En 1971, Rolex officialisait son partenariat avec la Comex. Rappelons que cette société française, basée à Marseille et spécialisée dans l’ingénierie sous-marine et les technologies hyperbares, équipe ses plongeurs de montres Rolex.
Elle fournit aussi, régulièrement à la marque horlogère, des rapports sur les performances de celles-ci afin qu’elle puisse encore améliorer leur fiabilité et perfectionner leurs fonctionnalités.
En parallèle de ses interventions sur des sites en mer, la Comex mène aussi des expériences scientifiques dans le but de développer de nouvelles technologies utiles à ses activités.
Des caissons hyperbares sont notamment mis au point pour reproduire la pression des profondeurs qui, dans les conditions réelles de plongée, demeurent très contraignantes pour les humains et le matériel.
Petit retour aux origines... Pour ses plongeurs en eau profonde, cette compagnie marseillaise recherchait une montre capable de supporter des pressions importantes.
Elle fournit aussi, régulièrement à la marque horlogère, des rapports sur les performances de celles-ci afin qu’elle puisse encore améliorer leur fiabilité et perfectionner leurs fonctionnalités.
En parallèle de ses interventions sur des sites en mer, la Comex mène aussi des expériences scientifiques dans le but de développer de nouvelles technologies utiles à ses activités.
Des caissons hyperbares sont notamment mis au point pour reproduire la pression des profondeurs qui, dans les conditions réelles de plongée, demeurent très contraignantes pour les humains et le matériel.
Petit retour aux origines... Pour ses plongeurs en eau profonde, cette compagnie marseillaise recherchait une montre capable de supporter des pressions importantes.
Jusque-là aucun garde-temps n'était capable de résister à de fortes pressions et ils explosaient au poignet des plongeurs lors de la remontée à la surface. C'est l'invention de la valve à hélium par Rolex qui permit de résoudre ces problèmes.
Cette ingénieuse soupape de sécurité, incorporée au boîtier de la montre joua un rôle essentiel dans l’essor de la plongée en grande profondeur, dont la Comex fut certainement la plus illustre représentante.
Son fondateur et président, le pionnier de la plongée profonde Henri Germain Delauze, déclarait au sujet de cette montre : « un plongeur à l’hydrogène ne peut pas vivre sans sa Rolex. En plongée, le temps est une donnée vitale ».
Et de poursuivre : « le timing des opérations, le changement des mélanges gazeux, la durée des paliers de décompression, l’entrée ou la sortie de la tourelle se font à quelques secondes près. Disposer d’une montre précise, robuste et fiable était d’une importance capitale ».
Cette ingénieuse soupape de sécurité, incorporée au boîtier de la montre joua un rôle essentiel dans l’essor de la plongée en grande profondeur, dont la Comex fut certainement la plus illustre représentante.
Son fondateur et président, le pionnier de la plongée profonde Henri Germain Delauze, déclarait au sujet de cette montre : « un plongeur à l’hydrogène ne peut pas vivre sans sa Rolex. En plongée, le temps est une donnée vitale ».
Et de poursuivre : « le timing des opérations, le changement des mélanges gazeux, la durée des paliers de décompression, l’entrée ou la sortie de la tourelle se font à quelques secondes près. Disposer d’une montre précise, robuste et fiable était d’une importance capitale ».
A l’époque, la Comex fut donc tellement impressionnée par les performances de la Sea-Dweller dévoilée en 1967, qu’elle décréta que ses plongeurs utiliseraient dès lors, exclusivement les montres de plongée Rolex.
La Sea-Dweller va d’ailleurs les accompagner vers de nouveaux records. En 1977, les plongeurs de la Comex atteignent 501 mètres de profondeur – s’approchant de la limite d’étanchéité de la montre.
La réaction de Rolex ne se fait pas attendre : un an plus tard, la marque redéfinit une fois de plus les standards en matière de montres de plongée professionnelles avec la nouvelle Sea-Dweller 4000 étanche à 1.220 mètres (4000 pieds).
