Il pleut depuis deux jours sur Istanbul sans discontinuer. Si les touristes font grise mine, les vendeurs de parapluie à la sauvette ont le sourire...
Les trottoirs de ce quartier, souvent défoncés, sont parsemés de flaques d’eau plus ou moins profondes.
Avec ce temps maussade, humide et froid, le Grand Bazar est un refuge idéal pour les Stambouliotes et les visiteurs de passage…
Comme son nom l’indique, on trouve de tout dans ce marché couvert dont la construction fut initiée par Mehmed le Conquérant et qui fut le plus important de l’Empire ottoman.
En arrivant dans le Grand Bazar, c’est l’heure de la prière. Le chant du muezzin est diffusé par des haut-parleurs dans les ruelles et les allées de ce temple du commerce, ce qui n’empêche pas les vendeurs et les clients de vaquer à leurs occupations.
Les trottoirs de ce quartier, souvent défoncés, sont parsemés de flaques d’eau plus ou moins profondes.
Avec ce temps maussade, humide et froid, le Grand Bazar est un refuge idéal pour les Stambouliotes et les visiteurs de passage…
Comme son nom l’indique, on trouve de tout dans ce marché couvert dont la construction fut initiée par Mehmed le Conquérant et qui fut le plus important de l’Empire ottoman.
En arrivant dans le Grand Bazar, c’est l’heure de la prière. Le chant du muezzin est diffusé par des haut-parleurs dans les ruelles et les allées de ce temple du commerce, ce qui n’empêche pas les vendeurs et les clients de vaquer à leurs occupations.
Ca déambule, ça grouille, ça fume, ça interpelle, ça siffle, ça négocie, ça vend…
Dans ce brouhaha permanent, dans cette activité incessante, un homme, agile, se faufile, il tient à bout de bras un plateau de cuivre chargé de tasses de thé et de café fumant qu’il livre aux commerçants et aux clients.
Au détour d’une allée, un courant d’air répand des odeurs d’épices mêlées à celle des kebabs, omniprésente en ville.
Dans cet antre de la consommation, véritable tour de Babel, toutes les langues s’entremêlent… Du turc mélangé à de l’anglais, du russe, de l’espagnol, du français, de l’arabe, etc.
C’est dans ce méli-mélo linguistique que s’effectuent les transactions. Ici un manteau de fourrure, là un blouson de cuir, un bijou, de la céramique, un tapis, un foulard, etc.
On trouve de tout ou presque dans le Grand Bazar. Et beaucoup de copies de montres de luxe… Souvent de « mauvaise qualité ». Il convient donc de faire attention à ce que l’on achète.
Parmi ces centaines d’échoppes, l’une d’elles vend des montres de luxe d’occasion. Celle-là est sérieuse.
Pour la trouver, il suffit d’emprunter l’allée principale par l’entrée Nuruosmaniye Camii puis tourner sur la droite dans Terzibasi Araligi Sokagi, une ruelle qui descend. La boutique est installée au numéro 8.
Vous serez reçu par le sympathique Talip qui travaille dans l’horlogerie depuis une quinzaine d’années. L’endroit est exiguë et sobrement décoré. Du bois sombre et des murs rouge sang de bœuf. Au mur des horloges Panerai.
Dans ce brouhaha permanent, dans cette activité incessante, un homme, agile, se faufile, il tient à bout de bras un plateau de cuivre chargé de tasses de thé et de café fumant qu’il livre aux commerçants et aux clients.
Au détour d’une allée, un courant d’air répand des odeurs d’épices mêlées à celle des kebabs, omniprésente en ville.
Dans cet antre de la consommation, véritable tour de Babel, toutes les langues s’entremêlent… Du turc mélangé à de l’anglais, du russe, de l’espagnol, du français, de l’arabe, etc.
C’est dans ce méli-mélo linguistique que s’effectuent les transactions. Ici un manteau de fourrure, là un blouson de cuir, un bijou, de la céramique, un tapis, un foulard, etc.
On trouve de tout ou presque dans le Grand Bazar. Et beaucoup de copies de montres de luxe… Souvent de « mauvaise qualité ». Il convient donc de faire attention à ce que l’on achète.
Parmi ces centaines d’échoppes, l’une d’elles vend des montres de luxe d’occasion. Celle-là est sérieuse.
Pour la trouver, il suffit d’emprunter l’allée principale par l’entrée Nuruosmaniye Camii puis tourner sur la droite dans Terzibasi Araligi Sokagi, une ruelle qui descend. La boutique est installée au numéro 8.
Vous serez reçu par le sympathique Talip qui travaille dans l’horlogerie depuis une quinzaine d’années. L’endroit est exiguë et sobrement décoré. Du bois sombre et des murs rouge sang de bœuf. Au mur des horloges Panerai.
Le stock n’est pas énorme, en revanche les prix sont intéressants par rapport à ceux pratiqués en France. Au moins 500 euros de différence (sans avoir négocié) sur une Rolex GMT Master II en acier d’occasion. De quoi rembourser une partie de votre voyage à Istanbul…
Mais n’hésitez pas à envoyer un email (en anglais) à Talip si vous êtes à la recherche d’une pièce en particulier. Il se fera un plaisir de vous aider à trouver la montre de vos rêves. Et de vous offrir un thé ou un café turc tout en discutant horlogerie.
Une bonne petite adresse à retenir, d’autant qu’elle se trouve à dix minutes d’Aya Sophia et de la Mosquée Bleue. Et pas beaucoup plus loin du célèbre Palais de Topkapi
Mais n’hésitez pas à envoyer un email (en anglais) à Talip si vous êtes à la recherche d’une pièce en particulier. Il se fera un plaisir de vous aider à trouver la montre de vos rêves. Et de vous offrir un thé ou un café turc tout en discutant horlogerie.
Une bonne petite adresse à retenir, d’autant qu’elle se trouve à dix minutes d’Aya Sophia et de la Mosquée Bleue. Et pas beaucoup plus loin du célèbre Palais de Topkapi
Rose Watch
Terzibaşi Aralığı Sokak no 8
Kapalıçarşı
34116 Istanbul
Turquie
Tél. : 00905119091
Fax : 00902125115991-00902125115356
Mobile : 00905426619099
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Kapalıçarşı
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Turquie
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