En 1960, la manufacture japonaise Seiko se lance un nouveau défi de taille : obtenir le chronométrage officiel des Jeux Olympiques organisés à Tokyo en 1964.
Mais le pari est osé. En effet, à l’époque, le chronométrage des épreuves reste exclusivement manuel et mécanique et manque de fiabilité. Il faut alors imaginer un nouveau procédé doté d’un niveau de précision encore jamais atteint. Les ingénieurs de Seiko y parviendront en moins de deux ans !
Pour ce faire, ils inventeront en 1964, le premier système de chronométrage à quartz. Et Seiko sera ainsi désigné pour être « le » chronométreur officiel des futurs Jeux Olympiques. Les J.O. de Tokyo seront un triomphe. Pas la moindre erreur de chronométrage ne sera à déplorer au cours des différentes épreuves.
Mais le pari est osé. En effet, à l’époque, le chronométrage des épreuves reste exclusivement manuel et mécanique et manque de fiabilité. Il faut alors imaginer un nouveau procédé doté d’un niveau de précision encore jamais atteint. Les ingénieurs de Seiko y parviendront en moins de deux ans !
Pour ce faire, ils inventeront en 1964, le premier système de chronométrage à quartz. Et Seiko sera ainsi désigné pour être « le » chronométreur officiel des futurs Jeux Olympiques. Les J.O. de Tokyo seront un triomphe. Pas la moindre erreur de chronométrage ne sera à déplorer au cours des différentes épreuves.
Plus tard, en 1969, Seiko présente la Seiko Speedtimer doté du calibre 6139. C'était le premier chronographe automatique au monde avec une roue à colonnes et un embrayage vertical ! Deux dispositifs qui apportèrent de réelles améliorations dans la mesure du temps et qui sont, aujourd’hui encore, un prérequis pour les chronographes de belles factures.
Depuis, Seiko rend hommage régulièrement à la Speedtimer avec de nouvelles références qui rejoignent la collection Prospex. Parmi elles, ces trois chronographes de 41,4 mm (poussoirs non vissés) qui bénéficient de la précision légendaire de la technologie solaire de Seiko !
Comme pour tous les chronographes Speedtimer, chaque détail est pensé pour refléter la précision requise pour la mesure du temps écoulé. Ce, au plus haut niveau. On remarque par exemple, que la trotteuse du chronographe s’étend jusqu’aux repères du tachymètre sur le bord du cadran (tous en versions soleillés) pour une indication sans marge d’erreur.
Depuis, Seiko rend hommage régulièrement à la Speedtimer avec de nouvelles références qui rejoignent la collection Prospex. Parmi elles, ces trois chronographes de 41,4 mm (poussoirs non vissés) qui bénéficient de la précision légendaire de la technologie solaire de Seiko !
Comme pour tous les chronographes Speedtimer, chaque détail est pensé pour refléter la précision requise pour la mesure du temps écoulé. Ce, au plus haut niveau. On remarque par exemple, que la trotteuse du chronographe s’étend jusqu’aux repères du tachymètre sur le bord du cadran (tous en versions soleillés) pour une indication sans marge d’erreur.
L’aiguille des minutes à 6 h et l’aiguille centrale des secondes sont toutes deux rouges dans les trois références, ce, pour permettre une lecture précise du temps écoulé d’un simple coup d’œil. Le guichet de la date est placé quant à lui, entre les index (à 4h30) afin que l’heure soit toujours visible.
Les aiguilles des heures et des minutes ainsi que les douze index sont revêtus de Lumibrite pour améliorer la lisibilité même dans des conditions de faible luminosité !
L’ensemble étant protégé par un verre saphir bombé -avec revêtement anti-reflets sur la surface intérieure- qui offre un côté vintage au chrono. Tout comme la lunette bicolore en aluminium avec échelle tachymétrique d’ailleurs !
Les aiguilles des heures et des minutes ainsi que les douze index sont revêtus de Lumibrite pour améliorer la lisibilité même dans des conditions de faible luminosité !
L’ensemble étant protégé par un verre saphir bombé -avec revêtement anti-reflets sur la surface intérieure- qui offre un côté vintage au chrono. Tout comme la lunette bicolore en aluminium avec échelle tachymétrique d’ailleurs !
Les trois garde-temps sont alimentés par le calibre solaire V192 (amagnétique) de Seiko qui offre un chronographe de 60 minutes, un sous-cadran de 24 heures et, lorsqu’il est entièrement chargé, fonctionne jusqu’à six mois sans exposition à la lumière.
L’épaisseur et le poids du bracelet en acier à trois maillons assurent une stabilité et un grand confort au poignet. Il est équipé d’une boucle déployante triple avec bouton poussoir.
Ces modèles sont disponibles depuis novembre 2022 dans les boutiques Seiko et chez les revendeurs agréés.
L’épaisseur et le poids du bracelet en acier à trois maillons assurent une stabilité et un grand confort au poignet. Il est équipé d’une boucle déployante triple avec bouton poussoir.
Ces modèles sont disponibles depuis novembre 2022 dans les boutiques Seiko et chez les revendeurs agréés.