Aujourd’hui, les douze chevaliers micro-gravés semblent être en mouvement tout en adoptant une pose unique. Chacun d’eux affiche une personnalité propre et l’ensemble offre une scène comme « figée dans l’instant ». Comme si une bataille allait éclater d’une seconde à l’autre.
Pour représenter des personnages aussi vivants, les chevaliers ont dû traverser un processus artisanal exigeant. Des maquettes en résine de chaque combattant ont été créées à partir des dessins originaux. Puis, des scans en 3D furent réalisés, moulés et fondus en or rose 18 carats, pour obtenir des chevaliers de 6 mm de haut.
Ensuite, les artisans gravent manuellement chaque pièce, insufflant ainsi, leur apparence finale. Cette étape demande un à trois jours de travail par chevalier et une bonne dose de patience ! Pour détailler les épées les plus fines ou les nuances des armures, un savoir-faire du plus haut niveau est nécessaire. Un seul faux mouvement mènerait à perdre le duel. Et à recommencer à zéro.
Pour représenter des personnages aussi vivants, les chevaliers ont dû traverser un processus artisanal exigeant. Des maquettes en résine de chaque combattant ont été créées à partir des dessins originaux. Puis, des scans en 3D furent réalisés, moulés et fondus en or rose 18 carats, pour obtenir des chevaliers de 6 mm de haut.
Ensuite, les artisans gravent manuellement chaque pièce, insufflant ainsi, leur apparence finale. Cette étape demande un à trois jours de travail par chevalier et une bonne dose de patience ! Pour détailler les épées les plus fines ou les nuances des armures, un savoir-faire du plus haut niveau est nécessaire. Un seul faux mouvement mènerait à perdre le duel. Et à recommencer à zéro.
Dans cette nouvelle version en édition limitée à 28 exemplaires, les douze héros se trouvent dans un territoire de glace, au-dessus d’un lac profond d’une couleur saisissante. Au centre, le cadran semble se craqueler, plaçant les chevaliers face à une nouvelle menace.
Dès le rebord extérieur, Roger Dubuis a entouré toute la scène d’une couronne de verre transparent bleu glacé, fabriqué selon la méthode Murano. Six mois de recherches et de tests approfondis ont été nécessaires pour obtenir ce ton particulier.
Le même verre bleu glacé est utilisé pour le disque principal, ainsi que pour les blocs qui surgissent du lac. Pour obtenir l’effet scintillant de la neige vierge, les blocs sont enduits en biscuit de porcelaine de Limoges. Elle offre une finition mate contrastante pour un accord avec les surfaces brillantes du verre. La création de ce cadran est réalisée tel un puzzle en 3D. Au total, un mois est nécessaire pour réaliser ce travail, ainsi que la fabrication des chevaliers.
Dès le rebord extérieur, Roger Dubuis a entouré toute la scène d’une couronne de verre transparent bleu glacé, fabriqué selon la méthode Murano. Six mois de recherches et de tests approfondis ont été nécessaires pour obtenir ce ton particulier.
Le même verre bleu glacé est utilisé pour le disque principal, ainsi que pour les blocs qui surgissent du lac. Pour obtenir l’effet scintillant de la neige vierge, les blocs sont enduits en biscuit de porcelaine de Limoges. Elle offre une finition mate contrastante pour un accord avec les surfaces brillantes du verre. La création de ce cadran est réalisée tel un puzzle en 3D. Au total, un mois est nécessaire pour réaliser ce travail, ainsi que la fabrication des chevaliers.
Ce cadran est intégré dans un boîtier de 45 mm en titane Damas, en hommage à l’art ancestral de la métallurgie. Ce métal léger et anallergique lui donne une touche moderne, mais c’est le procédé Damas qui fait toute la différence.
Le forgeron commence par empiler des plaques de titane de Grade 2 et de Grade 5. Ces alliages sont ensuite placés dans un four atteignant des températures extrêmes. Quand le métal est encore chaud, il est vigoureusement martelé, afin que les couches initiales fusionnent en un bloc solide.
