On ne présente plus le chrono Daytona de chez Rolex. En effet, ce garde-temps lancé en 1963 est devenu, en cinquante ans, le « must » absolu en matière de montres de pilote de course.
Si elle a connu de très nombreuses versions depuis son lancement, depuis quelques années, sa lunette métallique est petit à petit remplacée par des lunettes en céramique (même si les deux versions coexistent) : pour faire simple, pour les modèles en or, la lunette est en céramique sur les versions avec bracelet Oysterflex et la lunette est un métal sur les références sur bracelet Oyster.
Le boîtier de 40 mm est garanti étanche jusqu’à 100 mètres. Sa carrure est taillée dans un bloc massif d’or 18 ct. Son fond cannelé est hermétiquement vissé. La couronne de remontoir, munie du système de triple étanchéité Triplock et protégée par un épaulement taillé dans la masse de la carrure, se visse solidement sur le boîtier, de même que les poussoirs de chronographe. Quant à la glace, elle est en saphir pratiquement inrayable.
Si elle a connu de très nombreuses versions depuis son lancement, depuis quelques années, sa lunette métallique est petit à petit remplacée par des lunettes en céramique (même si les deux versions coexistent) : pour faire simple, pour les modèles en or, la lunette est en céramique sur les versions avec bracelet Oysterflex et la lunette est un métal sur les références sur bracelet Oyster.
Le boîtier de 40 mm est garanti étanche jusqu’à 100 mètres. Sa carrure est taillée dans un bloc massif d’or 18 ct. Son fond cannelé est hermétiquement vissé. La couronne de remontoir, munie du système de triple étanchéité Triplock et protégée par un épaulement taillé dans la masse de la carrure, se visse solidement sur le boîtier, de même que les poussoirs de chronographe. Quant à la glace, elle est en saphir pratiquement inrayable.
Les cadrans en météorite ne sont pas nouveaux chez Rolex, ni sur la Daytona. En effet, on se souvient de la référence 116509 avec boitier en or blanc qui était disponible sur bracelet en alligator ou or blanc avec un cadran météorite associé à des index chiffres romains qui alourdissaient inutilement l’ensemble.
Cette année, la météorite fait donc son grand retour sur la Daytona en venant s’inscrire sur trois nouvelles références. Venue des confins du système solaire, la météorite métallique, matière qui orne le cadran des nouvelles déclinaisons du Cosmograph Daytona, provient d’un astéroïde ayant explosé il y a des millions d’années.
Durant leur course interplanétaire, les fragments de cette matière naturelle d’origine extraterrestre et composée essentiellement de fer et de nickel se refroidissent à hauteur de quelques degrés Celsius par million d’années, ce qui génère une cristallisation unique et si particulière, impossible à reproduire sur Terre.
Cette année, la météorite fait donc son grand retour sur la Daytona en venant s’inscrire sur trois nouvelles références. Venue des confins du système solaire, la météorite métallique, matière qui orne le cadran des nouvelles déclinaisons du Cosmograph Daytona, provient d’un astéroïde ayant explosé il y a des millions d’années.
Durant leur course interplanétaire, les fragments de cette matière naturelle d’origine extraterrestre et composée essentiellement de fer et de nickel se refroidissent à hauteur de quelques degrés Celsius par million d’années, ce qui génère une cristallisation unique et si particulière, impossible à reproduire sur Terre.
Rare et difficile à travailler (c’est fragile et ça casse facilement quand on la travaille), la météorite métallique est découpée en fines lamelles avant de révéler, grâce à un traitement chimique, toute la beauté de sa structure interne évoquant des éclats entrelacés. Ces motifs, aussi imprévisibles que fascinants, sont appelés « figures de Widmanstätten ».
Pour ses cadrans en météorite, Rolex retient uniquement les lamelles de météorite dont la surface est particulièrement riche en formes et en reflets. A noter que les compteurs de chronographe à 3 h, 6 h et 9 h sont de couleur noire et que les chiffres romains ont disparu pour laisser place aux index traditionnels de la Daytona. Ce n’est clairement pas le cadran de Daytona le plus lisible qui soit sur le marché, mais c’est incontestablement de toute beauté.
La lunette Cerachrom en céramique du modèle en or gris offre de nombreux avantages : sa dureté la rend pratiquement inrayable (mais pas incassable en cas de choc violent), elle conserve sa couleur malgré les effets des rayons UV et reste insensible à la corrosion. Bref, elle est faite pour durer.
