Cinq d’entre eux seront bientôt nommés Jeunes Lauréats des Prix Rolex. À cette occasion, ils recevront non seulement un financement essentiel pour la poursuite de leurs ambitieux projets, mais bénéficieront également d’une reconnaissance internationale qui, tant dans leur pays d’origine qu’à l’étranger, fera peut-être d’eux des personnalités marquantes de demain.
Choisis parmi plus de 1.800 candidats du monde entier à l’issue d’un processus de présélection très exigeant, ces jeunes aux idées novatrices ont prouvé leur volonté de s’attaquer à certains des défis les plus importants auxquels est confrontée notre société.
Cinq grands domaines sont concernés : sciences et santé, techniques appliquées, exploration, environnement et patrimoine culturel.
Rappelons que les Prix Rolex existent depuis presque quatre décennies. L’édition 2014 est la deuxième à être exclusivement dédiée à des visionnaires de moins de trente ans et la première à adopter un système de candidature libre. Les cinq gagnants recevront chacun 50.000 francs suisses destinés à les aider dans la poursuite de leurs projets ainsi qu’un Chronomètre Rolex ; ils bénéficieront également d’une campagne publicitaire internationale et intégreront la communauté des Prix Rolex forte de plus de 100 Lauréats.
« L’esprit d’entreprise est incroyablement vivant. Nous sommes très impressionnés par l’ingéniosité et la persévérance dont fait preuve la jeune génération qui, inlassablement, cherche à repousser les limites du savoir et apporter des solutions à certains des plus grands problèmes du XXIe siècle » a indiqué à cette occasion Rebecca Irvin, directrice des programmes philanthropiques de Rolex.
Et d’ajouter : « issus de nationalités et de langues différentes, les finalistes ont aussi des parcours et des niveaux de formation très divers. Pourtant, chacun d’entre eux a l’étoffe d’un Jeune Lauréat. Leurs projets peuvent aussi bien avoir pour dessein de mobiliser des communautés locales au Brésil pour préserver la biodiversité, de faire progresser l’énergie solaire dans des pays en développement, de récolter des données pour sauvegarder le savoir traditionnel autochtone au Canada, de mettre au point des tablettes électroniques visant à encourager la protection des récifs coralliens à Hawaii que de faire baisser le taux de maladies cardiovasculaires au Cameroun. »
Organe indépendant composé de huit experts de renom, le Jury Rolex compte en son sein des scientifiques, des environnementalistes, des spécialistes de la conservation et des entrepreneurs sociaux. Il se réunira en avril prochain à Genève pour désigner cinq Jeunes Lauréats parmi les finalistes présélectionnés. Le nom des gagnants sera dévoilé en juin, et une cérémonie en l’honneur des Lauréats sera organisée en fin d’année.
Profil des finalistes
La plupart des finalistes ont presque 30 ans. Comparée aux éditions précédentes, la proportion hommes-femmes (59% d’hommes et 41% de femmes) s’équilibre. Environ un tiers des finalistes est originaire d’Asie, et près d’un quart d’Amérique du Nord. Parmi le gros tiers restant, on compte à parts presque égales des jeunes gens issus d’Amérique latine, d’Afrique, d’Europe, d’Océanie ainsi que des finalistes – un peu moins nombreux – du Moyen-Orient.
L’environnement est le domaine qui a remporté le plus de succès auprès des candidats présélectionnés. Suivent les sciences et la santé, l’exploration, les techniques appliquées et le patrimoine culturel.
« Comme à chaque édition, le Jury aura la tâche délicate de choisir cinq gagnants parmi une liste de jeunes extrêmement engagés et inventifs qui, tous, ont besoin de soutien pour mener à bien leurs projets novateurs », souligne encore ebecca Irvin. « Tous les candidats incarnent l’esprit d’entreprise si cher à Rolex, qualité que la marque a d’ailleurs encouragée tout au long du siècle dernier. Nous sommes impatients de connaître le nom des cinq gagnants, et nous nous réjouissons de les aider à réaliser leurs projets visionnaires et à les présenter au monde entier. »
Prix pour les Jeunes Lauréats
Le programme biennal des Prix Rolex a été créé en 1976 pour célébrer le cinquantième anniversaire du Chronomètre Oyster, première montre étanche dans l’histoire de l’horlogerie. Ces Prix ont pour vocation d’aider partout dans le monde celles et ceux qui, portés par leur courage et leurs convictions, mettent en oeuvre des projets novateurs pour le bien de l’humanité et de la planète, notamment dans les domaines de la science, de l’environnement, de l’exploration et du patrimoine culturel. En 2009, Rolex a décidé d’encourager la génération des grandes figures de demain en consacrant une édition sur deux des Prix Rolex à de jeunes pionniers âgés de 18 à 30 ans – les Jeunes Lauréats.
