Les horlogers de Richard Mille ont conçu cette pièce exceptionnelle (en titane, acier, laiton, or, argent et tungsten), de telle sorte, qu’elle soit utilisable facilement dans les conditions de la vie quotidienne.
Il l'ont ainsi doté de possibilités de correction en fonction des différents fuseaux horaires et d'un réglage d'une remarquable aisance. Cette réalisation artisanale a requis pas moins de dix années de recherches et de développement.
Un autre aspect extraordinaire du planétaire-tellurium Richard Mille réside dans le fait que les représentations astronomiques se complètent d'un quantième perpétuel. L'association d'un rouage d'une extrême précision et d'un barillet pour le planétaire à un échappement à détente, fait de ce planétaire-tellurium à mouvement d'horlogerie, le plus précis de son espèce.
Il l'ont ainsi doté de possibilités de correction en fonction des différents fuseaux horaires et d'un réglage d'une remarquable aisance. Cette réalisation artisanale a requis pas moins de dix années de recherches et de développement.
Un autre aspect extraordinaire du planétaire-tellurium Richard Mille réside dans le fait que les représentations astronomiques se complètent d'un quantième perpétuel. L'association d'un rouage d'une extrême précision et d'un barillet pour le planétaire à un échappement à détente, fait de ce planétaire-tellurium à mouvement d'horlogerie, le plus précis de son espèce.
Un peu d’histoire…
Pendant l'Antiquité, ces représentations physiques étaient généralement monumentales et statiques, à l'exemple des temples qui permettaient de relier un emplacement déterminé à des caractéristiques astronomiques spécifiques.
Ultérieurement, des esprits inventifs se mirent à développer des modèles portatifs aux dimensions plus réduites qui illustraient les mouvements du soleil, de la terre, de la lune et des planètes ainsi que d'autres phénomènes célestes afin de faciliter l'orientation lors de longs voyages sur terre et en mer.
Un texte de Cicéron, consacré à une invention d'Archimède (287-212 avant J.-C.) qui n'a jamais été retrouvée, est considéré comme l'une des premières références à un mécanisme réalisé par l'homme pour reproduire les mouvements de la lune et des planètes. Le plus ancien planétaire connu est sans doute la célèbre machine d'Anticythère, qui fut vraisemblablement confectionnée entre 80 et 50 avant J.-C.
Découverte en 1901 avec un grand nombre de statues et d'objets, elle abrite un dispositif en mesure de représenter les mouvements du soleil, de la lune et de quatre des planètes visibles à l'oeil nu. Ce mécanisme secret ne fut cependant mis à jour qu'en 1959 à la suite d'un examen aux rayons X qui révéla les rouages contenus à l'intérieur de son corps vert foncé, en bronze décoloré.
De nombreuses cultures ont réalisé des machines astronomiques destinées à décrire les mouvements des corps célestes sous les variantes les plus diverses. Toutefois, nous pouvons les répartir en deux catégories principales : les représentations mécaniques dotées d'une manivelle actionnée à la main et celles entraînées par un mouvement d'horlogerie.
L'une des premières illustrations d'un mécanisme à engrenage représentant les mouvements du soleil, de la terre et de la lune dans une disposition horizontale semblable aux tableaux qui apparurent à la fin du XVIIe siècle est visible dans un portrait de l'astronome et inventeur allemand Wilhem Schickard (1592-1635) qui enseigna à l'université de Tübingen. Bien que grossière dans sa conception et dépourvue du nombre correct de dents pour assurer une représentation exacte des phénomènes célestes, le mécanisme à manivelle qu'il tient dans ses mains décrit les révolutions annuelles et diurnes de la terre selon le modèle copernicien.
En outre, il semble bien que le premier tellurium (modèle en trois dimensions pour décrire le cycle annuel de la terre autour du soleil, ses mouvements diurnes et son parallélisme par rapport à l'axe) ait été développé en premier lieu aux Pays-Bas, une thèse accréditée par les telluriums réalisés par le célèbre cartographe amsterdamois Willem Janszoon Blaeu (1571-1638).
