On a tendance à l’oublier en Europe, mais le Japon est un pays où l’horlogerie est élevée au niveau du grand art.
Précision, finitions, fiabilité, etc. Les Japonais n’ont rien à envier aux Suisses, d’autant qu’ils sont généralement mieux placés en termes de prix, avec des tarifs qui ont su rester raisonnables au vu de la qualité des produits. Ce qui n’est pas toujours le cas de nos voisins helvètes qui s’étonnent ensuite de moins vendre… Mais bon, ceci est une autre histoire.
Toujours est-il que de nos jours, porter une montre mécanique japonaise est une tendance chez les amateurs de belle horlogerie. Un moyen d’affirmer son goût pour les belles choses, mais les belles choses qui sortent de l’ordinaire, du « mainstream », des sentiers battus.
Une manière de dire : j’aime les montres, je connais l’horlogerie mais je veux porter quelque chose de différent et d’un excellent rapport qualité-prix. Porter une « japonaise », c’est être connaisseur, assurément, mais avec un twist d’originalité.
Précision, finitions, fiabilité, etc. Les Japonais n’ont rien à envier aux Suisses, d’autant qu’ils sont généralement mieux placés en termes de prix, avec des tarifs qui ont su rester raisonnables au vu de la qualité des produits. Ce qui n’est pas toujours le cas de nos voisins helvètes qui s’étonnent ensuite de moins vendre… Mais bon, ceci est une autre histoire.
Toujours est-il que de nos jours, porter une montre mécanique japonaise est une tendance chez les amateurs de belle horlogerie. Un moyen d’affirmer son goût pour les belles choses, mais les belles choses qui sortent de l’ordinaire, du « mainstream », des sentiers battus.
Une manière de dire : j’aime les montres, je connais l’horlogerie mais je veux porter quelque chose de différent et d’un excellent rapport qualité-prix. Porter une « japonaise », c’est être connaisseur, assurément, mais avec un twist d’originalité.
Dans ce contexte, Seiko s’impose comme un incontournable. Notamment lorsque la manufacture nippone réédite ses modèles vintage. C’est le cas de ces trois recréations Prospex qui seront disponibles dans les semaines à venir…
Il y a 55 ans (soit douze ans après les Suisses), Seiko lançait la toute première montre de plongée du Japon. Équipée d’un mouvement automatique et étanche jusqu’à 150 m, elle apportait alors la preuve de sa fiabilité au poignet des membres de l’expédition japonaise dans ses missions de recherche en Antarctique qui eurent lieu de 1966 à 1969 antarctique.
Depuis, Seiko est devenue une marque référence en matière de « plongeuses » et a conçu de nombreux autres modèles -dont les fameuses Turtles- plébiscités depuis cinq décennies par les plongeurs, amateurs comme professionnels.
Déjà très fiers des performances de leur montre en Antarctique, les ingénieurs de Seiko ont continué à les perfectionner pour encore mieux répondre aux besoins des plongeurs professionnels. Ainsi, en 1968, Seiko a présenté sa première montre de plongée étanche jusqu’à 300 m, équipée d’un mouvement automatique.
Il y a 55 ans (soit douze ans après les Suisses), Seiko lançait la toute première montre de plongée du Japon. Équipée d’un mouvement automatique et étanche jusqu’à 150 m, elle apportait alors la preuve de sa fiabilité au poignet des membres de l’expédition japonaise dans ses missions de recherche en Antarctique qui eurent lieu de 1966 à 1969 antarctique.
Depuis, Seiko est devenue une marque référence en matière de « plongeuses » et a conçu de nombreux autres modèles -dont les fameuses Turtles- plébiscités depuis cinq décennies par les plongeurs, amateurs comme professionnels.
Déjà très fiers des performances de leur montre en Antarctique, les ingénieurs de Seiko ont continué à les perfectionner pour encore mieux répondre aux besoins des plongeurs professionnels. Ainsi, en 1968, Seiko a présenté sa première montre de plongée étanche jusqu’à 300 m, équipée d’un mouvement automatique.
Cette dernière a été utilisé avec succès par le premier Japonais qui a escaladé l’Everest (précisons d’ailleurs que la marque nippone possède une ligne de montres « Alpinist »). La nouvelle fut accueillie avec joie, mais fut rapidement éclipsée par la réception d’une lettre d’un plongeur professionnel qui affirmait qu’aucune montre au monde n’était assez résistante pour supporter les contraintes de la plongée à saturation en eaux profondes.