L’action philanthropique de Rolex
Les Prix à l’esprit d’entreprise et le Programme de mentorat artistique sont les deux programmes philanthropiques phares de Rolex. L’édition des Prix Rolex consacrée aux Jeunes Lauréats et le Programme de mentorat artistique ont été lancés pour encourager l’innovation et concrétiser le travail de jeunes gens qui partagent avec Rolex esprit visionnaire, ingéniosité et quête d’excellence.
Choisis parmi plus de 1.800 candidats du monde entier à l’issue d’un processus de présélection très exigeant, ces jeunes aux idées novatrices ont prouvé leur volonté de s’attaquer à certains des défis les plus importants auxquels est confrontée notre société.
Cinq grands domaines sont concernés : sciences et santé, techniques appliquées, exploration, environnement et patrimoine culturel.
Rappelons que les Prix Rolex existent depuis presque quatre décennies. L’édition 2014 est la deuxième à être exclusivement dédiée à des visionnaires de moins de trente ans et la première à adopter un système de candidature libre. Les cinq gagnants recevront chacun 50.000 francs suisses destinés à les aider dans la poursuite de leurs projets ainsi qu’un Chronomètre Rolex ; ils bénéficieront également d’une campagne publicitaire internationale et intégreront la communauté des Prix Rolex forte de plus de 100 Lauréats.
« L’esprit d’entreprise est incroyablement vivant. Nous sommes très impressionnés par l’ingéniosité et la persévérance dont fait preuve la jeune génération qui, inlassablement, cherche à repousser les limites du savoir et apporter des solutions à certains des plus grands problèmes du XXIe siècle » a indiqué à cette occasion Rebecca Irvin, directrice des programmes philanthropiques de Rolex.
Et d’ajouter : « issus de nationalités et de langues différentes, les finalistes ont aussi des parcours et des niveaux de formation très divers. Pourtant, chacun d’entre eux a l’étoffe d’un Jeune Lauréat. Leurs projets peuvent aussi bien avoir pour dessein de mobiliser des communautés locales au Brésil pour préserver la biodiversité, de faire progresser l’énergie solaire dans des pays en développement, de récolter des données pour sauvegarder le savoir traditionnel autochtone au Canada, de mettre au point des tablettes électroniques visant à encourager la protection des récifs coralliens à Hawaii que de faire baisser le taux de maladies cardiovasculaires au Cameroun. »
Organe indépendant composé de huit experts de renom, le Jury Rolex compte en son sein des scientifiques, des environnementalistes, des spécialistes de la conservation et des entrepreneurs sociaux. Il se réunira en avril prochain à Genève pour désigner cinq Jeunes Lauréats parmi les finalistes présélectionnés. Le nom des gagnants sera dévoilé en juin, et une cérémonie en l’honneur des Lauréats sera organisée en fin d’année.
Profil des finalistes
La plupart des finalistes ont presque 30 ans. Comparée aux éditions précédentes, la proportion hommes-femmes (59% d’hommes et 41% de femmes) s’équilibre. Environ un tiers des finalistes est originaire d’Asie, et près d’un quart d’Amérique du Nord. Parmi le gros tiers restant, on compte à parts presque égales des jeunes gens issus d’Amérique latine, d’Afrique, d’Europe, d’Océanie ainsi que des finalistes – un peu moins nombreux – du Moyen-Orient.
L’environnement est le domaine qui a remporté le plus de succès auprès des candidats présélectionnés. Suivent les sciences et la santé, l’exploration, les techniques appliquées et le patrimoine culturel.