Toutefois, les planétaires et les telluriums entraînés par des mouvements d'horlogerie capables de montrer la course des corps célestes sans intervention manuelle ne connurent leur véritable essor qu'au cours du XVIIe siècle avec l'apparition de nouveaux types d'échappement plus précis.
Hormis la nécessaire précision de marche, le développement de tels instruments était également subordonné à l'amélioration de la précision de représentation car l'inexactitude dans le calcul des rapport d'engrenage rendait nécessaire le réajustement bimensuel des planétaires (ainsi, une erreur de 1° en huit heures dans la rotation de la terre sur son axe se traduisait par un écart cumulé de +45° en quinze jours).
Dans une perspective plus générale, il n'est sans doute pas inutile de rappeler que depuis le XIVe siècle jusqu'au milieu du XXe siècle, l'horlogerie et ses diverses applications revêtaient une importance aussi cruciale pour les secteurs scientifiques, militaires et civils que la technologie informatique et les moyens de communication de nos jours. Il n'est donc pas étonnant que diverses nations, à l'instar de l'Italie, de l'Allemagne, du Japon, de la France, de l'Angleterre et enfin de la Suisse n'aient cessé de rivaliser d'ingéniosité pour développer des instruments de mesure du temps destinés à assurer leur suprématie dans ce domaine stratégique. La création de planétaire-tellurium mû par un mouvement d'horlogerie incarne de ce fait l'une des expressions de cet esprit de compétition.
Parmi les érudits et savants qui se sont intéressés au développement du planétarium, il importe de citer notamment: Han Kung-Lien (vers 1088), Giovanni de Dondi (1318-1389), Jost Bürgi (1532-1592), Willem Janszoon Blaeu (1571-1638), Christian Huygens (1629-1695), Thomas Tompion (1639-1713), Georges Graham (1673-1751), Philip-Mathaus Hahn (1739-1790), Jean-Baptiste Cattin (1688-1767), Antide Janvier (1751-1835), François Ducommun (1763-1839), Jean-Jacques Lepaute (1775-1830).
Ultérieurement, des esprits inventifs se mirent à développer des modèles portatifs aux dimensions plus réduites qui illustraient les mouvements du soleil, de la terre, de la lune et des planètes ainsi que d'autres phénomènes célestes afin de faciliter l'orientation lors de longs voyages sur terre et en mer.
Un texte de Cicéron, consacré à une invention d'Archimède (287-212 avant J.-C.) qui n'a jamais été retrouvée, est considéré comme l'une des premières références à un mécanisme réalisé par l'homme pour reproduire les mouvements de la lune et des planètes. Le plus ancien planétaire connu est sans doute la célèbre machine d'Anticythère, qui fut vraisemblablement confectionnée entre 80 et 50 avant J.-C.
Découverte en 1901 avec un grand nombre de statues et d'objets, elle abrite un dispositif en mesure de représenter les mouvements du soleil, de la lune et de quatre des planètes visibles à l'oeil nu. Ce mécanisme secret ne fut cependant mis à jour qu'en 1959 à la suite d'un examen aux rayons X qui révéla les rouages contenus à l'intérieur de son corps vert foncé, en bronze décoloré.
De nombreuses cultures ont réalisé des machines astronomiques destinées à décrire les mouvements des corps célestes sous les variantes les plus diverses. Toutefois, nous pouvons les répartir en deux catégories principales : les représentations mécaniques dotées d'une manivelle actionnée à la main et celles entraînées par un mouvement d'horlogerie.
L'une des premières illustrations d'un mécanisme à engrenage représentant les mouvements du soleil, de la terre et de la lune dans une disposition horizontale semblable aux tableaux qui apparurent à la fin du XVIIe siècle est visible dans un portrait de l'astronome et inventeur allemand Wilhem Schickard (1592-1635) qui enseigna à l'université de Tübingen. Bien que grossière dans sa conception et dépourvue du nombre correct de dents pour assurer une représentation exacte des phénomènes célestes, le mécanisme à manivelle qu'il tient dans ses mains décrit les révolutions annuelles et diurnes de la terre selon le modèle copernicien.
