les assemblages sur une platine et les ponts en ARCAP garantissent une grande rigidité au mouvement et une forte résistance aux variations de température et à la corrosion.
L’échappement AP, les rouages aux profils spécifiques ainsi que l’architecture du mouvement procurent une constance dans le calcul du temps, que la montre soit au maximum de sa réserve de marche ou à quelques minutes de son arrêt. Le mouvement évolue dans un environnement sous argon, gaz noble, chimiquement inerte et au fort coefficient d’isolation thermique qui est comparable à une atmosphère sous vide.
Les performances chronométriques de la RM031 sont, de part ces technologies, exceptionnelles pour un calibre mécanique. Dépassant même les attentes des horlogers ! La maison Richard Mille a par ailleurs créé un diplôme de performance interne pour certifier les résultats de la montre.
Au fil du temps, ce leitmotiv a conduit les ingénieurs travaillant pour la marque à rechercher des matériaux aux propriétés physiques hors norme, issus de secteurs à l’opposé de l’horlogerie comme l’aviation, l’automobile, l’électronique de pointe.
Ces univers ont permis de concevoir des calibres rigides et souples, antimagnétiques, résistants aux fortes températures, à la corrosion…
Mais un calibre Richard Mille possède également un rendement extrême. Les rouages sont étudiés pour diminuer la perte de couple et les diagrammes de couple de barillet pour être les plus constants.
De plus, les solutions de remontage sont optimisées et les balanciers sont des plus réguliers. « Le mouvement RM031 est un calibre à remontage manuel équipé d’un échappement AP à impulsion direct dont la précision est bien plus importante qu’un échappement classique grâce à l’action directe de la roue d’échappement sur le balancier » assure la marque dans son communiqué.
Cadencé à 36.000 alternances par heure et associé à un double barillet, la régularité dans le fractionnement du temps fait de cet échappement l’organe clé dans la course à la performance. Néanmoins, tout comme dans l’automobile, une telle puissance n’est utile que si elle est parfaitement retransmise aux roues. Ainsi, les ingénieurs mouvement Richard Mille ont mis l’accent sur la transmission de la montre en adoptant pour l’ensemble du rouage un angle de pression de 20° sur les dentures.
Cette optimisation permet l’excellente transmission de la force et donc un rendement optimal. Les assemblages sur une platine et les ponts en ARCAP garantissent une grande rigidité au mouvement et une forte résistance aux variations de température et à la corrosion.
L’échappement AP, les rouages aux profils spécifiques ainsi que l’architecture du mouvement procurent une constance dans le calcul du temps, que la montre soit au maximum de sa réserve de marche ou à quelques minutes de son arrêt. Le mouvement évolue dans un environnement sous argon, gaz noble, chimiquement inerte et au fort coefficient d’isolation thermique qui est comparable à une atmosphère sous vide.
Les performances chronométriques de la RM031 sont, de part ces technologies, exceptionnelles pour un calibre mécanique. Dépassant même les attentes des horlogers ! La maison Richard Mille a par ailleurs créé un diplôme de performance interne pour certifier les résultats de la montre.
Toutefois, l’obtention du « diplôme » n’est possible qu’après 61 jours de tests non-stop :
Jour 1 à 15 : le premier test est effectué lors de l’assemblage complet du mouvement. Durant 15 jours, le calibre est soumis aux tests du COSC avec des critères beaucoup plus stricts établis par des constructeurs mouvements. Cette sévérité dans les résultats permet d’assurer une marche moyenne inférieure à 1 seconde/jour dès les premiers battements de la montre.
Jour 15 à 30 : une fois l’approbation obtenue du COSC et des ingénieurs Richard Mille, la montre est emboitée chez Renaud &Papi. De nouveaux contrôles sont effectués dans leurs locaux pour vérifier la réserve de marche, les fonctions, le remontage, les finitions... Pendant 15 jours, le calibre est soumis à rude épreuve afin de confirmer sa régularité chronométrique après emboitage. Le calcul du temps ne doit pas fluctuer de plus de 15 secondes au risque de devoir démonter la pièce.
Jour 30 à 61 : après un mois de tests, la montre arrive à la manufacture aux Breuleux. C’est à ce moment que la phase ultime d’examen commence : la montre effectue une rotation sur elle-même en une minute au coeur d’un cyclotest pendant 31 jours. Chaque jour, à 9h30 précisément et après 24 heures de marche, la montre est enlevée du cyclotest. L’horloger remonte la montre et, prenant comme référant l’heure atomique, confronte l’heure indiquée par la montre et celle indiquée par l’horloge atomique en prenant une photo à l’instant T, témoin visuel de la concordance des temps.
Après 31 jours, la marche moyenne sur un mois est établie. Les calibres dont la marche moyenne
dépasse 30 secondes sont démontés entièrement pour être réassemblés et sont de nouveau testés durant 61 jours. Les calibres ayant passés les phases de validation avec brio assurent à son propriétaire que la marche moyenne de sa montre ne variera pas de plus d’une seconde par jour.
Les 10 pièces RM 031 sont toutes livrées avec un certificat de performance signé par le contrôleur et par Richard Mille. Celui-ci est accompagné des relevés de performance quotidiens de la montre.
Jour 1 à 15 : le premier test est effectué lors de l’assemblage complet du mouvement. Durant 15 jours, le calibre est soumis aux tests du COSC avec des critères beaucoup plus stricts établis par des constructeurs mouvements. Cette sévérité dans les résultats permet d’assurer une marche moyenne inférieure à 1 seconde/jour dès les premiers battements de la montre.
Jour 15 à 30 : une fois l’approbation obtenue du COSC et des ingénieurs Richard Mille, la montre est emboitée chez Renaud &Papi. De nouveaux contrôles sont effectués dans leurs locaux pour vérifier la réserve de marche, les fonctions, le remontage, les finitions... Pendant 15 jours, le calibre est soumis à rude épreuve afin de confirmer sa régularité chronométrique après emboitage. Le calcul du temps ne doit pas fluctuer de plus de 15 secondes au risque de devoir démonter la pièce.
Jour 30 à 61 : après un mois de tests, la montre arrive à la manufacture aux Breuleux. C’est à ce moment que la phase ultime d’examen commence : la montre effectue une rotation sur elle-même en une minute au coeur d’un cyclotest pendant 31 jours. Chaque jour, à 9h30 précisément et après 24 heures de marche, la montre est enlevée du cyclotest. L’horloger remonte la montre et, prenant comme référant l’heure atomique, confronte l’heure indiquée par la montre et celle indiquée par l’horloge atomique en prenant une photo à l’instant T, témoin visuel de la concordance des temps.
Après 31 jours, la marche moyenne sur un mois est établie. Les calibres dont la marche moyenne
dépasse 30 secondes sont démontés entièrement pour être réassemblés et sont de nouveau testés durant 61 jours. Les calibres ayant passés les phases de validation avec brio assurent à son propriétaire que la marche moyenne de sa montre ne variera pas de plus d’une seconde par jour.
Les 10 pièces RM 031 sont toutes livrées avec un certificat de performance signé par le contrôleur et par Richard Mille. Celui-ci est accompagné des relevés de performance quotidiens de la montre.