« Comme à chaque édition, le Jury aura la tâche délicate de choisir cinq gagnants parmi une liste de jeunes extrêmement engagés et inventifs qui, tous, ont besoin de soutien pour mener à bien leurs projets novateurs », souligne encore ebecca Irvin. « Tous les candidats incarnent l’esprit d’entreprise si cher à Rolex, qualité que la marque a d’ailleurs encouragée tout au long du siècle dernier. Nous sommes impatients de connaître le nom des cinq gagnants, et nous nous réjouissons de les aider à réaliser leurs projets visionnaires et à les présenter au monde entier. »
Prix pour les Jeunes Lauréats
Le programme biennal des Prix Rolex a été créé en 1976 pour célébrer le cinquantième anniversaire du Chronomètre Oyster, première montre étanche dans l’histoire de l’horlogerie. Ces Prix ont pour vocation d’aider partout dans le monde celles et ceux qui, portés par leur courage et leurs convictions, mettent en oeuvre des projets novateurs pour le bien de l’humanité et de la planète, notamment dans les domaines de la science, de l’environnement, de l’exploration et du patrimoine culturel. En 2009, Rolex a décidé d’encourager la génération des grandes figures de demain en consacrant une édition sur deux des Prix Rolex à de jeunes pionniers âgés de 18 à 30 ans – les Jeunes Lauréats.
L’action philanthropique de Rolex
Les Prix à l’esprit d’entreprise et le Programme de mentorat artistique sont les deux programmes philanthropiques phares de Rolex. L’édition des Prix Rolex consacrée aux Jeunes Lauréats et le Programme de mentorat artistique ont été lancés pour encourager l’innovation et concrétiser le travail de jeunes gens qui partagent avec Rolex esprit visionnaire, ingéniosité et quête d’excellence.
Andie Ang – Singapour
Construire des ponts suspendus au Vietnam afin de rassembler des populations fragmentées de Langurs argentés, singes d’Asie du Sud-Est, pour faciliter leur reproduction, renforçant ainsi le pool génétique et augmentant leurs chances de survie.
John Burns – États-Unis
Développer de nouvelles tablettes électroniques étanches pour encourager la surveillance et la conservation par les communautés des récifs coralliens à Hawaii, où les populations côtières dépendent des ressources marines.
Marita Cheng – Australie
Développer un bras robotisé facile à fixer et pouvant être contrôlé depuis un smartphone pour des personnes en chaise roulante suite à des lésions de la colonne vertébrale ou des maladies invalidantes, comme la sclérose en plaques.
Rafael Morais Chiaravalloti – Brésil
Mettre en place une cartographie au niveau communautaire permettant aux populations locales, aux environnementalistes et aux tour-opérateurs d’établir un plan de gestion durable pour la frontière ouest du Pantanal, grande zone humide au Brésil.
Sayam Chowdhury – Bangladesh
Réduire la chasse et le braconnage d’espèces menacées dans trois écosystèmes fragiles au Bangladesh en impliquant la population locale et en l’informant des bienfaits de la protection de la nature.
Eden Full – Canada
Faciliter l’accessibilité à l’énergie solaire dans des pays en développement grâce à un capteur solaire produisant plus d’énergie qu’un panneau stationnaire et filtrant également l’eau.
Medhavi Gandhi – Inde
Faire revivre et préserver les arts traditionnels, l’artisanat et la culture de communautés indiennes par la création d’entreprises originales et durables pour contribuer à réduire la pauvreté.
Neeti Kailas – Inde
Concevoir un système unique de dépistage précoce et systématique de la surdité chez les nouveau-nés dans les milieux défavorisés, afin de prévenir des troubles du langage pouvant en découler.
Divya Karnad – Inde
Construire un modèle de pisciculture durable en Inde en rapprochant les producteurs de produits de la mer et les consommateurs au moyen de programmes de préservation associant la population locale et les pêcheurs.
Yashraj Khaitan – Inde
Développer une technologie de pointe de réseau intelligent pour rendre la distribution électrique dans les milieux ruraux plus efficiente, fiable, rentable et durable.