Pour ses cadrans en météorite, Rolex retient uniquement les lamelles de météorite dont la surface est particulièrement riche en formes et en reflets. A noter que les compteurs de chronographe à 3 h, 6 h et 9 h sont de couleur noire et que les chiffres romains ont disparu pour laisser place aux index traditionnels de la Daytona. Ce n’est clairement pas le cadran de Daytona le plus lisible qui soit sur le marché, mais c’est incontestablement de toute beauté.
La lunette Cerachrom en céramique du modèle en or gris offre de nombreux avantages : sa dureté la rend pratiquement inrayable (mais pas incassable en cas de choc violent), elle conserve sa couleur malgré les effets des rayons UV et reste insensible à la corrosion. Bref, elle est faite pour durer.
Une durabilité à laquelle s’ajoute la lisibilité exceptionnelle de l’échelle tachymétrique (base 400), dont la graduation est obtenue par dépôt en creux d’une fine couche d’or ou de platine par un procédé PVD, dépôt physique en phase vapeur). Constituée d’une seule pièce, la lunette assure à elle seule le maintien et l’étanchéité de la glace sur la carrure.
Ce chrono de légende est équipé du calibre 4130, un mouvement chronographe mécanique à remontage automatique entièrement développé et manufacturé par Rolex. Son architecture -entièrement repensée- a permis de réduire considérablement le nombre de composants de la fonction chronographe, améliorant d’autant sa fiabilité.
Le chrono est enclenché par une roue à colonnes et un embrayage vertical offrant un démarrage instantané et extrêmement précis ainsi qu’une grande robustesse. L’oscillateur comprend un spiral Parachrom bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, il présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs. Il est muni d’une courbe Rolex garantissant sa régularité dans toutes les positions.
Ce chrono de légende est équipé du calibre 4130, un mouvement chronographe mécanique à remontage automatique entièrement développé et manufacturé par Rolex. Son architecture -entièrement repensée- a permis de réduire considérablement le nombre de composants de la fonction chronographe, améliorant d’autant sa fiabilité.
Le chrono est enclenché par une roue à colonnes et un embrayage vertical offrant un démarrage instantané et extrêmement précis ainsi qu’une grande robustesse. L’oscillateur comprend un spiral Parachrom bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, il présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs. Il est muni d’une courbe Rolex garantissant sa régularité dans toutes les positions.
La version en or blanc est commercialisée sur un bracelet Oysterflex développé et breveté par Rolex. Ce strap combine la robustesse et la fiabilité d’un bracelet métallique avec la flexibilité, le confort et l’esthétique d’un bracelet en élastomère.
Il est constitué d’une lame métallique super-élastique surmoulée d’élastomère noir. Ce matériau se veut particulièrement résistant aux agressions de l’environnement et d’une grande durabilité. Ce strap dispose de la maille de rallonge rapide Easylink, qui permet d’ajuster facilement la longueur d’environ 5 mm.
Comme toutes les nouvelles Rolex, ces Daytona bénéficient de la certification Chronomètre Superlatif redéfinie par Rolex en 2015. Ceci atteste que la montre a passé avec succès une série de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères, plus sévères que les normes horlogères.
Cette certification porte sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté, afin de garantir des performances superlatives au poignet en termes de précision, d’étanchéité, de remontage automatique et d’autonomie.
La précision d’un Chronomètre Superlatif Rolex est ainsi de l’ordre de –2/+2 secondes par jour, soit plus de deux fois celle exigée d’un Chronomètre officiel. Ce statut est symbolisé par le sceau vert (versus rouge pour les anciennes versions) dont est assortie chaque montre Rolex et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.
Il est constitué d’une lame métallique super-élastique surmoulée d’élastomère noir. Ce matériau se veut particulièrement résistant aux agressions de l’environnement et d’une grande durabilité. Ce strap dispose de la maille de rallonge rapide Easylink, qui permet d’ajuster facilement la longueur d’environ 5 mm.
Comme toutes les nouvelles Rolex, ces Daytona bénéficient de la certification Chronomètre Superlatif redéfinie par Rolex en 2015. Ceci atteste que la montre a passé avec succès une série de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères, plus sévères que les normes horlogères.
Cette certification porte sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté, afin de garantir des performances superlatives au poignet en termes de précision, d’étanchéité, de remontage automatique et d’autonomie.
La précision d’un Chronomètre Superlatif Rolex est ainsi de l’ordre de –2/+2 secondes par jour, soit plus de deux fois celle exigée d’un Chronomètre officiel. Ce statut est symbolisé par le sceau vert (versus rouge pour les anciennes versions) dont est assortie chaque montre Rolex et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.