En outre, il semble bien que le premier tellurium (modèle en trois dimensions pour décrire le cycle annuel de la terre autour du soleil, ses mouvements diurnes et son parallélisme par rapport à l'axe) ait été développé en premier lieu aux Pays-Bas, une thèse accréditée par les telluriums réalisés par le célèbre cartographe amsterdamois Willem Janszoon Blaeu (1571-1638).
Toutefois, les planétaires et les telluriums entraînés par des mouvements d'horlogerie capables de montrer la course des corps célestes sans intervention manuelle ne connurent leur véritable essor qu'au cours du XVIIe siècle avec l'apparition de nouveaux types d'échappement plus précis.
Hormis la nécessaire précision de marche, le développement de tels instruments était également subordonné à l'amélioration de la précision de représentation car l'inexactitude dans le calcul des rapport d'engrenage rendait nécessaire le réajustement bimensuel des planétaires (ainsi, une erreur de 1° en huit heures dans la rotation de la terre sur son axe se traduisait par un écart cumulé de +45° en quinze jours).
Dans une perspective plus générale, il n'est sans doute pas inutile de rappeler que depuis le XIVe siècle jusqu'au milieu du XXe siècle, l'horlogerie et ses diverses applications revêtaient une importance aussi cruciale pour les secteurs scientifiques, militaires et civils que la technologie informatique et les moyens de communication de nos jours. Il n'est donc pas étonnant que diverses nations, à l'instar de l'Italie, de l'Allemagne, du Japon, de la France, de l'Angleterre et enfin de la Suisse n'aient cessé de rivaliser d'ingéniosité pour développer des instruments de mesure du temps destinés à assurer leur suprématie dans ce domaine stratégique. La création de planétaire-tellurium mû par un mouvement d'horlogerie incarne de ce fait l'une des expressions de cet esprit de compétition.
Parmi les érudits et savants qui se sont intéressés au développement du planétarium, il importe de citer notamment: Han Kung-Lien (vers 1088), Giovanni de Dondi (1318-1389), Jost Bürgi (1532-1592), Willem Janszoon Blaeu (1571-1638), Christian Huygens (1629-1695), Thomas Tompion (1639-1713), Georges Graham (1673-1751), Philip-Mathaus Hahn (1739-1790), Jean-Baptiste Cattin (1688-1767), Antide Janvier (1751-1835), François Ducommun (1763-1839), Jean-Jacques Lepaute (1775-1830).
Description du mouvement planétaire-tellurium Richard Mille
Malgré son immense complexité, le planétaire-tellurium Richard Mille est conçu pour être : facile à comprendre ; aisé et pratique à utiliser et précis et fiable. Autant de caractéristiques qui permettent pour la première fois à une personne non spécialisée de comprendre et de régler sans difficulté un instrument d'un tel raffinement astronomique et technique.
Représentation visuelle compréhensible :
En premier lieu, le diamètre de la terre, considérablement agrandi pour des considérations pratiques et esthétiques (notre planète est en réalité 109 fois plus petite que le soleil) permet de distinguer aisément les divers continents et de la plupart des pays. Toutes les planètes sont parfaitement visibles, même si elles ne sont pas reproduites à l'échelle de leur grandeur et de leur distance ainsi qu'il vient d'être dit. Les indications (date, équation du temps, zodiaque) sont affichées très lisiblement et de manière parfaitement cohérente dans un secteur distinct de celui consacré à la représentation de la rotation des planètes.
Aisance d’utilisation :
Un système de levier permet de remonter le planétaire-tellurium et assure une réserve de marche de 15 jours.
Incorporé pour la première fois à un planétaire, le quantième perpétuel est doté d'un correcteur rapide qui permet de procéder aisément aux réglages requis, dans les deux sens, en avant et en arrière.
