Seiko Prospex Save the Ocean : hommage aux racines polaires de ces plongeuses de l'extrême


La manufacture horlogère japonaise Seiko, grande spécialiste des montres de plongée depuis 1965, s’engage une nouvelle fois dans la protection des océans avec ces trois plongeuses étanches à 200 mètres dotées de calibres automatiques dont les cadrans s’inspirent des glaciers polaires. A partir de 1.300 euros. Et pour la bonne cause.


Depuis une dizaine d’années déjà, de nombreuses marques horlogères s’investissent dans la protection des océans. De Rolex à Blancpain en passant par IWC, Oris, Panerai, Alpina, Carl F. Bucherer et bien d’autres.
 
Eh bien évidemment, en la matière, Seiko s’avère totalement légitime compte-tenu de sa longue histoire et son expertise dans les montres de plongée qui remonte à 1965. A ce titre, cette année, trois nouvelles plongeuses font écho aux racines polaires des Prospex.
 
En effet, pour rappel, la réputation de fiabilité et d’endurance de Seiko pour ses montres de plongée s’est forgée dans les années 1960 et 1970, lorsque ses modèles Diver’s furent sélectionnés par une équipe d’explorateurs et de chercheurs partis en expédition aux pôles Nord et Sud.

Aujourd’hui, Seiko accueille dans sa collection Prospex trois réinterprétations modernes des montres de plongée légendaires de cette période dont le design s’inspire des glaciers que ces pionniers parcoururent et qui façonnent encore aujourd’hui, les paysages terrestres et marins de l’Arctique et de l’Antarctique.
 
De fait, chacune d’entre elles possède un cadran qui évoque une nuance différente de surface glaciaire, du bleu profond au blanc. Un exercice de style totalement cohérent de surcroit avec l’identité de Seiko qui s’inspire très régulièrement de la nature pour la conception de ses cadrans !
 
Comme on peut le voir, la texture et la couleur de ces cadrans -du blanc au bleu foncé aux motifs complexes- rappellent celles de la glace. Ainsi, la référence au cadran bleu profond est inspirée de la première montre de plongée Seiko de 1965 qui a prouvé sa fiabilité lorsqu’elle fut choisie par les membres de l’expédition japonaise de recherche en Antarctique de 1966 à 1969.

Le modèle de 1968 est quant à lui, revisité en deux tons de bleu glacier. On remarque un cadran bleu clair réhaussé d’une lunette bleue plus foncée. Cette montre fut à l’époque, rappelons-le, la toute première Seiko dotée d’une étanchéité à 300 m et d’un mouvement automatique à 10 alternances par seconde.
 
Enfin, un cadran blanc orne la référence arborant un boîtier à la forme distinctive du modèle de 1970, qui a prouvé sa robustesse et sa résistance lorsqu’il fut porté par l’aventurier japonais Naomi Uemura. Pour rappel, entre 1974 et 1976, Naomi parcouru la distance de 12.500 km en solitaire avec un traîneau à chiens du Groenland à l’Alaska !
 
Ces trois montres de plongée sont animées par le calibre 6R35 amagnétique, qui a fait ses preuves et offre une réserve de marche de 70 heures, largement week-end proof donc

Elles sont étanches à 200 mètres (couronne et fond vissés) et sont présentées sur des bracelets en acier avec des extensions -pour être portées sur une combinaison de plongée- et des fermoirs sécurisés.
 
Les boîtiers (respectivement de 40.5mm (SPB297), 42mm (SPB299) et 42.7mm (SPB301)) sont dotés d’un revêtement ultra-dur et les verres saphir s’équipent d’un revêtement anti-reflet sur leur surface intérieure pour assurer une grande lisibilité sous tous les angles. Les douze index sont généreusement recouverts de Lumibrite, tout comme les aiguilles, afin de maximiser la lisibilité dans l’obscurité.
 
Ces trois belles créations ont rejoint la collection Seiko Prospex    Save the Ocean, un programme qui vient soutenir les organisations caritatives marines sélectionnées par Seiko.

Montres-de-luxe.com | Publié le 28 Novembre 2022 | Lu 18088 fois

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