On le sait, Richard Mille, l’homme, est passionné de technique comme en attestent d’ailleurs, les montres qu’il imagine depuis maintenant onze ans.
Mais son goût immodéré pour l’innovation, la performance et la création le poussent encore et toujours vers d’autres challenges. C’est ainsi qu’il s’est intéressé aux boutons de manchette, accessoire sophistiqué que les hommes aiment à choisir avec soin et qu’ils arborent au même titre que leur montre.
Synonyme d’élégance et de raffinement, le bouton de manchette a véritablement trouvé sa place dans le vestiaire masculin au 17ème siècle quand il devient objet de mode et de séduction. Si au cours des siècles, le bouton de manchette s’est fait bijou, jouant sur les formes et les matériaux, Richard Mille a pour sa part, choisi de relever un autre défi en transformant cet objet en véritable « œuvre d’art technique » assure le communiqué de presse de la marque.
Ainsi, après les boutons de manchette à chaînette traditionnelle, puis à patin basculant, Richard Mille a voulu innover en apportant une nouvelle solution technique. De fait, cet accessoire masculin, a été pensé selon le même concept que celui qui préside à l’élaboration des montres Richard Mille. « Ils se devaient d’être ingénieux, complexes, extrêmement techniques mais également fiables, pratiques et esthétiques ».
Résultat : ces boutons de manchette Richard Mille s’inspirent du même processus de création et de développement qu’un calibre Richard Mille. Deux ans d’étude et de conception ont été nécessaires pour la fabrication de ces pièces techniques qui intègrent pas moins de 38 composants.
Réalisés en titane grade 5, ils inaugurent un système inédit et breveté d’ouverture des pinces grâce à un bouton poussoir. En effet, contrairement au mécanisme classique où le bouton maintient la manche mousquetaire grâce à une tige pivotante, celui pensé par Richard Mille lie la manche par le biais de deux pinces en titane. Celles-ci s’ouvrent alors par une simple pression sur les boutons poussoirs et se referment, toujours par pression, sur le capot.
Autre particularité : le décor supérieur est satiné, microbillé et anglé à la main. Disponibles dès octobre dans les boutiques et points de vente Richard Mille, les boutons de manchette « R.M. » sont garantis deux ans. Tout d’abord proposés en titane, ils se déclineront ensuite dans une version sertie de diamants.
Mais son goût immodéré pour l’innovation, la performance et la création le poussent encore et toujours vers d’autres challenges. C’est ainsi qu’il s’est intéressé aux boutons de manchette, accessoire sophistiqué que les hommes aiment à choisir avec soin et qu’ils arborent au même titre que leur montre.
Synonyme d’élégance et de raffinement, le bouton de manchette a véritablement trouvé sa place dans le vestiaire masculin au 17ème siècle quand il devient objet de mode et de séduction. Si au cours des siècles, le bouton de manchette s’est fait bijou, jouant sur les formes et les matériaux, Richard Mille a pour sa part, choisi de relever un autre défi en transformant cet objet en véritable « œuvre d’art technique » assure le communiqué de presse de la marque.
Ainsi, après les boutons de manchette à chaînette traditionnelle, puis à patin basculant, Richard Mille a voulu innover en apportant une nouvelle solution technique. De fait, cet accessoire masculin, a été pensé selon le même concept que celui qui préside à l’élaboration des montres Richard Mille. « Ils se devaient d’être ingénieux, complexes, extrêmement techniques mais également fiables, pratiques et esthétiques ».
Résultat : ces boutons de manchette Richard Mille s’inspirent du même processus de création et de développement qu’un calibre Richard Mille. Deux ans d’étude et de conception ont été nécessaires pour la fabrication de ces pièces techniques qui intègrent pas moins de 38 composants.
Réalisés en titane grade 5, ils inaugurent un système inédit et breveté d’ouverture des pinces grâce à un bouton poussoir. En effet, contrairement au mécanisme classique où le bouton maintient la manche mousquetaire grâce à une tige pivotante, celui pensé par Richard Mille lie la manche par le biais de deux pinces en titane. Celles-ci s’ouvrent alors par une simple pression sur les boutons poussoirs et se referment, toujours par pression, sur le capot.
Autre particularité : le décor supérieur est satiné, microbillé et anglé à la main. Disponibles dès octobre dans les boutiques et points de vente Richard Mille, les boutons de manchette « R.M. » sont garantis deux ans. Tout d’abord proposés en titane, ils se déclineront ensuite dans une version sertie de diamants.