Pour convaincre le public de l’étanchéité de l’Oyster –à une époque où une montre résistant à l’eau est une chose à peine croyable– Hans Wilsdorf entend frapper les esprits en démontrant en conditions réelles, les qualités de sa nouvelle création. En Angleterre, il fait installer dans les vitrines des détaillants Rolex des… aquariums ! Avec à l’intérieur : une Oyster en immersion, au milieu de plantes aquatiques et de poissons rouges.
En 1927, Hans Wilsdorf équipe d’une Oyster la jeune nageuse anglaise Mercedes Gleitze pour sa traversée de la Manche à la nage. Après plus de dix heures dans l’eau, la montre est toujours en parfait état de marche. Pour célébrer cet exploit, Hans Wilsdorf fait paraître en une du quotidien anglais Daily Mail une pleine page proclamant le succès de la montre étanche Oyster, « la montre miracle qui défie les éléments », qualifiée de « plus grand triomphe de l’horlogerie ».
Mercedes Gleitze écrira plus tard à Hans Wilsdorf : « la raison pour laquelle je porte une montre-bracelet Rolex Oyster lorsque je nage est que c’est la seule montre que je connaisse qui soit absolument étanche à l’eau et protégée des dommages du sable ou de l’air salé. De plus, je sais qu’aucune autre montre ne pourrait endurer les conditions difficiles de la nage longue distance ».
Cet épisode marque la naissance du concept de Témoignage et le début d’une longue et fructueuse association entre Rolex et des personnalités d’exception, dont les accomplissements attestent de la résistance des montres Rolex et apportent leur crédit au texte de l’annonce de 1927 qui déclarait : « (L’Oyster) peut ainsi être portée sans risque dans la mer (...), et les conditions arctiques ou tropicales n’affecteraient pas non plus la merveilleuse précision de son mouvement ».
Depuis lors, nombre d’aventuriers et de pionniers ont utilisé des montres Oyster en mer, dans les airs ou au plus profond des océans, au sommet des plus hautes montagnes ou dans les confins de la planète (pôles, volcans, etc.). Partout où l’homme est amené à évoluer dans des conditions extrêmes, avec l’impératif de pouvoir compter sur un garde-temps précis, fiable et robuste.
En 1927, Hans Wilsdorf équipe d’une Oyster la jeune nageuse anglaise Mercedes Gleitze pour sa traversée de la Manche à la nage. Après plus de dix heures dans l’eau, la montre est toujours en parfait état de marche. Pour célébrer cet exploit, Hans Wilsdorf fait paraître en une du quotidien anglais Daily Mail une pleine page proclamant le succès de la montre étanche Oyster, « la montre miracle qui défie les éléments », qualifiée de « plus grand triomphe de l’horlogerie ».
Mercedes Gleitze écrira plus tard à Hans Wilsdorf : « la raison pour laquelle je porte une montre-bracelet Rolex Oyster lorsque je nage est que c’est la seule montre que je connaisse qui soit absolument étanche à l’eau et protégée des dommages du sable ou de l’air salé. De plus, je sais qu’aucune autre montre ne pourrait endurer les conditions difficiles de la nage longue distance ».
Cet épisode marque la naissance du concept de Témoignage et le début d’une longue et fructueuse association entre Rolex et des personnalités d’exception, dont les accomplissements attestent de la résistance des montres Rolex et apportent leur crédit au texte de l’annonce de 1927 qui déclarait : « (L’Oyster) peut ainsi être portée sans risque dans la mer (...), et les conditions arctiques ou tropicales n’affecteraient pas non plus la merveilleuse précision de son mouvement ».
Depuis lors, nombre d’aventuriers et de pionniers ont utilisé des montres Oyster en mer, dans les airs ou au plus profond des océans, au sommet des plus hautes montagnes ou dans les confins de la planète (pôles, volcans, etc.). Partout où l’homme est amené à évoluer dans des conditions extrêmes, avec l’impératif de pouvoir compter sur un garde-temps précis, fiable et robuste.