En 1988, la Comex organise l’expédition Hydra VIII, au cours de laquelle six scaphandriers plongent en saturation à 534 mètres de profondeur –record du monde de plongée en pleine mer, inégalé à ce jour. Tous sont équipés de montres Sea-Dweller.
En 1992, a lieu l’expérience Hydra X durant laquelle un plongeur de la Comex, Theo Mavrostomos, atteint la profondeur simulée de 701 mètres dans un caisson hyperbare, un autre record mondial. Pendant quarante-trois jours, il portera une montre Sea-Dweller. Qui pour le coup, porte très bien son nom !
La relation et l’alliance entre Rolex et la Comex (unique au monde) perdurent et demeurent, à ce jour.
La société marseillaise a en effet développé les cuves dans lesquelles l’étanchéité des montres de plongée de la marque est testée avec une marge de sécurité de 25%, conformément à la norme en vigueur.
Le test d’étanchéité, réalisé lors du contrôle final de la montre soumet ainsi la Deepsea Challenge –garantie étanche jusqu’à 11.000 mètres– à une pression équivalente à celle exercée à 13.750 mètres de profondeur dans une cuve hyperbare développée conjointement par Rolex et la Comex
Les montres Rolex Comex portent, sur leur cadran, l'inscription Comex (en noir sur fond blanc) et le numéro du plongeur gravé au dos.
Elles sont extrêmement recherchées par les collectionneurs et leurs prix atteignent des sommes impressionnantes en occasion. Seul hic, des nombreuses « fausses » circulent le marché…
La maison Bucherer Paris, dans le cadre de son programme Rolex CPO, propose actuellement une Submariner Comex 16800 de 1988 au prix de 95.000 euros. Soit, près de dix fois le prix d'une Submariner équivalente non Comex !
La Sea-Dweller va d’ailleurs les accompagner vers de nouveaux records. En 1977, les plongeurs de la Comex atteignent 501 mètres de profondeur – s’approchant de la limite d’étanchéité de la montre.
La réaction de Rolex ne se fait pas attendre : un an plus tard, la marque redéfinit une fois de plus les standards en matière de montres de plongée professionnelles avec la nouvelle Sea-Dweller 4000 étanche à 1.220 mètres (4000 pieds).
En 1988, la Comex organise l’expédition Hydra VIII, au cours de laquelle six scaphandriers plongent en saturation à 534 mètres de profondeur –record du monde de plongée en pleine mer, inégalé à ce jour. Tous sont équipés de montres Sea-Dweller.
En 1992, a lieu l’expérience Hydra X durant laquelle un plongeur de la Comex, Theo Mavrostomos, atteint la profondeur simulée de 701 mètres dans un caisson hyperbare, un autre record mondial. Pendant quarante-trois jours, il portera une montre Sea-Dweller. Qui pour le coup, porte très bien son nom !
La relation et l’alliance entre Rolex et la Comex (unique au monde) perdurent et demeurent, à ce jour.
La société marseillaise a en effet développé les cuves dans lesquelles l’étanchéité des montres de plongée de la marque est testée avec une marge de sécurité de 25%, conformément à la norme en vigueur.
Le test d’étanchéité, réalisé lors du contrôle final de la montre soumet ainsi la Deepsea Challenge –garantie étanche jusqu’à 11.000 mètres– à une pression équivalente à celle exercée à 13.750 mètres de profondeur dans une cuve hyperbare développée conjointement par Rolex et la Comex
Les montres Rolex Comex portent, sur leur cadran, l'inscription Comex (en noir sur fond blanc) et le numéro du plongeur gravé au dos.
Elles sont extrêmement recherchées par les collectionneurs et leurs prix atteignent des sommes impressionnantes en occasion. Seul hic, des nombreuses « fausses » circulent le marché…
La maison Bucherer Paris, dans le cadre de son programme Rolex CPO, propose actuellement une Submariner Comex 16800 de 1988 au prix de 95.000 euros. Soit, près de dix fois le prix d'une Submariner équivalente non Comex !