David Lang – États-Unis
Soutenir un réseau mondial d’océanographes, professionnels ou amateurs, qui collaborent pour créer des outils innovants, comme des robots sous-marins à faible coût pouvant être utilisés par tous à des fins exploratoires ou scientifiques.
Jeffrey Marlow – États-Unis
Offrir à des écoliers du monde entier la possibilité de découvrir des aspects scientifiques qui se cachent derrière « Opportunity », le rover créé par la NASA pour explorer Mars, afin de leur enseigner l’exploration spatiale et l’exobiologie.
Sarah McNair-Landry – Canada
Parcourir la Terre de Baffin, la cinquième plus grande île du monde, pour recueillir des données sur la culture liée aux chiens de traîneaux des communautés Inuits avant qu’elle ne tombe à jamais dans l’oubli.
Soham Mukherjee – Inde
Apprendre aux communautés rurales de l’Etat du Gujarat en Inde à éviter les morsures de serpents venimeux et à prodiguer les premiers soins adéquats.
Olivier Nsengimana – Rwanda
Sauver la Grue royale du Rwanda, victime d’une détérioration croissante de son habitat et d’un commerce illicite en augmentation, afin de préserver la biodiversité du pays.
Akosita Rokomate – Îles Fidji
Encourager une gestion durable des ressources naturelles sur l’île de Kia, haut lieu de la biodiversité et située sur le Great Sea Reef, l’une des plus grandes barrières de corail au monde, en incitant la population à pratiquer une conservation à long terme.
Gerardo Ruiz de Teresa – Mexique
Installer des systèmes d’énergie solaire pour éradiquer la pauvreté énergétique dans les communautés rurales au Mexique et y créer de l’emploi.
Sauro – Italie
Mener une équipe pluridisciplinaire de scientifiques pour explorer d’anciennes grottes de quartzite dans des montagnes tabulaires entre le Venezuela et le Brésil, et découvrir les secrets qui se cachent derrière l’évolution du paysage.
Livio Valenti – Italie
Utiliser des biomatériaux de soie pour mettre au point des vaccins contre la poliomyélite résistants à la chaleur et ne nécessitant pas de réfrigération, afin de pouvoir les administrer efficacement à des communautés vivant dans des régions reculées.
Nathalie Vlcek – Brésil
Rassembler des données sur le Tuyuka, une langue en voie de disparition parlée par vingt communautés indigènes au Brésil et en Colombie, dans le but de le revitaliser en encourageant les peuples concernés à créer un dictionnaire thématique de leur langue.
Arthur Zang – Cameroun
Réduire le taux de mortalité par maladies cardiovasculaires dans des pays en manque de cardiologues grâce au « CardioPad », une tablette tactile médicale permettant de réaliser des examens cardiaques et de transmettre les résultats à distance à un médecin.
Hosam Zowawi – Arabie saoudite
Développer des tests de laboratoire plus rapides pour détecter les superbactéries et mener une campagne d’information dans les pays du Golfe pour sensibiliser la population au problème de la résistance aux antibiotiques.
Construire des ponts suspendus au Vietnam afin de rassembler des populations fragmentées de Langurs argentés, singes d’Asie du Sud-Est, pour faciliter leur reproduction, renforçant ainsi le pool génétique et augmentant leurs chances de survie.
John Burns – États-Unis
Développer de nouvelles tablettes électroniques étanches pour encourager la surveillance et la conservation par les communautés des récifs coralliens à Hawaii, où les populations côtières dépendent des ressources marines.
Marita Cheng – Australie
Développer un bras robotisé facile à fixer et pouvant être contrôlé depuis un smartphone pour des personnes en chaise roulante suite à des lésions de la colonne vertébrale ou des maladies invalidantes, comme la sclérose en plaques.
Rafael Morais Chiaravalloti – Brésil
Mettre en place une cartographie au niveau communautaire permettant aux populations locales, aux environnementalistes et aux tour-opérateurs d’établir un plan de gestion durable pour la frontière ouest du Pantanal, grande zone humide au Brésil.
Sayam Chowdhury – Bangladesh
Réduire la chasse et le braconnage d’espèces menacées dans trois écosystèmes fragiles au Bangladesh en impliquant la population locale et en l’informant des bienfaits de la protection de la nature.