Le planétaire-tellurium offre également des possibilités d'ajustement rapide s'il n'a pas été remonté pendant une longue période. Simple en apparence, cette synchronisation constitue une véritable prouesse technique car elle est également reliée au mécanisme des indications horaires comprenant l'heure locale, l'heure d'été et l'heure d'hiver. Elle est le fruit de longues études et recherches mécaniques afin de permettre le réglage et le redémarrage rapide d'un instrument tellement complexe qu'un arrêt prolongé exigeait auparavant le recours aux services d'un horloger ou d'un astronome pour la remise en marche.
Le mouvement est équipé d’un balancier à dispositif arrêt-redémarrage qui permet de le remettre en marche après une période d'immobilisation. En effet, le fait que le balancier ne redémarre pas pendant le remontage du mouvement est une caractéristique de l'échappement à détente).
Précision et fiabilité du planétaire-tellurium Richard Mille :
Un physicien astronome renommé a effectué les innombrables calculs exigés par la réalisation de ce projet. De ce fait, l'erreur la plus importante concerne l'angle de l'axe terrestre et elle se limite à +1° tous les 7,7 ans approximativement. Les autres données sont : +1° en environ 168 ans pour la rotation de la lune autour de la terre ainsi que -1° en environ 2 millions d’années pour la rotation de la terre autour du soleil. Comme la valeur de 1° est inférieure aux tolérances de réglage (+/- 2°) adoptées pour ce planétaire et nettement moindres à celles retenues pour les anciens planétaires, il est aisé de réaliser que l'erreur de la terre par rapport à son axe est parfaitement acceptable, voire anodine.
Pour le mouvement de base :
Le mouvement du planétaire-tellurium est équipé d’un échappement à détente beaucoup plus performant que l’échappement à ancre en raison de son interférence moindre avec l'organe réglant (le balancier).
La correction de l’avance et du retard est effectuée sur le balancier à inertie variable au moyen de vis de réglage. Extrêmement perfectionné, ce type de balancier garantit une fiabilité accrue et de meilleurs résultats chronométriques. La suppression de la raquette permet ainsi de réaliser de manière répétée des réglages plus précis.
Le ressort moteur de type Tensator assure une plus grande constance du couple, élément essentiel de la précision de marche.
Représentation visuelle compréhensible :
En premier lieu, le diamètre de la terre, considérablement agrandi pour des considérations pratiques et esthétiques (notre planète est en réalité 109 fois plus petite que le soleil) permet de distinguer aisément les divers continents et de la plupart des pays. Toutes les planètes sont parfaitement visibles, même si elles ne sont pas reproduites à l'échelle de leur grandeur et de leur distance ainsi qu'il vient d'être dit. Les indications (date, équation du temps, zodiaque) sont affichées très lisiblement et de manière parfaitement cohérente dans un secteur distinct de celui consacré à la représentation de la rotation des planètes.
Aisance d’utilisation :
Un système de levier permet de remonter le planétaire-tellurium et assure une réserve de marche de 15 jours.
Incorporé pour la première fois à un planétaire, le quantième perpétuel est doté d'un correcteur rapide qui permet de procéder aisément aux réglages requis, dans les deux sens, en avant et en arrière.
Le planétaire-tellurium offre également des possibilités d'ajustement rapide s'il n'a pas été remonté pendant une longue période. Simple en apparence, cette synchronisation constitue une véritable prouesse technique car elle est également reliée au mécanisme des indications horaires comprenant l'heure locale, l'heure d'été et l'heure d'hiver. Elle est le fruit de longues études et recherches mécaniques afin de permettre le réglage et le redémarrage rapide d'un instrument tellement complexe qu'un arrêt prolongé exigeait auparavant le recours aux services d'un horloger ou d'un astronome pour la remise en marche.
Le mouvement est équipé d’un balancier à dispositif arrêt-redémarrage qui permet de le remettre en marche après une période d'immobilisation. En effet, le fait que le balancier ne redémarre pas pendant le remontage du mouvement est une caractéristique de l'échappement à détente).
