Cela fait déjà près de quinze ans que la laque Urushi s’est invitée dans l’horlogerie haut de gamme. Notamment avec une somptueuse collection de montres Vacheron Constantin Métiers d’Arts en 2010 qui sera suivie ensuite de plusieurs modèles chez Chopard et chez Grand Seiko.
Depuis juin 2022, Seiko propose également cet artisanat d’art sur le cadran de ses montres dans sa collection Presage Craftsmanship. Cette année, elle intègre un modèle de 40,2 mm en acier avec revêtement anti-éraflures avec fonction GMT, étanche à 100 mètres.
La laque Urushi est utilisée depuis l’Antiquité pour les bols, les assiettes et autres ustensiles en raison de ses propriétés qui en font un matériau naturel extrêmement durable, et un élément essentiel de la vie quotidienne.
Depuis juin 2022, Seiko propose également cet artisanat d’art sur le cadran de ses montres dans sa collection Presage Craftsmanship. Cette année, elle intègre un modèle de 40,2 mm en acier avec revêtement anti-éraflures avec fonction GMT, étanche à 100 mètres.
La laque Urushi est utilisée depuis l’Antiquité pour les bols, les assiettes et autres ustensiles en raison de ses propriétés qui en font un matériau naturel extrêmement durable, et un élément essentiel de la vie quotidienne.
Les cadrans en laque de la collection Craftsmanship sont fabriqués avec soin, en combinant une méthode de fabrication innovante, qui fusionne directement le métal et la laque, avec des techniques traditionnelles pour créer une surface lisse.
L’urushi est un artisanat traditionnel japonais ancestral. L'arbre à laque ne pousse qu'en Chine du Sud, en Corée, au Vietnam et au Japon. En japonais, le nom de la matière et celui de l'arbre se confondent : urushi 漆. L'idéogramme correspondant, composé des clés de l'arbre, de l'eau de l'homme, donne une image fidèle de ce qu'il décrit !
Une fois durcie, la laque a la capacité de sceller des matériaux poreux tels le bois, le bambou, le papier ou le tissu, qui deviennent grâce à elle entièrement résistants à l'humidité, au sel, à la chaleur, aux liquides – y compris l'alcool –, à la nourriture et même aux acides. La laque n'a qu'un seul point faible, la lumière. Exposée à de la lumière trop forte, la laque pâlit, se dessèche et se décompose.
Une laque de bonne qualité ne s'érode pas même après cent ou deux cents ans. A titre de comparaison, la peinture à l'huile s'écaille au bout de dix ans et les vernis chimiques ne conservent leur éclat que vingt ou trente ans.
L’urushi est un artisanat traditionnel japonais ancestral. L'arbre à laque ne pousse qu'en Chine du Sud, en Corée, au Vietnam et au Japon. En japonais, le nom de la matière et celui de l'arbre se confondent : urushi 漆. L'idéogramme correspondant, composé des clés de l'arbre, de l'eau de l'homme, donne une image fidèle de ce qu'il décrit !
Une fois durcie, la laque a la capacité de sceller des matériaux poreux tels le bois, le bambou, le papier ou le tissu, qui deviennent grâce à elle entièrement résistants à l'humidité, au sel, à la chaleur, aux liquides – y compris l'alcool –, à la nourriture et même aux acides. La laque n'a qu'un seul point faible, la lumière. Exposée à de la lumière trop forte, la laque pâlit, se dessèche et se décompose.
Une laque de bonne qualité ne s'érode pas même après cent ou deux cents ans. A titre de comparaison, la peinture à l'huile s'écaille au bout de dix ans et les vernis chimiques ne conservent leur éclat que vingt ou trente ans.
La laque appliquée sur le cadran doit présenter un éclat magnifique tout en étant suffisamment fine pour ne pas gêner le mouvement des aiguilles, ce qui requiert un haut niveau de compétence. Sous la supervision de l’artiste laqueur Isshu Tamura, les artisans ont appliqué et poli la laque des dizaines de fois pour obtenir une profondeur de brillance unique.
Le nouveau modèle exprime le côté glamour et élégant de la laque de Kanazawa en utilisant une couleur or subtile pour l’aiguille GMT en forme de pinceau. En outre, les index blancs en relief, les aiguilles des heures et des minutes, ainsi que l’aiguille des secondes avec une finition miroir, subliment le contraste avec le cadran en laque noire, garantissant une lisibilité optimale.
Né en 1957, Isshu Tamura s’est formé à la technique traditionnelle de la laque d’or « Kaga Maki-e » de Kanazawa auprès du maître artisan Ikko Kiyose. Après s’être perfectionné dans cette technique, Tamura a entrepris de produire des œuvres d’art.
Il a mis en œuvre sa technique du Kaga Maki-e non seulement dans des objets en laque, mais aussi dans la création de stylos à plume et de montres-bracelets de luxe, qui ont été salués dans le monde entier pour la finesse de leurs détails et leur beauté.
Cette nouveauté embarque le calibre 6R54 automatique (72h de réserve de marche ; 24 rubis) et amagnétique affichant le jour, la fonction GMT en plus de l’heure et des minutes. Le fond de boîtier transparent de la montre porte les mots « Limited Edition » et le numéro de série.
Le nouveau modèle exprime le côté glamour et élégant de la laque de Kanazawa en utilisant une couleur or subtile pour l’aiguille GMT en forme de pinceau. En outre, les index blancs en relief, les aiguilles des heures et des minutes, ainsi que l’aiguille des secondes avec une finition miroir, subliment le contraste avec le cadran en laque noire, garantissant une lisibilité optimale.
Né en 1957, Isshu Tamura s’est formé à la technique traditionnelle de la laque d’or « Kaga Maki-e » de Kanazawa auprès du maître artisan Ikko Kiyose. Après s’être perfectionné dans cette technique, Tamura a entrepris de produire des œuvres d’art.
Il a mis en œuvre sa technique du Kaga Maki-e non seulement dans des objets en laque, mais aussi dans la création de stylos à plume et de montres-bracelets de luxe, qui ont été salués dans le monde entier pour la finesse de leurs détails et leur beauté.
Cette nouveauté embarque le calibre 6R54 automatique (72h de réserve de marche ; 24 rubis) et amagnétique affichant le jour, la fonction GMT en plus de l’heure et des minutes. Le fond de boîtier transparent de la montre porte les mots « Limited Edition » et le numéro de série.
