S’inspirer du monde de l’automobile pour imaginer une nouvelle montre n’est pas très original… Cela a été fait des centaines de fois et sera encore fait, probablement, des centaines et des centaines de fois. Mais le fait est que ces deux univers se marient bien ; de la belle mécanique d’un côté et des jouets pour enfants de l’autre… De Richard Mille à BRM en passant par Raidillon, incontestablement les bolides rendent les horlogers créatifs !
La jeune marque horlogère française Sartory Billard s’est lancée dans ce créneau fin 2015. Après deux années de travail, elle présentait sa toute première création : la Paraboloïde Apex RPM01. Derrière ce nom quelque peu abscons se cache un garde-temps fabriqué artisanalement en Franche-Comté ; c’est là que la marque a trouvé ses principaux fournisseurs. De facto, la production est limitée… Une dizaine de montres par mois et une série qui de toute façon est limitée à 88.
Comme le soulignent les fondateurs de la marque : « l'idée de départ était simple. Nous voulions emporter au poignet ce qui fait l'âme de l’automobile. Un compte-tours sportif, de ceux qu’on aime voir bondir et s’envoler. C'est d’ailleurs de là que vient le nom de ce modèle, RPM, pour Rotation Par Minute et c'est de là que vient l'esthétique du cadran de notre montre, clin d’œil que les passionnés reconnaîtront à coup sûr ».
La jeune marque horlogère française Sartory Billard s’est lancée dans ce créneau fin 2015. Après deux années de travail, elle présentait sa toute première création : la Paraboloïde Apex RPM01. Derrière ce nom quelque peu abscons se cache un garde-temps fabriqué artisanalement en Franche-Comté ; c’est là que la marque a trouvé ses principaux fournisseurs. De facto, la production est limitée… Une dizaine de montres par mois et une série qui de toute façon est limitée à 88.
Comme le soulignent les fondateurs de la marque : « l'idée de départ était simple. Nous voulions emporter au poignet ce qui fait l'âme de l’automobile. Un compte-tours sportif, de ceux qu’on aime voir bondir et s’envoler. C'est d’ailleurs de là que vient le nom de ce modèle, RPM, pour Rotation Par Minute et c'est de là que vient l'esthétique du cadran de notre montre, clin d’œil que les passionnés reconnaîtront à coup sûr ».
Mais les références aux voitures de sport ne s’arrêtent pas là ! A noter les graduations qui démarrent à 0, l'orientation et la typographie des chiffres, la couronne taillée en forme de pignon, le système de support du mouvement qui permet d'admirer le calibre automatique suisse (ETA 2824-2)…
Le boîtier en acier est poli dans sa partie supérieure et microbillé dans sa partie inférieure tel un bloc moteur. Enfin, les courbes de cette boite « 3D » empruntent à la fois aux virages relevés des plus célèbres circuits tout en rappelant les compteurs chromés de bolides de course classique ! Il faut compter une douzaine d’heures de travail pour fabriquer une seule boite.
Le polissage, le microbillage, les traitements colorés, la gravure et la boite packaging en noyer sont également réalisés par des artisans de cette même région française. Les aiguilles sont produites pas la dernière fabrique hexagonale spécialisée dans cet art horloger. En revanche le calibre ETA et le verre saphir bombé sont suisses. A noter qu’au final, la montre est entièrement assemblée à Paris !
L’un des points importants de cette nouveauté est également son bracelet (made in France). D’un nouveau genre. Qui associe tradition et nouvelles technologies. En effet, il embarque deux puces électroniques NFC qui permettent de contrôler de nombreux appareils tels qu’un smartphone ou un environnement domotique. Elles se cachent dans chaque rectangle surpiqué à midi et six heures.
Au final, une montre très réussie, d’un bon rapport qualité/prix et avec un sacré caractère. Certes, sa forme ne plaira pas à tout le monde, mais d’un autre côté, elle ne sera produite qu’à 88 exemplaires.
Le boîtier en acier est poli dans sa partie supérieure et microbillé dans sa partie inférieure tel un bloc moteur. Enfin, les courbes de cette boite « 3D » empruntent à la fois aux virages relevés des plus célèbres circuits tout en rappelant les compteurs chromés de bolides de course classique ! Il faut compter une douzaine d’heures de travail pour fabriquer une seule boite.
Le polissage, le microbillage, les traitements colorés, la gravure et la boite packaging en noyer sont également réalisés par des artisans de cette même région française. Les aiguilles sont produites pas la dernière fabrique hexagonale spécialisée dans cet art horloger. En revanche le calibre ETA et le verre saphir bombé sont suisses. A noter qu’au final, la montre est entièrement assemblée à Paris !
L’un des points importants de cette nouveauté est également son bracelet (made in France). D’un nouveau genre. Qui associe tradition et nouvelles technologies. En effet, il embarque deux puces électroniques NFC qui permettent de contrôler de nombreux appareils tels qu’un smartphone ou un environnement domotique. Elles se cachent dans chaque rectangle surpiqué à midi et six heures.
Au final, une montre très réussie, d’un bon rapport qualité/prix et avec un sacré caractère. Certes, sa forme ne plaira pas à tout le monde, mais d’un autre côté, elle ne sera produite qu’à 88 exemplaires.