Eden Full – Canada
Faciliter l’accessibilité à l’énergie solaire dans des pays en développement grâce à un capteur solaire produisant plus d’énergie qu’un panneau stationnaire et filtrant également l’eau.
Medhavi Gandhi – Inde
Faire revivre et préserver les arts traditionnels, l’artisanat et la culture de communautés indiennes par la création d’entreprises originales et durables pour contribuer à réduire la pauvreté.
Neeti Kailas – Inde
Concevoir un système unique de dépistage précoce et systématique de la surdité chez les nouveau-nés dans les milieux défavorisés, afin de prévenir des troubles du langage pouvant en découler.
Divya Karnad – Inde
Construire un modèle de pisciculture durable en Inde en rapprochant les producteurs de produits de la mer et les consommateurs au moyen de programmes de préservation associant la population locale et les pêcheurs.
Yashraj Khaitan – Inde
Développer une technologie de pointe de réseau intelligent pour rendre la distribution électrique dans les milieux ruraux plus efficiente, fiable, rentable et durable.
David Lang – États-Unis
Soutenir un réseau mondial d’océanographes, professionnels ou amateurs, qui collaborent pour créer des outils innovants, comme des robots sous-marins à faible coût pouvant être utilisés par tous à des fins exploratoires ou scientifiques.
Jeffrey Marlow – États-Unis
Offrir à des écoliers du monde entier la possibilité de découvrir des aspects scientifiques qui se cachent derrière « Opportunity », le rover créé par la NASA pour explorer Mars, afin de leur enseigner l’exploration spatiale et l’exobiologie.
Sarah McNair-Landry – Canada
Parcourir la Terre de Baffin, la cinquième plus grande île du monde, pour recueillir des données sur la culture liée aux chiens de traîneaux des communautés Inuits avant qu’elle ne tombe à jamais dans l’oubli.
Soham Mukherjee – Inde
Apprendre aux communautés rurales de l’Etat du Gujarat en Inde à éviter les morsures de serpents venimeux et à prodiguer les premiers soins adéquats.
Olivier Nsengimana – Rwanda
Sauver la Grue royale du Rwanda, victime d’une détérioration croissante de son habitat et d’un commerce illicite en augmentation, afin de préserver la biodiversité du pays.
Akosita Rokomate – Îles Fidji
Encourager une gestion durable des ressources naturelles sur l’île de Kia, haut lieu de la biodiversité et située sur le Great Sea Reef, l’une des plus grandes barrières de corail au monde, en incitant la population à pratiquer une conservation à long terme.
Gerardo Ruiz de Teresa – Mexique
Installer des systèmes d’énergie solaire pour éradiquer la pauvreté énergétique dans les communautés rurales au Mexique et y créer de l’emploi.
Sauro – Italie
Mener une équipe pluridisciplinaire de scientifiques pour explorer d’anciennes grottes de quartzite dans des montagnes tabulaires entre le Venezuela et le Brésil, et découvrir les secrets qui se cachent derrière l’évolution du paysage.
Livio Valenti – Italie
Utiliser des biomatériaux de soie pour mettre au point des vaccins contre la poliomyélite résistants à la chaleur et ne nécessitant pas de réfrigération, afin de pouvoir les administrer efficacement à des communautés vivant dans des régions reculées.
Nathalie Vlcek – Brésil
Rassembler des données sur le Tuyuka, une langue en voie de disparition parlée par vingt communautés indigènes au Brésil et en Colombie, dans le but de le revitaliser en encourageant les peuples concernés à créer un dictionnaire thématique de leur langue.
Arthur Zang – Cameroun
Réduire le taux de mortalité par maladies cardiovasculaires dans des pays en manque de cardiologues grâce au « CardioPad », une tablette tactile médicale permettant de réaliser des examens cardiaques et de transmettre les résultats à distance à un médecin.
Hosam Zowawi – Arabie saoudite
Développer des tests de laboratoire plus rapides pour détecter les superbactéries et mener une campagne d’information dans les pays du Golfe pour sensibiliser la population au problème de la résistance aux antibiotiques.