Samedi 7 avril, le suspense est total lors de l’ultime confrontation entre les ténors de chaque classe.
Déjà vainqueur en 2010, Rambler 90 s’impose finalement dans le groupe des Maxi-Yachts devant le géant (34,5m) plan Reichel Pugh Nilaya et le grand Swan Selene.
Dans la catégorie des Multicoques, c’est l’américain Peter Aschenbrenner qui s’assure la première place, au bénéfice de la dernière manche remportée, devant le grand catamaran de 60 pieds, Phaedo.
Dans la nouvelle classe des IRC 52, la lutte est acharnée, mais c’est finalement Mayhem, mené par la canadienne Ashley Wolfe, qui termine premier au classement général avec un point d’avance.
Dans la classe des Spinnacker, c’est également du très grand spectacle qu’offrent le Marten 49 Defiance de l’américain Clay Deutsch et le Carkeen 40 Decision de Stephen Murray. Une joute nautique remportée par le premier des deux.
Enfin, chez les Spinnacker 1, Bus Frits et son Coors Light gagne à l’arrachée devant un 44.7 Lazy Dogs qui avait pourtant dominé tout le début de semaine.
Partenaire Principal des Voiles de Saint Barth, Richard Mille se félicite de l’ampleur prise par la régate en seulement trois éditions. Un événement qui combine forte dimension technique, compétition, mais également convivialité et fraternité. Des valeurs chères à la marque, présente dans l’univers nautique depuis plusieurs années, avec les montres de plongées que sont la RM 025 Tourbillon Chronographe, la RM 028 Automatique, la RM 032 Automatique Chronographe, toutes d’une technicité extrême.
Et bien sûr, la RM 028 Automatique Voiles de Saint Barth, éditée à 100 exemplaires et créée en hommage à la régate. Lors de la cérémonie de clôture des Voiles de Saint Barth, qui se déroulait sur le port de Gustavia, samedi 7 avril, Richard Mille a d’ailleurs remis une RM 028 Voiles de Saint Barth à George David, grand gagnant de la classe Maxi Yachts sponsorisée par la marque.
Rappelons que la RM 028 Voiles de Saint Barth combine un boitier exceptionnel à un mouvement squeletté -devenus la marque de fabrique des montres Richard Mille-, avec les éléments caractéristiques d’une montre de plongée.
En effet, la RM 028 répond à la norme ISO 6425 des montres de plongée avec une étanchéité à 300 mètres (30 ATM) et une lunette tournante unidirectionnelle. Les lignes du boitier de 47 mm de diamètre dissimulent un concentré de savoir-faire technique. Une étanchéité parfaite est obtenue grâce à une construction unique du boitier en trois parties.
La lunette est en trois parties assemblées par 22 vis pour un ajustement parfait. Ce dispositif est complété par l’intégration de cornes dans le système du boitier. Le mouvement automatique squeletté de la RM 028 est équipé d’un rotor à géométrie variable, un concept exclusif Richard Mille, qui permet d’adapter le remontage automatique à l’activité de l’utilisateur, grâce au réglage de deux ailettes en or blanc. La RM 028 Voiles de Saint Barth se distingue par ses nombreux éléments jaunes vifs. La couronne est entourée de caoutchouc jaune. La même couleur orne la lunette et le bracelet en caoutchouc. Enfin, le logo des Voiles de Saint Barth est apposé sur le cadran, à 8 heures.
Montre de plongée automatique RM 028 Voiles de Saint Barth
Fonctions : mouvement automatique squeletté avec rotor à géométrie variable, heures, minutes, secondes et date. Diamètre : 47.00 mm x 14.60 mm (au plus haut). Disponible en titane avec cornes en titane et bracelet en caoutchouc.
Déjà vainqueur en 2010, Rambler 90 s’impose finalement dans le groupe des Maxi-Yachts devant le géant (34,5m) plan Reichel Pugh Nilaya et le grand Swan Selene.
Dans la catégorie des Multicoques, c’est l’américain Peter Aschenbrenner qui s’assure la première place, au bénéfice de la dernière manche remportée, devant le grand catamaran de 60 pieds, Phaedo.
Dans la nouvelle classe des IRC 52, la lutte est acharnée, mais c’est finalement Mayhem, mené par la canadienne Ashley Wolfe, qui termine premier au classement général avec un point d’avance.
Dans la classe des Spinnacker, c’est également du très grand spectacle qu’offrent le Marten 49 Defiance de l’américain Clay Deutsch et le Carkeen 40 Decision de Stephen Murray. Une joute nautique remportée par le premier des deux.
Enfin, chez les Spinnacker 1, Bus Frits et son Coors Light gagne à l’arrachée devant un 44.7 Lazy Dogs qui avait pourtant dominé tout le début de semaine.
Partenaire Principal des Voiles de Saint Barth, Richard Mille se félicite de l’ampleur prise par la régate en seulement trois éditions. Un événement qui combine forte dimension technique, compétition, mais également convivialité et fraternité. Des valeurs chères à la marque, présente dans l’univers nautique depuis plusieurs années, avec les montres de plongées que sont la RM 025 Tourbillon Chronographe, la RM 028 Automatique, la RM 032 Automatique Chronographe, toutes d’une technicité extrême.
Et bien sûr, la RM 028 Automatique Voiles de Saint Barth, éditée à 100 exemplaires et créée en hommage à la régate. Lors de la cérémonie de clôture des Voiles de Saint Barth, qui se déroulait sur le port de Gustavia, samedi 7 avril, Richard Mille a d’ailleurs remis une RM 028 Voiles de Saint Barth à George David, grand gagnant de la classe Maxi Yachts sponsorisée par la marque.
Rappelons que la RM 028 Voiles de Saint Barth combine un boitier exceptionnel à un mouvement squeletté -devenus la marque de fabrique des montres Richard Mille-, avec les éléments caractéristiques d’une montre de plongée.
En effet, la RM 028 répond à la norme ISO 6425 des montres de plongée avec une étanchéité à 300 mètres (30 ATM) et une lunette tournante unidirectionnelle. Les lignes du boitier de 47 mm de diamètre dissimulent un concentré de savoir-faire technique. Une étanchéité parfaite est obtenue grâce à une construction unique du boitier en trois parties.
La lunette est en trois parties assemblées par 22 vis pour un ajustement parfait. Ce dispositif est complété par l’intégration de cornes dans le système du boitier. Le mouvement automatique squeletté de la RM 028 est équipé d’un rotor à géométrie variable, un concept exclusif Richard Mille, qui permet d’adapter le remontage automatique à l’activité de l’utilisateur, grâce au réglage de deux ailettes en or blanc. La RM 028 Voiles de Saint Barth se distingue par ses nombreux éléments jaunes vifs. La couronne est entourée de caoutchouc jaune. La même couleur orne la lunette et le bracelet en caoutchouc. Enfin, le logo des Voiles de Saint Barth est apposé sur le cadran, à 8 heures.
Montre de plongée automatique RM 028 Voiles de Saint Barth
Fonctions : mouvement automatique squeletté avec rotor à géométrie variable, heures, minutes, secondes et date. Diamètre : 47.00 mm x 14.60 mm (au plus haut). Disponible en titane avec cornes en titane et bracelet en caoutchouc.