Rolex et l’aviation
Dès les années 1930, Rolex noue une relation particulière avec le monde de l’aviation, alors à son âge d’or. Cette époque connaît un développement fulgurant des performances des avions, qui permet de pousser toujours plus loin la conquête des airs et d’inaugurer les vols longs-courriers. Pionnier de cette période prospère, l’aviateur anglais Charles Douglas Barnard établit à cette époque de nombreux records. Il déclare au sujet de l’Oyster : « Les qualités particulières de cette montre Rolex la rendent éminemment adaptée à l’aviation, et j’entends l’utiliser à l’avenir pour tous mes vols longue distance ». En 1933, des montres Oyster équipent donc l’expédition Houston qui effectue le premier survol de l’Everest, dans des conditions climatiques extrêmes, à plus de 10.000 mètres d’altitude.
En 1934, Owen Cathcart-Jones et Ken Waller accomplissent un vol aller-retour entre Londres et Melbourne en Australie en un temps record, à bord d’un bimoteur De Havilland « Comet », en utilisant une Rolex Oyster comme chronomètre de bord. Dans un courrier adressé à Rolex en 1935 Ken Waller écrit : « Je me suis fidèlement fié à ma montre Oyster, et je suis heureux d’affirmer qu’elle a continué de fonctionner avec une précision absolue, malgré les grandes différences de climat et de température, de pression d’air et les nombreux autres facteurs qui auraient pu arrêter un mécanisme aussi petit ».
Dans les années 1950, avec le développement des vols intercontinentaux, les avions se mettent à traverser plusieurs fuseaux horaires en un temps réduit. Rolex met alors au point l’Oyster Perpetual GMT-Master, une Oyster affichant simultanément deux fuseaux horaires, pour répondre aux besoins des pilotes de ligne. Elle devient la montre officielle de plusieurs compagnies aériennes, notamment la célèbre Pan American World Airways, plus connue sous le nom de Pan Am. La GMT-Master est notamment utilisée pour la navigation par l’équipage du premier vol intercontinental Pan Am entre New York et Moscou en 1959. Lorsque le Concorde, l’avion de ligne supersonique franco-anglais, réalise la série finale de ses vols d’essai à la fin des années 1960, les deux pilotes d’essai britannique et français portent chacun une GMT-Master.
Dès les années 1930, Rolex noue une relation particulière avec le monde de l’aviation, alors à son âge d’or. Cette époque connaît un développement fulgurant des performances des avions, qui permet de pousser toujours plus loin la conquête des airs et d’inaugurer les vols longs-courriers. Pionnier de cette période prospère, l’aviateur anglais Charles Douglas Barnard établit à cette époque de nombreux records. Il déclare au sujet de l’Oyster : « Les qualités particulières de cette montre Rolex la rendent éminemment adaptée à l’aviation, et j’entends l’utiliser à l’avenir pour tous mes vols longue distance ». En 1933, des montres Oyster équipent donc l’expédition Houston qui effectue le premier survol de l’Everest, dans des conditions climatiques extrêmes, à plus de 10.000 mètres d’altitude.
En 1934, Owen Cathcart-Jones et Ken Waller accomplissent un vol aller-retour entre Londres et Melbourne en Australie en un temps record, à bord d’un bimoteur De Havilland « Comet », en utilisant une Rolex Oyster comme chronomètre de bord. Dans un courrier adressé à Rolex en 1935 Ken Waller écrit : « Je me suis fidèlement fié à ma montre Oyster, et je suis heureux d’affirmer qu’elle a continué de fonctionner avec une précision absolue, malgré les grandes différences de climat et de température, de pression d’air et les nombreux autres facteurs qui auraient pu arrêter un mécanisme aussi petit ».
Dans les années 1950, avec le développement des vols intercontinentaux, les avions se mettent à traverser plusieurs fuseaux horaires en un temps réduit. Rolex met alors au point l’Oyster Perpetual GMT-Master, une Oyster affichant simultanément deux fuseaux horaires, pour répondre aux besoins des pilotes de ligne. Elle devient la montre officielle de plusieurs compagnies aériennes, notamment la célèbre Pan American World Airways, plus connue sous le nom de Pan Am. La GMT-Master est notamment utilisée pour la navigation par l’équipage du premier vol intercontinental Pan Am entre New York et Moscou en 1959. Lorsque le Concorde, l’avion de ligne supersonique franco-anglais, réalise la série finale de ses vols d’essai à la fin des années 1960, les deux pilotes d’essai britannique et français portent chacun une GMT-Master.
