Rolex Sea-Dweller 4000 : la renaissance de la montre des Aquanautes


Rolex a présenté cette année à l’occasion de la Foire de Bâle 2014 une nouvelle version de sa fameuse Sea-Dweller (toujours étanche à 1.220 mètres) qui revient dotée des tous derniers standards d’innovation de la marque genevoise. Naturellement, sa fameuse valve à hélium (invention Rolex) située sur le côté gauche du boitier est toujours là ! Un grand retour, aussi inattendu qu’inespéré par tous les plongeurs professionnels. Et les amateurs de montres sportives.


La Sea-Dweller (réf 16.600) avait disparu du catalogue Rolex en 2008 lorsque la marque genevoise avait sorti son modèle Deep-Sea. Sorte de « maxi » Sea-Dweller sur-vitaminée. Pour tout le monde, la Sea-Dweller était donc définitivement arrêtée. Et personne ne s’attendait à la voir ressurgir des profondeurs abyssales de l’océan ; son habitat de prédilection !
 
Rolex a donc surpris tout le monde en dévoilant cette année, sept ans après sa disparition, une nouvelle version de cette montre icône, qui depuis sa création en 1967, a toujours eu ses inconditionnels. Des amateurs de « plongeuses » qui ont toujours préféré la Sea-Dweller à la Submariner parce qu’elle était légèrement plus épaisse, parce qu’elle n’était pas équipée de la fameuse loupe et parce qu’elle était dotée de la fameuse valve à hélium. Bref, une montre très semblable aux autres mais différentes et surtout différenciante (pour connaisseurs avertis), qui était à l’origine, comme toutes les « professionnelles » Rolex, destinées aux professionnels. En l’occurrence, ceux des grands fonds…
 
Cette nouvelle version (réf 116600) devrait séduire les amateurs de ce modèle puisqu’elle conserve véritablement le même design et les mêmes spécificités. Mais en mieux ! Le boitier a légèrement été retravaillé (un tout petit peu plus massif ; 40 mm), la lunette est bien évidemment en céramique Cerachrom, le bracelet est ultra-technique et le calibre bénéficie des dernières innovations de la marque à la couronne. Certes, son prix est élevé avec 8.400 euros, mais si vous ne devez posséder  qu’une seule Rolex sportive dans votre collection, c’est bien celle-là !

Profitons du grand retour de la Sea-Dweller pour revenir plus en détails sur l’histoire (relativement méconnue) de ce véritable instrument de plongée commercialisé par Rolex en 1967 pour répondre aux besoins des plongeurs professionnels qui descendaient à l’époque de plus en plus profond…
 
Lorsque la mission Hydra VIII de la Comex (Compagnie Maritime d’Expertises) établit le record du monde de plongée en pleine mer à moins 534 mètres en 1988, la montre de la mission est une Sea-Dweller. Le modèle standard dans l’équipement du leader mondial de l’ingénierie sous-marine qui se distingue d’ailleurs par un logo blanc « Comex » placé sur le cadran ; une montre très recherchée qui atteint des sommets dans les ventes aux enchères. Et le seul instrument auquel les plongeurs d’élite font entièrement confiance pour les accompagner dans leurs descentes ultra-profondes en saturation, où le timing précis de chaque étape revêt une importance vitale. La montre avec laquelle ils ont mené à bien des milliers de missions sous-marines en conditions extrêmes.
 
Conçue en 1967, étanche jusqu’à 610 mètres puis jusqu’à 1.220 mètres dès 1978, la Sea-Dweller est la montre des pionniers des profondeurs. Ceux qu’on appellera les « aquanautes », explorateurs de l’hydrosphère, cet espace aquatique qui couvre quelque 70% de notre planète. Comme eux, la Sea-Dweller a dû s’adapter aux mélanges respiratoires artificiels conçus pour les grandes pressions, composés de gaz légers tels que l’hélium ou l’hydrogène. Comme eux, elle a dû se soumettre au long processus de décompression lors de la remontée à la surface afin d’éliminer ces gaz sans subir de dommages –le fameux et potentiellement fatal accident de décompression des plongeurs. A cet effet, la Sea-Dweller inaugure en 1967 une innovation importante développée et brevetée par Rolex : la fameuse valve à hélium.
 
