Alors que l’Explorer 2 de chez Rolex célèbre cette année son 50ème anniversaire, tous les amateurs s’attendaient à l’arrivée d’une nouvelle version, et beaucoup imaginaient une nouvelle référence avec une lunette en céramique…
Eh bien non ! Les gens de chez Rolex savent pertinemment que certains clients attendaient une version avec lunette en céramique. Oui mais voilà, le SAV de la marque à la couronne, quand il reçoit des Explorer 2 à réviser, a constaté que ces montres étaient portées « à la dure » et qu’elles revenaient souvent très rayées…
C’est paradoxalement la raison pour laquelle il n’y aura probablement jamais d’Explorer 2 avec une lunette céramique, car cette matière, bien qu’inrayable, peut se briser en cas de choc violent ! Or, cette Professionnel est portée par des aventuriers, des explorateurs, des scientifiques dans des conditions extrêmes… D’où cette lunette en acier qui certes se raye, mais ne se brise pas.
Ceci étant clarifié, il ne s’agit pas à proprement parlé d’un nouveau modèle mais simplement d’un léger lifting associé à un nouveau calibre. Pour autant, la référence change passant de 216570 à 226570.
Eh bien non ! Les gens de chez Rolex savent pertinemment que certains clients attendaient une version avec lunette en céramique. Oui mais voilà, le SAV de la marque à la couronne, quand il reçoit des Explorer 2 à réviser, a constaté que ces montres étaient portées « à la dure » et qu’elles revenaient souvent très rayées…
C’est paradoxalement la raison pour laquelle il n’y aura probablement jamais d’Explorer 2 avec une lunette céramique, car cette matière, bien qu’inrayable, peut se briser en cas de choc violent ! Or, cette Professionnel est portée par des aventuriers, des explorateurs, des scientifiques dans des conditions extrêmes… D’où cette lunette en acier qui certes se raye, mais ne se brise pas.
Ceci étant clarifié, il ne s’agit pas à proprement parlé d’un nouveau modèle mais simplement d’un léger lifting associé à un nouveau calibre. Pour autant, la référence change passant de 216570 à 226570.
Avant d’aller plus loin, revenons en quelques mots sur l’histoire de ce modèle incontournable au sein du catalogue Rolex depuis les années 70… Et plus exactement en 1971 avec la création de l’Oyster Perpetual Explorer II, la fameuse et très recherchée de nos jours, « réf. 1655 », surnommée par les collectionneurs « Steve McQueen « Freccione » » ; même si la star d’Hollywood ne l’a jamais portée… Mais ça, c’est une autre histoire.
Avec son cadran d’une très grande lisibilité et l’introduction de la date, d’une aiguille 24 heures et d’une lunette fixe graduée, l’Oyster Perpetual Explorer II ouvre alors de nouveaux horizons à l’exploration et devient « la » nouvelle référence des professionnels de l’aventure et notamment des spéléologues.
A l’époque, elle s’illustrera au poignet du vulcanologue Haroun Tazieff (dont l’image fut utilisée dans de nombreuses publicités de la marque dans les années 70/80) et équipera notamment de nombreuses expéditions polaires.
Avec son cadran d’une très grande lisibilité et l’introduction de la date, d’une aiguille 24 heures et d’une lunette fixe graduée, l’Oyster Perpetual Explorer II ouvre alors de nouveaux horizons à l’exploration et devient « la » nouvelle référence des professionnels de l’aventure et notamment des spéléologues.
A l’époque, elle s’illustrera au poignet du vulcanologue Haroun Tazieff (dont l’image fut utilisée dans de nombreuses publicités de la marque dans les années 70/80) et équipera notamment de nombreuses expéditions polaires.
Son affichage 24 heures (plus dans l’esprit « militaire » que « dual time ») permet en effet aux spéléologues ou aux explorateurs des pôles de distinguer le jour de la nuit (notamment lorsqu’ils sont sous terre pendant plusieurs jours), faisant de l’Oyster Perpetual Explorer II un instrument horaire indispensable. Elle possédait en gros les mêmes fonctions qu’une Rolex GMT Master sans le calcul du troisième fuseau horaire, rendu possible par la lunette bidirectionnelle équipant la GMT Master.
Dans la continuité du modèle d’origine, Rolex sortira deux références d’Explorer II : la 16550 produite environ six ans (dont certains cadrans « coquille d’œuf » sont très appréciés par les collectionneurs) et la 16570 présente au catalogue depuis 1991 jusqu’à 2011… Toutes ces références comment à coûter une fortune sur le marché de l’occasion alors qu’elles furent longtemps délaissées par les collectionneurs.