Rolex et les sommets
Depuis les années 1930, l’Oyster accompagne de nombreuses expéditions himalayennes. En 1953, sir Edmund Hillary et le sherpa Tensing Norgay, membres d’une expédition britannique dirigée par sir John Hunt, sont les premiers à atteindre le sommet de l’Everest, à 8.848 mètres d’altitude. Sir John Hunt témoignera : « les montres Rolex Oyster (…) ont fonctionné à merveille, et nous en sommes venus à considérer les Rolex Oyster comme une partie importante de l’équipement de haute montagne. »
L’année suivante, en 1954, la deuxième plus haute montagne du monde, le K2 (8.611 mètres), est gravie par une expédition italienne équipée d’Oyster Perpetual. Achille Compagnoni, l’un des hommes qui atteint le sommet, écrit par la suite : « Votre montre Rolex était avec moi durant toute l’expédition et fonctionna parfaitement, même au-dessus de 8.000 mètres ».
En 1955, c’est le Kangchenjunga, troisième plus haut sommet du monde (8.586 mètres), qui est conquis par une expédition britannique. George C. Band, l’un des auteurs de cet exploit, témoigne : « J’ai porté ma Rolex Explorer tout au long de cette expédition. Vous pouvez imaginer l’importance d’avoir une montre dont vous n’avez pas à vous soucier ; elle était très précise, se remontait toute seule, et rien ne semblait pouvoir l’endommager – l’eau, la neige ou les chocs violents ».
Et le Dr Charles Evans, leader de l’expédition, d’ajouter : « Ma propre Rolex a été pour moi d’une valeur inestimable ». L’Américain Ed Viesturs est l’un des plus grands alpinistes de haute altitude de l’époque actuelle : équipé d’une Oyster Perpetual Explorer II, il a gravi une vingtaine de sommets parmi les plus redoutables de la planète, dont sept fois l’Everest. En 2005, il achève son projet Endeavor 8000 : atteindre les 14 plus hauts sommets du globe – dont l’altitude est supérieure à 8.000 mètres – le tout sans oxygène d’appoint.
Le spéléologue et volcanologue Haroun Tazieff, porteur de montres Rolex depuis les années 1950, adopte par la suite l’Explorer II, une Oyster qu’il porte dans la fournaise des éruptions volcaniques à l’extérieur de sa combinaison thermique. Dans une lettre adressée à Rolex en 1972, il écrit au sujet de sa montre : « elle vient de subir avec mention ‘très bien’ son premier –et très dur– test volcanique : dans des gaz très agressifs sur l’Etna, elle a fonctionné à la perfection, ce qui ne fut pas le cas des montres de tous mes coéquipiers ».
Depuis les années 1930, l’Oyster accompagne de nombreuses expéditions himalayennes. En 1953, sir Edmund Hillary et le sherpa Tensing Norgay, membres d’une expédition britannique dirigée par sir John Hunt, sont les premiers à atteindre le sommet de l’Everest, à 8.848 mètres d’altitude. Sir John Hunt témoignera : « les montres Rolex Oyster (…) ont fonctionné à merveille, et nous en sommes venus à considérer les Rolex Oyster comme une partie importante de l’équipement de haute montagne. »
L’année suivante, en 1954, la deuxième plus haute montagne du monde, le K2 (8.611 mètres), est gravie par une expédition italienne équipée d’Oyster Perpetual. Achille Compagnoni, l’un des hommes qui atteint le sommet, écrit par la suite : « Votre montre Rolex était avec moi durant toute l’expédition et fonctionna parfaitement, même au-dessus de 8.000 mètres ».
En 1955, c’est le Kangchenjunga, troisième plus haut sommet du monde (8.586 mètres), qui est conquis par une expédition britannique. George C. Band, l’un des auteurs de cet exploit, témoigne : « J’ai porté ma Rolex Explorer tout au long de cette expédition. Vous pouvez imaginer l’importance d’avoir une montre dont vous n’avez pas à vous soucier ; elle était très précise, se remontait toute seule, et rien ne semblait pouvoir l’endommager – l’eau, la neige ou les chocs violents ».