Cette ingénieuse soupape de sécurité, incorporée au boîtier de la montre a joué un rôle essentiel dans l’essor de la plongée en grande profondeur, dont la Comex est certainement la plus illustre représentante. Son fondateur et président, le pionnier de la plongée profonde Henri Germain Delauze, déclarait au sujet de cette montre : « un plongeur à l’hydrogène ne peut pas vivre sans sa Rolex. En plongée, le temps est une donnée vitale. Le timing des opérations, le changement des mélanges gazeux, la durée des paliers de décompression, l’entrée ou la sortie de la tourelle se font à quelques secondes près. Disposer d’une montre précise, robuste et fiable était d’une importance capitale. »
 
Pour comprendre l’importance de la Sea-Dweller, il faut remonter aux prémices de la conquête des profondeurs, au début des années 1960. A cette époque, la limite de la plongée sous-marine à l’air comprimé se situe aux environs de 60 mètres, principalement pour des raisons physiologiques. En effet, à partir de cette profondeur l’air devient toxique du fait de la pression. L’azote, qui constitue près de 80% de l’air naturel, induit un effet narcotique sévère, la fameuse « ivresse des profondeurs », qui fait perdre la tête aux plongeurs les plus avertis. Dès 66 mètres, c’est l’oxygène qui devient dangereux, une hyperoxie entraînant crise neurologique et perte de connaissance.

Et pas question de remonter rapidement à la surface, sous peine de subir un accident de décompression : quarante minutes passées à 60 mètres de profondeur nécessitent deux heures d’une lente remontée ponctuée de nombreux paliers de décompression à respecter scrupuleusement pour permettre aux gaz inertes accumulés dans l’organisme de s’évacuer –avec toute la problématique de disposer d’assez d’air pour rester aussi longtemps sous l’eau. Et ces temps de décompression augmentent de manière exponentielle avec la profondeur. Pour franchir le cap des 60 mètres, il fallait clairement trouver d’autres solutions…
 
Celles-ci se matérialisent au début des années 1960 par le biais de deux innovations : le développement de mélanges respiratoires alternatifs pour éviter les effets toxiques de l’air, et le concept de plongée en saturation pour minimiser les temps de décompression et les risques associés.
Si l’air naturel devient toxique sous l’effet de la pression, pourquoi ne pas respirer autre chose ?

Cette question conduit au développement de mélanges respiratoires synthétiques qui ouvrent la voie vers les profondeurs des océans. L’air naturel est composé d’environ 80% d’azote et 20% d’oxygène, mais seul l’oxygène est métabolisé par l’organisme humain, et de ce fait vital. Or, c’est l’azote qui est responsable de la narcose des profondeurs à partir de 40 ou 60 mètres selon les individus.
 
La recherche scientifique établit que la proportion d’azote dans l’air peut être remplacée par de l’hélium, et que ce mélange artificiel hélium-oxygène (héliox) est respirable par des humains sans problème physiologique et sans provoquer de narcose sous pression. Par ailleurs, la toxicité de l’oxygène peut être évitée en augmentant la proportion d’hélium dans le mélange. La barre physiologique des 60 mètres peut dès lors être franchie.
 
Puis d’autres limites par la suite –telles que le syndrome nerveux des hautes pressions, causé lors d’immersions prolongées à plus de 150 mètres sous héliox–, par l’utilisation de différents cocktails gazeux composés à degrés variables d’hydrogène, d’oxygène, d’hélium ou d’azote. La combinaison de mélanges gazeux spécifiques à certains stades de la plongée permet dès le début des années 1960 de repousser toujours plus loin les profondeurs atteintes et d’optimiser les temps de décompression. En 1961, une plongée en pleine eau est réalisée à –222 mètres dans le lac Majeur, en Suisse. L’année suivante, on atteint –313 mètres dans l’océan Pacifique, en Californie. Un record qui surprend alors toute la communauté des plongeurs de l’époque et préfigure de nouveaux horizons sous-marins.
 