Précision et fiabilité du planétaire-tellurium Richard Mille :
Un physicien astronome renommé a effectué les innombrables calculs exigés par la réalisation de ce projet. De ce fait, l'erreur la plus importante concerne l'angle de l'axe terrestre et elle se limite à +1° tous les 7,7 ans approximativement. Les autres données sont : +1° en environ 168 ans pour la rotation de la lune autour de la terre ainsi que -1° en environ 2 millions d’années pour la rotation de la terre autour du soleil. Comme la valeur de 1° est inférieure aux tolérances de réglage (+/- 2°) adoptées pour ce planétaire et nettement moindres à celles retenues pour les anciens planétaires, il est aisé de réaliser que l'erreur de la terre par rapport à son axe est parfaitement acceptable, voire anodine.
Pour le mouvement de base :
Le mouvement du planétaire-tellurium est équipé d’un échappement à détente beaucoup plus performant que l’échappement à ancre en raison de son interférence moindre avec l'organe réglant (le balancier).
La correction de l’avance et du retard est effectuée sur le balancier à inertie variable au moyen de vis de réglage. Extrêmement perfectionné, ce type de balancier garantit une fiabilité accrue et de meilleurs résultats chronométriques. La suppression de la raquette permet ainsi de réaliser de manière répétée des réglages plus précis.
Le ressort moteur de type Tensator assure une plus grande constance du couple, élément essentiel de la précision de marche.
Représentations (R) et indications astronomiques (I)
- Rotation de la terre sur son axe (R)
- Rotation de la terre autour du soleil (R)
- Obliquité de la terre (R)
- Rotation de la lune sur son axe (R)
- Rotation de la lune autour de la terre (R)
- Phase de lune (I)
- Equation de temps (I)
- Mercure (R)
- Vénus (R)
- Soleil (R)
Explications :
Rotation de la terre sur son axe (R)
Un tour sur son axe en 24 heures. Erreur: +1° en 7,7 ans
Rotation de la terre autour du soleil (R)
Une révolution en 1 an. Erreur: -1° en 2 millions d’années. Cette rotation est utilisée comme élément de base pour l'indication des saisons, des équinoxes, des solstices et des signes du zodiaque dans leurs guichets correspondants.
Obliquité de la terre (R)
Rotation exacte, l'inclinaison de l’axe de la terre passant aux deux pôles est de 23,5°. Cette inclinaison face au soleil permet de comprendre parfaitement le phénomène des saisons.
Rotation de la lune sur son axe et rotation de la lune autour de la terre (R)
Le calcul de la rotation est fondé sur un mois synodique de 29,53058912 jours (intervalle de temps entre deux nouvelles lunes). Erreur: +1° en 168 ans.
Phase de lune (I)
Les phases de la lune sont représentées sur la lune elle-même sous la forme d'un anneau qui illustre la partie visible depuis la terre.
Equation de temps (I)
L’équation de temps est représentée par une aiguille et un cadran divisé en quatre secteurs sur la face du planétaire. L’aiguille indique en + ou en – les minutes qu’il faut rajouter ou soustraire à l’heure moyenne pour obtenir l’heure solaire vraie.
Heure solaire
Associée à l’équation du temps, elle représente l’heure solaire vraie. Reliée au mécanisme du planétaire, cette indication est située sur le cadran.
Mercure (R)
Représentation de Mercure qui effectue une rotation autour du soleil en 87,9 jours. Ne tourne pas sur son axe.
Vénus (R)
Représentation de Vénus qui effectue une rotation autour du soleil en 224,7 jours. Ne tourne pas sur son axe.
Soleil (R)
Représentation statique du soleil au centre du planétaire-tellurium.
Indications horlogères
- Heure
- Minute
- Fuseaux horaires
- Date (Quantième perpétuel)
- Jour (Quantième perpétuel)
- Mois (Quantième perpétuel)
- Année, décennie (Quantième perpétuel)
- Année bissextile
- Réserve de marche
- Saisons, équinoxes, solstices, signes du zodiaque
Matériaux utilisés
Titane, acier, laiton, or, argent, tungsten.
