Proart, un bâtiment de 3000 m2 ultra contemporain conçu par le bureau d’architecte Chavanne, s’implante aux Breuleux (Jura Suisse).
Avec cette usine, la marque Richard Mille qui a su gagner l’estime des connaisseurs et amateurs de très Haute Horlogerie, pose ainsi un nouveau jalon dans son développement puisque c’est entre les murs de Proart, « une usine extrême pour des produits extrêmes », que seront réalisés les boîtiers de montres RM et certains composants de mouvements comme les platines et les ponts.
Ce nouvel outil de production, « qui s’inscrit dans le processus de stratégie de la marque, permet ainsi à cette dernière de se positionner encore davantage dans un segment de marché parfaitement adapté tant sur le plan humain que logistique » assure le communiqué de la marque.
En effet, le niveau technique des montres Richard Mille fabriquées en petites séries, est encore monté d’un cran ces dernières années comme le prouve par exemple la RM 039 Aviation E6-B chronographe flyback, une pièce d’une très grande complexité technique et d’une extrême performance, produite à seulement 30 pièces. « Or, il n’y a qu’en interne qu’il est possible de développer de tels produits dans des volumes aussi réduits et avec un niveau d’exigence aussi poussé » précise encore la marque.
Plus de deux ans ont été nécessaires pour que cette usine « dernier cri » en matière de protection de l’environnement -notamment de par les matériaux utilisés dans sa construction- sorte de terre. Et si certains aménagements sont encore en cours de finalisation, les machines tournent et une trentaine de régleurs CNC, de contrôleurs et de polisseurs sont déjà à leur poste. L’ensemble, dirigé par Alain Varrin, sera définitivement opérationnel en avril prochain.
Avec cette usine, la marque Richard Mille qui a su gagner l’estime des connaisseurs et amateurs de très Haute Horlogerie, pose ainsi un nouveau jalon dans son développement puisque c’est entre les murs de Proart, « une usine extrême pour des produits extrêmes », que seront réalisés les boîtiers de montres RM et certains composants de mouvements comme les platines et les ponts.
Ce nouvel outil de production, « qui s’inscrit dans le processus de stratégie de la marque, permet ainsi à cette dernière de se positionner encore davantage dans un segment de marché parfaitement adapté tant sur le plan humain que logistique » assure le communiqué de la marque.
En effet, le niveau technique des montres Richard Mille fabriquées en petites séries, est encore monté d’un cran ces dernières années comme le prouve par exemple la RM 039 Aviation E6-B chronographe flyback, une pièce d’une très grande complexité technique et d’une extrême performance, produite à seulement 30 pièces. « Or, il n’y a qu’en interne qu’il est possible de développer de tels produits dans des volumes aussi réduits et avec un niveau d’exigence aussi poussé » précise encore la marque.
Plus de deux ans ont été nécessaires pour que cette usine « dernier cri » en matière de protection de l’environnement -notamment de par les matériaux utilisés dans sa construction- sorte de terre. Et si certains aménagements sont encore en cours de finalisation, les machines tournent et une trentaine de régleurs CNC, de contrôleurs et de polisseurs sont déjà à leur poste. L’ensemble, dirigé par Alain Varrin, sera définitivement opérationnel en avril prochain.