Aujourd’hui, cinquante ans exactement après sa création, l’Oyster Perpetual Explorer II s’offre donc un léger lifting associé à un nouveau calibre. Globalement, « extérieurement », la montre reste la même. Les différences visuelles sont vraiment légères. Il faut avoir les deux références en main pour véritablement voir l’évolution entre ces deux Explo 2.
Son boîtier en acier Oystersteel (anciennement le 904L) est étanche 100 mètres et affiche toujours le même diamètre de 42 mm (il n’y a que deux références de cette taille chez Rolex, la seconde étant la Sky Dweller). Son fond bordé de fines cannelures est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial ; seuls les horlogers habilités par Rolex peuvent ainsi accéder au mouvement.
Dans la continuité du modèle d’origine, Rolex sortira deux références d’Explorer II : la 16550 produite environ six ans (dont certains cadrans « coquille d’œuf » sont très appréciés par les collectionneurs) et la 16570 présente au catalogue depuis 1991 jusqu’à 2011… Toutes ces références comment à coûter une fortune sur le marché de l’occasion alors qu’elles furent longtemps délaissées par les collectionneurs.
Aujourd’hui, cinquante ans exactement après sa création, l’Oyster Perpetual Explorer II s’offre donc un léger lifting associé à un nouveau calibre. Globalement, « extérieurement », la montre reste la même. Les différences visuelles sont vraiment légères. Il faut avoir les deux références en main pour véritablement voir l’évolution entre ces deux Explo 2.
Son boîtier en acier Oystersteel (anciennement le 904L) est étanche 100 mètres et affiche toujours le même diamètre de 42 mm (il n’y a que deux références de cette taille chez Rolex, la seconde étant la Sky Dweller). Son fond bordé de fines cannelures est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial ; seuls les horlogers habilités par Rolex peuvent ainsi accéder au mouvement.
La couronne de remontoir Twinlock, munie d’un système de double étanchéité et protégée par un épaulement taillé dans la carrure, se visse solidement sur le boîtier. Quant à la glace, surmontée de la loupe Cyclope à 3h pour une meilleure lecture de la date, elle est en saphir pratiquement inrayable.
La déclinaison présentée affiche un cadran laqué blanc, sur lequel les index avec revêtement noir par technique PVD (Physical Vapour Deposition) et les aiguilles des heures, des minutes et des secondes laquées noires se distinguent par un rendu mat (vs brillant dans les versions précédentes).
L’aiguille 24 heures conserve son emblématique couleur orange (sa forme évoque celle du modèle de 1971), teinte dans laquelle le nom « Explorer II » est inscrit sur le cadran depuis 2011. Désormais et c’est dommage, dans la version à cadran noir, cette aiguille perd sa particularité « fantôme » (l’aiguille semblait « flotter » en ayant le bout de sa tige noir comme le cadran).
La déclinaison présentée affiche un cadran laqué blanc, sur lequel les index avec revêtement noir par technique PVD (Physical Vapour Deposition) et les aiguilles des heures, des minutes et des secondes laquées noires se distinguent par un rendu mat (vs brillant dans les versions précédentes).
L’aiguille 24 heures conserve son emblématique couleur orange (sa forme évoque celle du modèle de 1971), teinte dans laquelle le nom « Explorer II » est inscrit sur le cadran depuis 2011. Désormais et c’est dommage, dans la version à cadran noir, cette aiguille perd sa particularité « fantôme » (l’aiguille semblait « flotter » en ayant le bout de sa tige noir comme le cadran).
On retrouve donc exactement la même aiguille orange dans les deux versions blanche et noire. L’aiguille des heures est réglable de manière indépendante par saut, offrant une fonction GMT en conjonction avec l’aiguille et la lunette 24 heures.
L’Explorer II bénéficie en outre d’un affichage Chromalight optimisé. Une fois la montre dans l’obscurité, l’intensité de la lueur bleue émise par les index et les aiguilles est maintenue plus longtemps grâce à la matière luminescente innovante et exclusive dont ils sont remplis ou couverts. À la lumière du jour, la teinte blanche de ces éléments d’affichage est plus vive.
Cette « Explo II » est équipée du calibre 3285, un mouvement entièrement développé et manufacturé par Rolex, dévoilé en 2018 et introduit sur le modèle cette année. Ce mouvement mécanique à remontage automatique a fait l’objet de plusieurs dépôts de brevet. Il intègre l’échappement Chronergy, breveté par Rolex, qui combine un haut rendement énergétique avec une grande sécurité de fonctionnement.