La profondeur n’est pas l’unique aspiration de la conquête de l’univers sous-marin : l’idée de pouvoir rester de manière prolongée sous l’eau, voire d’habiter la mer, a également alimenté de longue date l’imaginaire humain. Les projets de maisons sous la mer lancés dans les années 1960 en France et aux Etats-Unis permettront de s’affranchir de la seconde contrainte de l’exploration sous-marine : la décompression. Incidemment, ces programmes font écho au nom de la montre de plongée conçue par Rolex durant cette époque : la Sea-Dweller, littéralement « habitant des mers » en anglais.
 
Problème majeur de la plongée, la décompression limite de manière exponentielle le temps utile sous l’eau en fonction de la profondeur et de la durée. A titre d’exemple, pour une quinzaine de minutes passées à –90 mètres, un plongeur doit effectuer près de deux heures de décompression pour rejoindre la surface sain et sauf. Dix minutes à –300 mètres, et c’est théoriquement plus de vingt heures de décompression qui sont nécessaires. A peine quelques minutes ou quelques mètres supplémentaires augmentent encore cette durée de manière conséquente.

Le problème est là aussi physiologique et se nomme maladie de décompression, une condition qui peut entraîner la paralysie, voire la mort. Elle est due au fait qu’avec la pression sous-marine, le corps humain se transforme en « bouteille d’eau gazeuse » : les gaz sous pression se dissolvant dans l’eau, et le corps humain étant composé d’eau à près de 65%, une partie des gaz respirés se dilue dans le sang et les tissus. Une remontée sans décompression revient à secouer très fort la bouteille et l’ouvrir d’un coup : le gaz libéré forme des bulles de manière explosive. Dans les tissus humains, ces bulles peuvent entraîner de graves lésions. Pour éliminer le gaz sans risque, il faut ouvrir la bouteille très légèrement, lentement et en plusieurs fois. C’est le but des paliers de décompression, qui permettent au corps d’éliminer les gaz dissous de manière contrôlée.
 
Au milieu des années 1950, une découverte cruciale contribue de manière décisive au développement de la plongée en profondeur et de longue durée. Des expériences démontrent que les tissus humains ont une capacité donnée d’absorption des gaz sous pression. Cela signifie qu’à partir d’un seuil de saturation du corps en gaz respiratoire, la durée de décompression demeure la même si un plongeur reste sous l’eau quelques heures ou plusieurs jours, des semaines, voire des mois. Seuls la profondeur et le type de gaz respiré s’avèrent déterminants pour la décompression. Cette découverte permet le développement de la « plongée en saturation », une technique qui consiste littéralement à saturer les plongeurs et les maintenir dans un environnement sous pression durant de longues durées, de sorte qu’ils peuvent effectuer de nombreuses plongées profondes en ne devant se soumettre qu’à un seul processus de décompression en toute fin de mission.
 
Entre les plongées, ils résident dans un habitat sous-marin, sorte de maison de la mer posée sur le fond, dans lequel règne une pression de l’air égale à celle de l’eau à cette profondeur. Les plongeurs respirent un mélange gazeux synthétique à l’hélium, tant durant leurs sorties que dans l’habitat. En 1965, un aquanaute américain séjourne ainsi trente jours sous l’océan, vivant dans un habitat placé à
–62 mètres de profondeur. Durant leur séjour sous la mer, les aquanautes deviennent totalement acclimatés à la pression des profondeurs, étant saturés en gaz, de sorte qu’ils ne peuvent plus revenir à la pression atmosphérique de la surface sans passer par une longue phase de décompression dans un caisson hyperbare, pendant plusieurs dizaines d’heures. Ce processus, inhérent à l’identité des « habitants de la mer », a donné naissance à la fonction développée à l’époque par Rolex pour équiper son modèle de plongée ultrarésistant de nouvelle génération : une valve à hélium, grâce à laquelle la montre peut elle aussi décompresser sans dommage et laisser s’échapper l’hélium dont elle est saturée, à l’identique des plongeurs qui la portent.
 