Et le Dr Charles Evans, leader de l’expédition, d’ajouter : « Ma propre Rolex a été pour moi d’une valeur inestimable ». L’Américain Ed Viesturs est l’un des plus grands alpinistes de haute altitude de l’époque actuelle : équipé d’une Oyster Perpetual Explorer II, il a gravi une vingtaine de sommets parmi les plus redoutables de la planète, dont sept fois l’Everest. En 2005, il achève son projet Endeavor 8000 : atteindre les 14 plus hauts sommets du globe – dont l’altitude est supérieure à 8.000 mètres – le tout sans oxygène d’appoint.
Le spéléologue et volcanologue Haroun Tazieff, porteur de montres Rolex depuis les années 1950, adopte par la suite l’Explorer II, une Oyster qu’il porte dans la fournaise des éruptions volcaniques à l’extérieur de sa combinaison thermique. Dans une lettre adressée à Rolex en 1972, il écrit au sujet de sa montre : « elle vient de subir avec mention ‘très bien’ son premier –et très dur– test volcanique : dans des gaz très agressifs sur l’Etna, elle a fonctionné à la perfection, ce qui ne fut pas le cas des montres de tous mes coéquipiers ».
Rolex et la navigation
La précision chronométrique des montres Oyster en fait des instruments de navigation idéaux. En 1967, sir Francis Chichester devient le premier navigateur à boucler un tour du monde à la voile en solitaire. Reçu en héros, anobli par la reine d’Angleterre, il écrit dans une lettre en 1968 : « Durant mon voyage autour du monde à bord de Gipsy Moth IV, ma montre Rolex a plusieurs fois subi de violents chocs sans être endommagée. Je ne peux pas imaginer de montre plus robuste. Quand je l’utilisais pour établir ma position en mer avec mon sextant sur le pont avant, elle était fréquemment heurtée et éclaboussée par les vagues qui balayaient le pont ; jamais elle n’a semblé en être affectée ».
La précision chronométrique des montres Oyster en fait des instruments de navigation idéaux. En 1967, sir Francis Chichester devient le premier navigateur à boucler un tour du monde à la voile en solitaire. Reçu en héros, anobli par la reine d’Angleterre, il écrit dans une lettre en 1968 : « Durant mon voyage autour du monde à bord de Gipsy Moth IV, ma montre Rolex a plusieurs fois subi de violents chocs sans être endommagée. Je ne peux pas imaginer de montre plus robuste. Quand je l’utilisais pour établir ma position en mer avec mon sextant sur le pont avant, elle était fréquemment heurtée et éclaboussée par les vagues qui balayaient le pont ; jamais elle n’a semblé en être affectée ».
Rolex et la plongée
Grâce à leur étanchéité, les Rolex sont naturellement associées à des exploits dans le domaine de la plongée, dans lequel la marque genevoise joue un rôle pionnier dès 1953, avec le modèle Submariner notamment, étanche à 100 puis 300 mètres. En 1960, dans le Pacifique au large de Guam, le bathyscaphe Trieste piloté par l’océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant de la marine américaine Don Walsh atteint le point le plus profond des océans dans la fosse des Mariannes, soit la profondeur record de 10.916 mètres. Fixée à l’extérieur, une Oyster expérimentale, la Deep Sea Special, subit sans dommage la colossale pression de plus d’une tonne par centimètre carré et remonte en parfait état de marche.
Au début des années 1970, Rolex entre en partenariat avec la Compagnie Maritime d'Expertises (Comex), le leader mondial de l’ingénierie sous-marine et de la plongée profonde en saturation. Les montres Rolex, notamment l’Oyster Perpetual Sea-Dweller, étanche jusqu’à 1.220 mètres, font partie de l’équipement standard des plongeurs d’élite de la Comex, les seules en lesquelles ces derniers ont pleinement confiance pour les accompagner dans leurs plongées ultra-profondes en saturation, où le timing précis de chaque étape revêt une importance vitale.
En 1988, la mission Hydra VIII de la Comex établit le record du monde de plongée en pleine mer par un scaphandrier à 534 mètres de profondeur. En 1992, un plongeur de la Comex atteint 701 mètres en caisson hyperbare. Ces deux records sont inégalés à ce jour.
