Double régulateur à résonance avec grande date et sonnerie
Le système réglant n’a jamais existé. Romain Gillet s’est inspiré d’essais réalisés sur des tourbillons dans les années 1850 pour élaborer un double régulateur à résonance monté dans une cage comprenant un double roulement à billes développé expressément pour Rudis Sylva.
Ce mécanisme offre une précision d’exception non seulement grâce à la transmission d’énergie diffusée par l’oscillation des deux balanciers, mais également grâce au système de ressort qui relie les tourbillons.
Innovante dans sa technicité, cette construction brevetée jouit d’une capacité de réglage des plus précis. Les tourbillons, ornés de vis en titane et de rubis noirs, s’animent dans un décor pur mais stylisé.
Afin de garantir une parfaite harmonie de rotation des balanciers, il a été nécessaire de développer des roulements à billes d’une extrême complexité.
Chaque composant a été élaboré expressément pour cette pièce Rudis Sylva et terminé artisanalement par l’horloger, tout comme les anglages qui sont réalisé à la main.
Ce mécanisme offre une précision d’exception non seulement grâce à la transmission d’énergie diffusée par l’oscillation des deux balanciers, mais également grâce au système de ressort qui relie les tourbillons.
Innovante dans sa technicité, cette construction brevetée jouit d’une capacité de réglage des plus précis. Les tourbillons, ornés de vis en titane et de rubis noirs, s’animent dans un décor pur mais stylisé.
Afin de garantir une parfaite harmonie de rotation des balanciers, il a été nécessaire de développer des roulements à billes d’une extrême complexité.
Chaque composant a été élaboré expressément pour cette pièce Rudis Sylva et terminé artisanalement par l’horloger, tout comme les anglages qui sont réalisé à la main.
Sonnerie type boîte à musique
Rudis Sylva tenait à marquer son entrée dans l’horlogerie de prestige par une montre à sonnerie de type boîte à musique.
Les broches du disque sont caressées par un peigne en acier trempé bleui à la flamme qui transmet à la boîte une mélodie intitulée « Rauracienne », la « Rauracie » étant l’ancien nom du Jura qui signifie « pays âpre », en référence aux rigueurs des hivers dans la région.
L’armage de la sonnerie s’effectue en faisant coulisser un verrou niché dans le fond de la boîte.
Armée au maximum, la mélodie s’égrène lors des quatre prochains passages de l’heure.
Chaque acquéreur aura possibilité de personnaliser la mélodie de sa montre.
Les broches du disque sont caressées par un peigne en acier trempé bleui à la flamme qui transmet à la boîte une mélodie intitulée « Rauracienne », la « Rauracie » étant l’ancien nom du Jura qui signifie « pays âpre », en référence aux rigueurs des hivers dans la région.
L’armage de la sonnerie s’effectue en faisant coulisser un verrou niché dans le fond de la boîte.
Armée au maximum, la mélodie s’égrène lors des quatre prochains passages de l’heure.
Chaque acquéreur aura possibilité de personnaliser la mélodie de sa montre.
Fonctions heure / grande date / sonnerie
La mise en fonction de la sonnerie s’effectue par une pression sur un poussoir intégré dans la partie vitrée de la carrure.
Elle est en position « de marche » lorsque le guichet arbore la clé de fa et en position d’arrêt lorsque s’affiche le symbole du silence.
La grande date fait l’objet d’une construction innovante comprenant plusieurs systèmes brevetés. Ce développement a été réalisé dans un espace extrêmement réduit et a nécessité une grande créativité de la part des ingénieurs.
L’affichage des heures et des minutes sur un cadran rapporté guilloché à la main est assuré par des aiguilles en or de forme sapin. L’aiguillage passe par l’axe de barillet. Cette construction n’est pas nouvelle mais elle s’est avérée indispensable pour libérer de l’espace à la cage du double régulateur.
Elle est en position « de marche » lorsque le guichet arbore la clé de fa et en position d’arrêt lorsque s’affiche le symbole du silence.
La grande date fait l’objet d’une construction innovante comprenant plusieurs systèmes brevetés. Ce développement a été réalisé dans un espace extrêmement réduit et a nécessité une grande créativité de la part des ingénieurs.
L’affichage des heures et des minutes sur un cadran rapporté guilloché à la main est assuré par des aiguilles en or de forme sapin. L’aiguillage passe par l’axe de barillet. Cette construction n’est pas nouvelle mais elle s’est avérée indispensable pour libérer de l’espace à la cage du double régulateur.
Guillochage main
Sur le cadran indicateur des heures et des minutes comme sur la plaque sous le régulateur, vous pouvez découvrir l’art du guillochage à la main, réalisé par Georges Brodbeck dans son atelier de Saignelégier.
Sur la partie haute, le guillocheur a joué de subtilités en décorant le cadran de triangles de plus en plus grands.
La décoration triangulaire en arrondi nécessite un croisement de lignes à 120 degrés avec trois déplacements de l’outil pour chaque pyramide.
La plaque située sous le régulateur est ornée d’un décor « clous de Paris » très finement guilloché à la main, révélant ainsi la richesse de l’organe réglant.
Sur la partie haute, le guillocheur a joué de subtilités en décorant le cadran de triangles de plus en plus grands.
La décoration triangulaire en arrondi nécessite un croisement de lignes à 120 degrés avec trois déplacements de l’outil pour chaque pyramide.
La plaque située sous le régulateur est ornée d’un décor « clous de Paris » très finement guilloché à la main, révélant ainsi la richesse de l’organe réglant.