Avec l’Oyster Perpetual Submariner, étanche jusqu’à 100 mètres, Rolex crée l’archétype de la montre de plongée en 1953, aux débuts de l’exploration sous-marine par scaphandre autonome. Dès 1954, la Submariner double son étanchéité jusqu’à 200 mètres, offrant une confortable marge de sécurité pour les plongeurs à l’air s’aventurant rarement au-delà de la limite fatidique des 60 mètres. Par ses performances et sa fiabilité, cette montre s’impose au poignet de l’élite des plongeurs, une communauté avec laquelle Rolex entretient d’étroits contacts pour assurer l’amélioration continuelle de ses produits.

En 1962, l’exploit réalisé à  moins 313 mètres en Californie rend évidente la nécessité d’une nouvelle génération de montres de plongée capables de résister à la pression des grandes profondeurs au-delà de 200 mètres. Rolex, qui avait envoyé avec succès en 1960 une montre expérimentale, attachée au bathyscaphe Trieste, jusqu’au plus profond des océans à près de –11 000 mètres, possède la technologie nécessaire pour renforcer la capacité de sa Submariner.
 
En 1966, la Comex effectue la première plongée industrielle à moins 160 mètres. La société française a en effet développé une technique de plongée en saturation comparable à celle des programmes de maisons sous la mer, mais avec des habitats hyperbares embarqués sur des navires, permettant d’intervenir partout dans le monde.

Les plongeurs en saturation sont transférés à la profondeur d’intervention sous l’eau par des tourelles, toujours sous pression, et retournent au sec et au chaud après leurs plongées dans l’habitat hyperbare sur le bateau support, jusqu’à leur décompression en fin de mission.
 
La Comex, qui se profile alors comme le leader de la plongée commerciale profonde, vise les moins 300 mètres à la fin de la décennie. Rolex prévoit alors de doter sa prochaine montre de plongée d’une étanchéité jusqu’à 2000 pieds, soit 610 mètres. Mais en plus d’une résistance accrue à la pression extérieure de l’eau, permettant de descendre toujours plus profond, les retours d’expérience des plongeurs en saturation font apparaître un nouveau besoin insoupçonné : une résistance élevée de la montre à la pression intérieure.
 
En effet, dans les habitats en surpression remplis de gaz respiratoires composés en grande partie d’hélium, les montres utilisées par les plongeurs finissent par se comporter comme eux : leur boîtier se sature en hélium, de sorte que la pression à l’intérieur de la montre s’équilibre avec celle dans l’habitat. Cela est dû à la nature extrêmement volatile de ce gaz léger, dont les molécules sont les plus petites au monde. L’hélium parvient ainsi petit à petit à s’infiltrer dans la montre par les joints d’étanchéité. Lors de la décompression des plongeurs, l’évacuation de l’hélium dans les tissus humains est plus rapide que la capacité du gaz léger à ressortir de la montre étanche, de sorte qu’une accumulation de pression importante se forme à l’intérieur du boîtier. Les plongeurs en décompression observent ainsi souvent que la glace de leur montre saute violemment, comme un bouchon de champagne, sous l’effet de la surpression.
 
De fait, il devient évident que la montre doit elle aussi pouvoir décompresser de son trop-plein d’hélium. Au lieu d’essayer de la rendre étanche à ce gaz, une mission pratiquement impossible, Rolex développe une soupape unidirectionnelle sur le côté du boîtier. Celle-ci s’active automatiquement passé un certain seuil de surpression interne, afin de permettre au gaz de s’échapper du boîtier tout en maintenant l’étanchéité de la montre. Brevetée en 1967 par Rolex pour son nouveau modèle de plongée Professionnel Oyster Perpetual Sea-Dweller, cette valve à hélium se révèle indispensable à l’essor de la plongée profonde en saturation.
 
Dans ces conditions, la Comex fait rapidement de la Sea-Dweller la montre officielle de ses plongeurs, lesquels n’auront de cesse de repousser toujours plus loin les limites de la plongée humaine en grande profondeur. Au record en pleine mer établi en 1988 à moins 534 mètres s’ajoute celui réalisé en 1992 en caisson hyperbare à une profondeur expérimentale de moins 701 mètres, suivi de vingt-quatre jours de décompression. Un record resté inégalé à ce jour.