Durée de vie
De nos jours, il est encore possible de restaurer des horloges qui comptent plus de six siècles. Le planétaire-tellurium Richard Mille ne dérogera pas à cette règle et chacune de ses pièces peut être fabriquée à nouveau. Cependant, relevons à cet égard que le ressort de barillet est conçu pour posséder une durée de vie d'environ 350 ans….
Entretien
Un nettoyage est recommandé tous les 5 ans.
Service après-vente
Assuré par Richard Mille. A long terme, ce type d’objet peut être réparé par un horloger très qualifié ou par un restaurateur en horlogerie ancienne particulièrement compétent.
Garantie
Trois ans, pièces et main d’œuvre, y compris le transport. La garantie ne couvre par les chutes, les chocs violents et les manipulations inadéquates.
- Rotation de la terre sur son axe (R)
- Rotation de la terre autour du soleil (R)
- Obliquité de la terre (R)
- Rotation de la lune sur son axe (R)
- Rotation de la lune autour de la terre (R)
- Phase de lune (I)
- Equation de temps (I)
- Mercure (R)
- Vénus (R)
- Soleil (R)
Explications :
Rotation de la terre sur son axe (R)
Un tour sur son axe en 24 heures. Erreur: +1° en 7,7 ans
Rotation de la terre autour du soleil (R)
Une révolution en 1 an. Erreur: -1° en 2 millions d’années. Cette rotation est utilisée comme élément de base pour l'indication des saisons, des équinoxes, des solstices et des signes du zodiaque dans leurs guichets correspondants.
Obliquité de la terre (R)
Rotation exacte, l'inclinaison de l’axe de la terre passant aux deux pôles est de 23,5°. Cette inclinaison face au soleil permet de comprendre parfaitement le phénomène des saisons.
Rotation de la lune sur son axe et rotation de la lune autour de la terre (R)
Le calcul de la rotation est fondé sur un mois synodique de 29,53058912 jours (intervalle de temps entre deux nouvelles lunes). Erreur: +1° en 168 ans.
Phase de lune (I)
Les phases de la lune sont représentées sur la lune elle-même sous la forme d'un anneau qui illustre la partie visible depuis la terre.
Equation de temps (I)
L’équation de temps est représentée par une aiguille et un cadran divisé en quatre secteurs sur la face du planétaire. L’aiguille indique en + ou en – les minutes qu’il faut rajouter ou soustraire à l’heure moyenne pour obtenir l’heure solaire vraie.
Heure solaire
Associée à l’équation du temps, elle représente l’heure solaire vraie. Reliée au mécanisme du planétaire, cette indication est située sur le cadran.
Mercure (R)
Représentation de Mercure qui effectue une rotation autour du soleil en 87,9 jours. Ne tourne pas sur son axe.
Vénus (R)
Représentation de Vénus qui effectue une rotation autour du soleil en 224,7 jours. Ne tourne pas sur son axe.
Soleil (R)
Représentation statique du soleil au centre du planétaire-tellurium.
Indications horlogères
- Heure
- Minute
- Fuseaux horaires
- Date (Quantième perpétuel)
- Jour (Quantième perpétuel)
- Mois (Quantième perpétuel)
- Année, décennie (Quantième perpétuel)
- Année bissextile
- Réserve de marche
- Saisons, équinoxes, solstices, signes du zodiaque
Matériaux utilisés
Titane, acier, laiton, or, argent, tungsten.
Durée de vie
De nos jours, il est encore possible de restaurer des horloges qui comptent plus de six siècles. Le planétaire-tellurium Richard Mille ne dérogera pas à cette règle et chacune de ses pièces peut être fabriquée à nouveau. Cependant, relevons à cet égard que le ressort de barillet est conçu pour posséder une durée de vie d'environ 350 ans….
Entretien
Un nettoyage est recommandé tous les 5 ans.
Service après-vente
Assuré par Richard Mille. A long terme, ce type d’objet peut être réparé par un horloger très qualifié ou par un restaurateur en horlogerie ancienne particulièrement compétent.
Garantie
Trois ans, pièces et main d’œuvre, y compris le transport. La garantie ne couvre par les chutes, les chocs violents et les manipulations inadéquates.