Cette nouvelle Seiko Prospex Automatic est une petite merveille japonaise qui affiche un design vintage particulièrement réussi. Elle s'inspire de la Seiko Pepsi 6309, une plongeuse automatique produite à partir du milieu des années 70 jusqu’à la fin des années 80.
A l’époque cette montre rencontra un franc-succès et reste très demandé sur le marché du « vintage accessible ». Ses couleurs, la forme coussin de son boitier (que d’aucuns baptiseront « turtle »), sa couronne à quatre heures, en font une plongeuse iconique depuis des années. Et qui ne coute pas très chère sur le marché de l’occasion.
Cette nouvelle référence, reprend donc à peu près la même forme de boitier (étanche 200 m), qui atteint dans cette version acier, les 45 mm. Le cadran bleu soleil est particulièrement réussi pendant que de larges aiguilles et index dotés de Lumibrite affichent le temps qui passe même dans l’obscurité. Le jour et la date apparaissent à 3h.
La couronne de remontoir se trouve à 4h (pour une meilleure mobilité du poignet) tandis que la lunette est bien évidemment unidirectionnelle comme toute plongeuse qui se respecte. Elle affiche dans cette version deux tonalités de bleus. Cette robuste plongeuse à la qualité irréprochable est montée sur bracelet de plongée en acier et livrée avec un second bracelet en silicone. Elle embarque le calibre automatique 4R36 « Made in Japan » d’une réserve de marche standard de 41h.
Cette « plongeuse » ne sera produite qu’à 6.000 exemplaires. Attention, contrairement à ce que vous pourriez penser, ce chiffre est relativement faible pour une montre de ce prix (529 euros). Il n’y en aura donc pas pour tout le monde, sachez-le.
Rappelons que Seiko a présenté sa toute première plongeuse automatique en 1965. Il s’agissait à l’époque de la MarineMaster qui était étanche jusqu’à 150 mètres. Dix ans plus tard, en 1975, l’horloger nippon commercialisait la Diver, avec une boite en titane (déjà) étanche à 600 mètres. Une véritable révolution !
Depuis, Seiko n’a de cesse d’améliorer les performances de ses produits et de conquérir de nouveaux amateurs dans le monde C’est d’ailleurs sur la base des standards de qualité Seiko qu’a été rédigée la norme ISO 6425. Rappelons que Seiko est une véritable manufacture horlogère qui créé ses propres mouvements mécaniques, parmi les plus précis au monde.
Ces derniers temps, alors que l’horlogerie suisse est mise à mal un peu partout dans le monde, notamment à cause de prix parfois délirants, l’horloger nippon Seiko étend ses parts de marché et commence à séduire les amateurs de montres suisses.
Le fait est que la qualité de ses garde-temps (finitions et mouvements) est irréprochable et que ses calibres mécaniques sont d’une remarquable précision. Ajoutez à cela une politique tarifaire agressive, et vous comprenez tout de suite le succès des Japonais sur le marché européen.
A l’époque cette montre rencontra un franc-succès et reste très demandé sur le marché du « vintage accessible ». Ses couleurs, la forme coussin de son boitier (que d’aucuns baptiseront « turtle »), sa couronne à quatre heures, en font une plongeuse iconique depuis des années. Et qui ne coute pas très chère sur le marché de l’occasion.
Cette nouvelle référence, reprend donc à peu près la même forme de boitier (étanche 200 m), qui atteint dans cette version acier, les 45 mm. Le cadran bleu soleil est particulièrement réussi pendant que de larges aiguilles et index dotés de Lumibrite affichent le temps qui passe même dans l’obscurité. Le jour et la date apparaissent à 3h.
La couronne de remontoir se trouve à 4h (pour une meilleure mobilité du poignet) tandis que la lunette est bien évidemment unidirectionnelle comme toute plongeuse qui se respecte. Elle affiche dans cette version deux tonalités de bleus. Cette robuste plongeuse à la qualité irréprochable est montée sur bracelet de plongée en acier et livrée avec un second bracelet en silicone. Elle embarque le calibre automatique 4R36 « Made in Japan » d’une réserve de marche standard de 41h.
Cette « plongeuse » ne sera produite qu’à 6.000 exemplaires. Attention, contrairement à ce que vous pourriez penser, ce chiffre est relativement faible pour une montre de ce prix (529 euros). Il n’y en aura donc pas pour tout le monde, sachez-le.
Rappelons que Seiko a présenté sa toute première plongeuse automatique en 1965. Il s’agissait à l’époque de la MarineMaster qui était étanche jusqu’à 150 mètres. Dix ans plus tard, en 1975, l’horloger nippon commercialisait la Diver, avec une boite en titane (déjà) étanche à 600 mètres. Une véritable révolution !
Depuis, Seiko n’a de cesse d’améliorer les performances de ses produits et de conquérir de nouveaux amateurs dans le monde C’est d’ailleurs sur la base des standards de qualité Seiko qu’a été rédigée la norme ISO 6425. Rappelons que Seiko est une véritable manufacture horlogère qui créé ses propres mouvements mécaniques, parmi les plus précis au monde.
Ces derniers temps, alors que l’horlogerie suisse est mise à mal un peu partout dans le monde, notamment à cause de prix parfois délirants, l’horloger nippon Seiko étend ses parts de marché et commence à séduire les amateurs de montres suisses.
Le fait est que la qualité de ses garde-temps (finitions et mouvements) est irréprochable et que ses calibres mécaniques sont d’une remarquable précision. Ajoutez à cela une politique tarifaire agressive, et vous comprenez tout de suite le succès des Japonais sur le marché européen.