La nouvelle Sea-Dweller 4000 est équipée du calibre 3135, un mouvement mécanique à remontage automatique avec affichage de la date entièrement développé et manufacturé par Rolex. Comme tous les mouvements Perpetual de Rolex, le 3135 est certifié Chronomètre suisse, un titre réservé aux montres ayant passé avec succès les tests du Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC).
 
L’oscillateur, véritable coeur de la montre, comprend un spiral Parachrom bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif de niobium et de zirconium. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, ce spiral présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs.
 
La lunette tournante unidirectionnelle graduée 60 minutes de la Sea-Dweller 4000 permet de lire les temps de plongée et de décompression avec précision et en toute sécurité. Elle est équipée d’un disque Cerachrom noir breveté et fabriqué par Rolex dans une céramique pratiquement inrayable et inaltérable. La graduation est obtenue par dépôt PVD (Physical Vapor Deposition) d’une fine couche de platine. Le cadran noir accueille de larges index et aiguilles Chromalight emplis d’une matière luminescente longue durée émettant dans le bleu pour une excellente lisibilité dans l’obscurité.
 
Le boîtier Oyster de la Sea-Dweller 4000 est garanti étanche jusqu’à 1.220 mètres. Sa massive carrure aux formes caractéristiques est taillée dans un bloc massif d’acier 904L (uniquement utilisé en série par Rolex) particulièrement résistant à la corrosion. Son fond cannelé est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial propre aux horlogers Rolex. La couronne de remontoir, munie du système breveté de triple étanchéité Triplock (symbolisé par les trois points sur la couronne) et protégée par un épaulement taillé dans la masse de la carrure, se visse solidement sur le boîtier comme un sas de sous-marin. Quant à la glace, elle est en saphir pratiquement inrayable.
 
Le bracelet Oyster de la Sea-Dweller 4000 (ultra-technique, résistant, confortable et bien pensé) est équipé du fermoir de sécurité Oysterlock prévenant toute ouverture accidentelle et d’un double système de rallonge offrant la possibilité d’ajuster la montre sur une combinaison de plongée jusqu’à 7 mm d’épaisseur : les lames de rallonge Fliplock, qui permettent de rallonger le bracelet de 26 mm, et le système Rolex Glidelock, qui permet quant à lui un réglage fin par incréments de 2 mm pour un total d’environ 20 mm, tous deux sans le moindre outillage.

Spécificités techniques de la Rolex Sea-Dweller 4000 réf 116600

Boitier Oyster (carrure monobloc, fond et couronne vissés)  de 40mm
Superalliage d’acier inoxydable 904L, finition satinée sécurité
Valve à hélium
Fond vissé à cannelures Rolex
Lunette tournante unidirectionnelle graduée 60 minutes avec disque Cerachrom noir en céramique, chiffres et graduations gravés et dépôt de platine par pulvérisation cathodique magnétron
(PVD)
Couronne de remontoir vissée, système de triple étanchéité Triplock
Protège-couronne : épaulement taillé dans la masse de la carrure
Glace saphir résistant aux rayures
 
Etanchéité 1.220 mètres
 
Calibre 3135, Manufacture Rolex
Mouvement mécanique à remontage automatique bidirectionnel par rotor Perpetual
Certifié COSC
Fréquence : 28 800 alt/h (4 Hz)
Spiral Parachrom bleu paramagnétique
Courbe terminale Breguet
Balancier de grande taille à inertie variable
Réglage haute précision par 4 écrous Microstella en or
Pont de balancier traversant
31 rubis
 
Réserve de marche : environ 48 heures
 
Fonctions : heures, minutes et secondes au centre ; date instantanée à 3 h
Stop seconde pour mise à l’heure précise
 
Cadran noir, finition satinée
Index haute lisibilité Chromalight (luminescence longue durée) en or gris 18 ct
Aiguilles Chromalight en or gris 18 ct
 
Bracelet Oyster (3 mailles), maillons massifs
Superalliage d’acier inoxydable 904L, finition satinée et tranche polie
Fermoir de sécurité Oysterlock à boucle déployante
Système de rallonge Rolex Glidelock (20 mm par sauts de 2 mm)
Lames de rallonge Fliplock (26 mm)


Montres-de-luxe.com | Publié le 1 Mai 2014 | Lu 27363 fois

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