En 2012, Rolex participe à l’expédition Deepsea Challenge du réalisateur et explorateur James Cameron (Titanic, Avatar), en partenariat avec la National Geographic Society. Le 26 mars, cette expédition descend à 10.908 mètres jusqu’au Challenger Deep, dans la fosse des Mariannes, au fond du Pacifique. Fixée au bras articulé du submersible, une montre Rolex expérimentale accompagne James Cameron tout au long de sa plongée ; une Oyster Perpetual Rolex Deepsea Challenge, modèle de plongée spécialement développé et manufacturé pour l’occasion.
Après sa plongée historique, James Cameron déclare : « La Rolex Deepsea Challenge s’est révélée un compagnon parfaitement fiable tout au long de la plongée : elle était visible sur le bras articulé et a fonctionné avec précision à plus de 10.000 mètres au fond du Challenger Deep. C’est un exemple extraordinaire de savoir-faire technologique et le pendant idéal du submersible Deepsea Challenger ».
Grâce à leur étanchéité, les Rolex sont naturellement associées à des exploits dans le domaine de la plongée, dans lequel la marque genevoise joue un rôle pionnier dès 1953, avec le modèle Submariner notamment, étanche à 100 puis 300 mètres. En 1960, dans le Pacifique au large de Guam, le bathyscaphe Trieste piloté par l’océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant de la marine américaine Don Walsh atteint le point le plus profond des océans dans la fosse des Mariannes, soit la profondeur record de 10.916 mètres. Fixée à l’extérieur, une Oyster expérimentale, la Deep Sea Special, subit sans dommage la colossale pression de plus d’une tonne par centimètre carré et remonte en parfait état de marche.
Au début des années 1970, Rolex entre en partenariat avec la Compagnie Maritime d'Expertises (Comex), le leader mondial de l’ingénierie sous-marine et de la plongée profonde en saturation. Les montres Rolex, notamment l’Oyster Perpetual Sea-Dweller, étanche jusqu’à 1.220 mètres, font partie de l’équipement standard des plongeurs d’élite de la Comex, les seules en lesquelles ces derniers ont pleinement confiance pour les accompagner dans leurs plongées ultra-profondes en saturation, où le timing précis de chaque étape revêt une importance vitale.
En 1988, la mission Hydra VIII de la Comex établit le record du monde de plongée en pleine mer par un scaphandrier à 534 mètres de profondeur. En 1992, un plongeur de la Comex atteint 701 mètres en caisson hyperbare. Ces deux records sont inégalés à ce jour.
En 2012, Rolex participe à l’expédition Deepsea Challenge du réalisateur et explorateur James Cameron (Titanic, Avatar), en partenariat avec la National Geographic Society. Le 26 mars, cette expédition descend à 10.908 mètres jusqu’au Challenger Deep, dans la fosse des Mariannes, au fond du Pacifique. Fixée au bras articulé du submersible, une montre Rolex expérimentale accompagne James Cameron tout au long de sa plongée ; une Oyster Perpetual Rolex Deepsea Challenge, modèle de plongée spécialement développé et manufacturé pour l’occasion.
Après sa plongée historique, James Cameron déclare : « La Rolex Deepsea Challenge s’est révélée un compagnon parfaitement fiable tout au long de la plongée : elle était visible sur le bras articulé et a fonctionné avec précision à plus de 10.000 mètres au fond du Challenger Deep. C’est un exemple extraordinaire de savoir-faire technologique et le pendant idéal du submersible Deepsea Challenger ».
Rolex et les pôles
L’Oyster prouve son incroyable fiabilité lors de nombreuses expéditions sur la banquise des pôles. Parmi les nombreuses aventures polaires qu’elle accompagne, citons la British Trans-Arctic Expedition en 1969 ; les nombreuses expéditions du navigateur et explorateur Janusz Kurbiel depuis 1976, en Islande, au Groenland ou au pôle Nord ; celles de Robert Swan en Antarctique ; la conquête par Erling Kagge du pôle Nord (1990), du pôle Sud (1993) et de l’Everest (1994) ; ou l’expédition Arctic Arc d’Alain Hubert, reliant la Sibérie au Groenland par le pôle Nord en 2007.
