Voici une excellente alternative au bracelet NATO. Certes, c’est beaucoup cher, mais c’est aussi un produit différent, de surcroit, chargé d’histoire.
En effet, à l’origine, ce strap était fabriqué à la main dans l’esprit « DIY », par les nageurs de combat de la Marine Nationale française ; notamment pour leurs fameuses Tudor dont la marque s’est inspirée pour la relance de ses Black Bay.
Fait étonnant, ils trouvaient leur « matière première » sur… les parachutes. En effet, les militaires récupéraient les sangles élastiques des parachutes pour les recoudre et les adapter à leurs garde-temps. On n’est jamais si bien servi que par soi-même ! Pendant des années, ce type de bracelet est resté purement militaire ou réservé à quelques amateurs éclairés des montres de l’armée.
En effet, à l’origine, ce strap était fabriqué à la main dans l’esprit « DIY », par les nageurs de combat de la Marine Nationale française ; notamment pour leurs fameuses Tudor dont la marque s’est inspirée pour la relance de ses Black Bay.
Fait étonnant, ils trouvaient leur « matière première » sur… les parachutes. En effet, les militaires récupéraient les sangles élastiques des parachutes pour les recoudre et les adapter à leurs garde-temps. On n’est jamais si bien servi que par soi-même ! Pendant des années, ce type de bracelet est resté purement militaire ou réservé à quelques amateurs éclairés des montres de l’armée.
Depuis quelques années, et notamment depuis que Tudor a lancé ses Black Bay avec un bracelet créé dans cet esprit (mais différent), ce strap très martial s’est démocratisé auprès des fans de montres. Il s’impose aujourd’hui comme une belle alternative aux fameux NATO et ZULU.
A l’origine de la création de ces bracelets, une Batave blonde bien inspirée : Erika. Comme elle le rappelle : « j'ai commencé à fabriquer ces straps quand un passionné de montres m'a demandé s'il serait possible de compléter sa Doxa MN avec la sangle originale portée par les plongeurs de la Marine Nationale dans les années 70 ».
Et de préciser : « il voulait un modèle ajustable qu'il pourrait porter à sa guise à différents niveaux de son poignet. Il ne voulait pas d’un système avec une boucle cousue et un ardillon. Ce serait probablement trop serré ou trop lâche. Le NATO traditionnel était donc à proscrire… En quête du meilleur matériau, j'ai acheté quelques vieux parachutes pour récolter leurs sangles élastiques : c’était des parachutes français des années 1960 et 70 ».
A l’origine de la création de ces bracelets, une Batave blonde bien inspirée : Erika. Comme elle le rappelle : « j'ai commencé à fabriquer ces straps quand un passionné de montres m'a demandé s'il serait possible de compléter sa Doxa MN avec la sangle originale portée par les plongeurs de la Marine Nationale dans les années 70 ».
Et de préciser : « il voulait un modèle ajustable qu'il pourrait porter à sa guise à différents niveaux de son poignet. Il ne voulait pas d’un système avec une boucle cousue et un ardillon. Ce serait probablement trop serré ou trop lâche. Le NATO traditionnel était donc à proscrire… En quête du meilleur matériau, j'ai acheté quelques vieux parachutes pour récolter leurs sangles élastiques : c’était des parachutes français des années 1960 et 70 ».
Aujourd’hui, Erika a créé sa propre marque : Strap MN. Ces sangles sont toujours fabriquées dans des sangles de parachutes élastiques. « Afin de continuer la production et grâce à la relation exceptionnelle que j’ai avec l’armée de l'air française précise Erika, j'ai réussi à mettre la main sur des rouleaux de sangles élastiques d’anciens parachutes stockés depuis plus de quarante ans mais jamais utilisés ! ».
Les bracelet MN sont donc toujours fabriqués par Erika à partir de ces sangles composées de latex tressé avec du nylon. Le nylon est l'un des facteurs contribuant à son confort. Ce mélange absorbe et régule l'humidité mieux que tout autre matière. Il donne également la souplesse nécessaire au porté que ce soit directement sur la peau ou sur une combinaison de plongée ou de parachutisme.
Enfin, toutes les sangles sont cousues avec du fil de lin français en double piqûre à cheval, les coutures étant, comme l’ensemble du process de fabrication, entièrement réalisé à la main. Le stock actuel est composé de matière Vintage et pour certaines références ou couleurs de sangles neuves répondant aux mêmes caractéristiques techniques. Pour parfaire son produit, Erika a imaginé un nouveau système d’attache.
Tailles disponibles : 18, 20, 22, 24 et 26mm
Prix publics : de 60 à 100 euros en fonction des tailles et des options de boucles.
Les bracelet MN sont donc toujours fabriqués par Erika à partir de ces sangles composées de latex tressé avec du nylon. Le nylon est l'un des facteurs contribuant à son confort. Ce mélange absorbe et régule l'humidité mieux que tout autre matière. Il donne également la souplesse nécessaire au porté que ce soit directement sur la peau ou sur une combinaison de plongée ou de parachutisme.
Enfin, toutes les sangles sont cousues avec du fil de lin français en double piqûre à cheval, les coutures étant, comme l’ensemble du process de fabrication, entièrement réalisé à la main. Le stock actuel est composé de matière Vintage et pour certaines références ou couleurs de sangles neuves répondant aux mêmes caractéristiques techniques. Pour parfaire son produit, Erika a imaginé un nouveau système d’attache.
Tailles disponibles : 18, 20, 22, 24 et 26mm
Prix publics : de 60 à 100 euros en fonction des tailles et des options de boucles.