Ensuite, le bloc est chauffé et pressé encore et encore pour l’étirer et le mettre en forme. Couper, plier, chauffer, recommencer. Un ardent procédé répété plusieurs fois, jusqu’à obtenir le nombre de couches et de pliages désirés.
Le forgeron commence par empiler des plaques de titane de Grade 2 et de Grade 5. Ces alliages sont ensuite placés dans un four atteignant des températures extrêmes. Quand le métal est encore chaud, il est vigoureusement martelé, afin que les couches initiales fusionnent en un bloc solide.
Ensuite, le bloc est chauffé et pressé encore et encore pour l’étirer et le mettre en forme. Couper, plier, chauffer, recommencer. Un ardent procédé répété plusieurs fois, jusqu’à obtenir le nombre de couches et de pliages désirés.
Puis, la maison soumet le métal à une dernière étape. Un bain d’acide. Quand le métal est plongé dans la solution, les couches de titane de Grade 2 commencent à apparaitre, créant un motif ondulé qui couvre l’ensemble de la boîte métallique !
« L’étape du bain d’acide est difficile, mais la qualité esthétique et la durabilité qui en découlent surpassent les standards habituels et le résultat est tout simplement fascinant » précise la marque dans son communiqué.
Sur la boîte en titane Damas, les designers ont monté une lunette en titane poli, qui crée un beau contraste avec la finition mate et le motif unique du corps de la montre.
Créer des chevaliers aussi détaillés pour les dissimuler serait vraiment dommage. C’est pourquoi Roger Dubuis a placé une bague en verre sous la lunette, permettant d’admirer les personnages sous tous les angles possibles. Depuis le haut ou le côté, vous découvrirez un nouveau détail à chaque regard.
« L’étape du bain d’acide est difficile, mais la qualité esthétique et la durabilité qui en découlent surpassent les standards habituels et le résultat est tout simplement fascinant » précise la marque dans son communiqué.
Sur la boîte en titane Damas, les designers ont monté une lunette en titane poli, qui crée un beau contraste avec la finition mate et le motif unique du corps de la montre.
Créer des chevaliers aussi détaillés pour les dissimuler serait vraiment dommage. C’est pourquoi Roger Dubuis a placé une bague en verre sous la lunette, permettant d’admirer les personnages sous tous les angles possibles. Depuis le haut ou le côté, vous découvrirez un nouveau détail à chaque regard.
Sur le fond du boîtier, vous pourrez admirer la masse oscillante de couleur bleue, inspirée des vitraux des églises et châteaux médiévaux. Les formes pyramidales inclinées sont statiques et suivent les encoches triangulaires sur le pourtour de la montre. Au centre, la masse squelettée palpite en un mouvement circulaire.
Cette montre est alimentée par le calibre automatique Monobalancier RD821. Chacun des 172 composants de ce mouvement a été fini à la main, dans le respect des critères du Poinçon de Genève, l’une des certifications horlogères les plus exigeantes aujourd’hui.
La couronne et le protège-couronne sont quant à eux délibérément façonnés comme la garde d’une épée, afin de donner l’illusion que la lame est plantée dans la montre, telle l’épée dans le rocher, qu’Arthur parvint à retirer, signalant ainsi sa destinée de roi.
Enfin, le bracelet arbore un ton bleu foncé. Le système de libération rapide permet de le changer de personnaliser la montre en quelques secondes.
Cette montre est alimentée par le calibre automatique Monobalancier RD821. Chacun des 172 composants de ce mouvement a été fini à la main, dans le respect des critères du Poinçon de Genève, l’une des certifications horlogères les plus exigeantes aujourd’hui.
La couronne et le protège-couronne sont quant à eux délibérément façonnés comme la garde d’une épée, afin de donner l’illusion que la lame est plantée dans la montre, telle l’épée dans le rocher, qu’Arthur parvint à retirer, signalant ainsi sa destinée de roi.
Enfin, le bracelet arbore un ton bleu foncé. Le système de libération rapide permet de le changer de personnaliser la montre en quelques secondes.