C’est toujours une Oyster au poignet qu’en 2006, l’aventurier norvégien Rune Gjeldnes devient la première et seule personne au monde à traverser les trois grandes étendues de glace (le Groenland, l’océan Arctique et l’Antarctique) sans assistance. En novembre 2005, Rune Gjeldnes débute « la marche la plus longue », une randonnée solitaire de 4.800 km pour traverser le pôle Sud en skis de fond, qu’il complète en février 2006. Il détient depuis le record de la plus longue équipée à skis de tous les temps, qui plus est sans réapprovisionnement.
Il déclare au sujet de sa montre Rolex : « En expédition, mon Explorer II est ma meilleure amie. Il est en effet indispensable d’avoir une montre mécanique robuste et précise. J’ai entièrement confiance en ma Rolex et cela me sécurise de savoir que je peux compter sur elle dans les conditions les plus difficiles. »
En 2010, un siècle après la conquête du pôle Nord, huit plongeurs de l’extrême relèvent le défi d’une expédition polaire à la rencontre de la face immergée de l’Arctique. Leur mission : découvrir et faire découvrir ce qui se cache sous la banquise. Pendant quarante-cinq jours, l’équipe évolue à skis aux confins du globe, dans le Grand Nord canadien, multipliant les plongées sous-marines pour témoigner de la richesse d’un écosystème victime du réchauffement climatique.
Dans les bagages des membres de l’expédition, des caméras, des appareils photo… et cinq montres Oyster. « Les seuls instruments de plongée qui ont toujours fonctionné sans aucune défaillance sont nos montres Rolex – le modèle Oyster Perpetual Rolex Deepsea », déclarera à l’issue de l’expédition Emmanuelle Périé, la seule femme de l’équipe.
L’Oyster prouve son incroyable fiabilité lors de nombreuses expéditions sur la banquise des pôles. Parmi les nombreuses aventures polaires qu’elle accompagne, citons la British Trans-Arctic Expedition en 1969 ; les nombreuses expéditions du navigateur et explorateur Janusz Kurbiel depuis 1976, en Islande, au Groenland ou au pôle Nord ; celles de Robert Swan en Antarctique ; la conquête par Erling Kagge du pôle Nord (1990), du pôle Sud (1993) et de l’Everest (1994) ; ou l’expédition Arctic Arc d’Alain Hubert, reliant la Sibérie au Groenland par le pôle Nord en 2007.
C’est toujours une Oyster au poignet qu’en 2006, l’aventurier norvégien Rune Gjeldnes devient la première et seule personne au monde à traverser les trois grandes étendues de glace (le Groenland, l’océan Arctique et l’Antarctique) sans assistance. En novembre 2005, Rune Gjeldnes débute « la marche la plus longue », une randonnée solitaire de 4.800 km pour traverser le pôle Sud en skis de fond, qu’il complète en février 2006. Il détient depuis le record de la plus longue équipée à skis de tous les temps, qui plus est sans réapprovisionnement.
Il déclare au sujet de sa montre Rolex : « En expédition, mon Explorer II est ma meilleure amie. Il est en effet indispensable d’avoir une montre mécanique robuste et précise. J’ai entièrement confiance en ma Rolex et cela me sécurise de savoir que je peux compter sur elle dans les conditions les plus difficiles. »
En 2010, un siècle après la conquête du pôle Nord, huit plongeurs de l’extrême relèvent le défi d’une expédition polaire à la rencontre de la face immergée de l’Arctique. Leur mission : découvrir et faire découvrir ce qui se cache sous la banquise. Pendant quarante-cinq jours, l’équipe évolue à skis aux confins du globe, dans le Grand Nord canadien, multipliant les plongées sous-marines pour témoigner de la richesse d’un écosystème victime du réchauffement climatique.
Dans les bagages des membres de l’expédition, des caméras, des appareils photo… et cinq montres Oyster. « Les seuls instruments de plongée qui ont toujours fonctionné sans aucune défaillance sont nos montres Rolex – le modèle Oyster Perpetual Rolex Deepsea », déclarera à l’issue de l’expédition Emmanuelle Périé, la seule femme de l’équipe.