Réalisé en nickel phosphore, cet échappement est insensible aux champs magnétiques. Ce mouvement comprend aussi une version optimisée du spiral Parachrom bleu, produit par la marque dans un alliage paramagnétique qui le rend de surcroît jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs.
L’Explorer II bénéficie en outre d’un affichage Chromalight optimisé. Une fois la montre dans l’obscurité, l’intensité de la lueur bleue émise par les index et les aiguilles est maintenue plus longtemps grâce à la matière luminescente innovante et exclusive dont ils sont remplis ou couverts. À la lumière du jour, la teinte blanche de ces éléments d’affichage est plus vive.
Cette « Explo II » est équipée du calibre 3285, un mouvement entièrement développé et manufacturé par Rolex, dévoilé en 2018 et introduit sur le modèle cette année. Ce mouvement mécanique à remontage automatique a fait l’objet de plusieurs dépôts de brevet. Il intègre l’échappement Chronergy, breveté par Rolex, qui combine un haut rendement énergétique avec une grande sécurité de fonctionnement.
Réalisé en nickel phosphore, cet échappement est insensible aux champs magnétiques. Ce mouvement comprend aussi une version optimisée du spiral Parachrom bleu, produit par la marque dans un alliage paramagnétique qui le rend de surcroît jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs.
Le spiral Parachrom bleu est en outre muni d’une courbe terminale Rolex, qui assure la régularité de la marche dans toutes les positions. L’oscillateur est monté sur des amortisseurs de chocs Paraflex, développés et brevetés par Rolex, qui confèrent au mouvement, une fois encore, une résistance aux
chocs accrue. Grâce à l’architecture de son barillet et au rendement supérieur de son échappement, il bénéficie d’une réserve de marche d’environ 70h.
Comme toutes les montres Rolex, l’Oyster Perpetual Explorer II bénéficie de la certification Chronomètre Superlatif, redéfinie par Rolex en 2015. Ce titre atteste que chaque montre qui sort des ateliers de la marque a subi avec succès une série de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères.
Ces tests de certification portent sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté, afin que ses performances superlatives au poignet en matière de précision, d’étanchéité, de remontage automatique et d’autonomie soient garanties.
La précision d’un Chronomètre Superlatif Rolex est ainsi de l’ordre de –2 /+2 secondes par jour – l’écart de marche toléré par la marque pour une montre terminée est beaucoup plus faible que celui admis par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) pour la certification officielle du seul
mouvement.
Le statut de Chronomètre Superlatif est symbolisé par le sceau vert dont est assortie chaque montre Rolex et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.
Le bracelet Oyster de cette nouvelle montre est équipé d’un fermoir de sécurité Oysterlock à boucle déployante, conçu et breveté par Rolex, prévenant toute ouverture involontaire. Il dispose de la rallonge rapide de confort Easylink, développée par la marque, qui permet d’ajuster facilement sa longueur d’environ 5 mm (pratique en été ou en avion quand le poignet gonfle).
chocs accrue. Grâce à l’architecture de son barillet et au rendement supérieur de son échappement, il bénéficie d’une réserve de marche d’environ 70h.
Comme toutes les montres Rolex, l’Oyster Perpetual Explorer II bénéficie de la certification Chronomètre Superlatif, redéfinie par Rolex en 2015. Ce titre atteste que chaque montre qui sort des ateliers de la marque a subi avec succès une série de tests menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères.
Ces tests de certification portent sur la montre dans son ensemble, une fois le mouvement emboîté, afin que ses performances superlatives au poignet en matière de précision, d’étanchéité, de remontage automatique et d’autonomie soient garanties.
La précision d’un Chronomètre Superlatif Rolex est ainsi de l’ordre de –2 /+2 secondes par jour – l’écart de marche toléré par la marque pour une montre terminée est beaucoup plus faible que celui admis par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) pour la certification officielle du seul
mouvement.
Le statut de Chronomètre Superlatif est symbolisé par le sceau vert dont est assortie chaque montre Rolex et s’accompagne d’une garantie internationale de cinq ans.
Le bracelet Oyster de cette nouvelle montre est équipé d’un fermoir de sécurité Oysterlock à boucle déployante, conçu et breveté par Rolex, prévenant toute ouverture involontaire. Il dispose de la rallonge rapide de confort Easylink, développée par la marque, qui permet d’ajuster facilement sa longueur d’environ 5 mm (pratique en été ou en avion quand le poignet gonfle).