Les ingénieurs Seiko étaient bien conscients des ajustements techniques nécessaires pour pouvoir proposer une montre de plongée réellement destinée aux professionnels... Il leur fallut sept ans de recherches et développement, mais en 1975, les ingénieurs mirent au point une plongeuse étanche à 600 m, ce qui constituait à de nombreux égards une première historique.
Le boîtier monobloc en titane -matériau extrêmement rare à l’époque dans l’horlogerie- avec une protection de boîte extérieure était équipé d’un joint en L, imperméable à l’hélium, évitant ainsi le recours à l’usage d’une valve de décompression.
Les ingénieurs Seiko étaient bien conscients des ajustements techniques nécessaires pour pouvoir proposer une montre de plongée réellement destinée aux professionnels... Il leur fallut sept ans de recherches et développement, mais en 1975, les ingénieurs mirent au point une plongeuse étanche à 600 m, ce qui constituait à de nombreux égards une première historique.
Le boîtier monobloc en titane -matériau extrêmement rare à l’époque dans l’horlogerie- avec une protection de boîte extérieure était équipé d’un joint en L, imperméable à l’hélium, évitant ainsi le recours à l’usage d’une valve de décompression.
Un nouveau bracelet à soufflets en polyuréthane maintenait quant à lui, parfaitement la montre sur le poignet, indépendamment de la température ambiante. La construction de la « Tuna » (les Japonais sont, rappelons-le, de grands amateurs de thons crus), ainsi que la surnommaient les amateurs d’horlogerie du monde entier, a redéfini les standards des montres de plongée.
On le voit depuis quelques années déjà, Seiko revient régulièrement rendre hommage à son riche -et ultra-légitime- passé historique. C’est encore le cas en ce printemps-été 2020 avec ces trois « recréations ».
Fidèles aux modèles originaux en termes de design, ces trois montres intègrent les fonctionnalités les plus modernes et sont construites dans un acier inoxydable d’une qualité inédite. Cet acier inoxydable, connu sous le nom « Ever brilliant Steel » en raison de sa teinte blanc brillant, mis à l’honneur dans cette trilogie, se veut « plus résistant à la corrosion que celui de la plupart des modèles actuels de Haute Horlogerie » assure Seiko dans son communiqué.
Il est utilisé pour la première fois dans l’industrie horlogère pour les boîtiers des recréations des modèles de 1965 et de 1968, ainsi que pour la lunette de la recréation de 1975. Cette dernière possède quant à elle un boîtier en titane, matériau à l’exceptionnelle résistance à la corrosion dans les environnements riches en chlore comme l’eau de mer, principalement utilisé pour les surfaces, doublures, boulons et autres composants de structures marines et de navires.
On le voit depuis quelques années déjà, Seiko revient régulièrement rendre hommage à son riche -et ultra-légitime- passé historique. C’est encore le cas en ce printemps-été 2020 avec ces trois « recréations ».
Fidèles aux modèles originaux en termes de design, ces trois montres intègrent les fonctionnalités les plus modernes et sont construites dans un acier inoxydable d’une qualité inédite. Cet acier inoxydable, connu sous le nom « Ever brilliant Steel » en raison de sa teinte blanc brillant, mis à l’honneur dans cette trilogie, se veut « plus résistant à la corrosion que celui de la plupart des modèles actuels de Haute Horlogerie » assure Seiko dans son communiqué.
Il est utilisé pour la première fois dans l’industrie horlogère pour les boîtiers des recréations des modèles de 1965 et de 1968, ainsi que pour la lunette de la recréation de 1975. Cette dernière possède quant à elle un boîtier en titane, matériau à l’exceptionnelle résistance à la corrosion dans les environnements riches en chlore comme l’eau de mer, principalement utilisé pour les surfaces, doublures, boulons et autres composants de structures marines et de navires.
Le mouvement High-Beat 8L55 qui anime les recréations de 1965 et 1968 et le calibre 8L35 dont est équipée la recréation de 1975 ont été développés et assemblés spécifiquement pour ces trois montres de plongée par le studio horloger de Shizukuishi.
Les trois modèles possèdent des verres saphir avec traitement antireflet sur la surface intérieure. Grâce à son cadran en fer doux, la recréation de 1975 offre quant à elle une meilleure résistance anti-magnétique, jusqu’à 40 000 a/m.
Les trois recréations partagent le même cadran bleu-gris évocateur des beautés marines et de leurs incroyables performances à fonctionner dans les grandes profondeurs. A noter le dégradé sur les recréations de 1965 et de 1968 qui évoque l’obscurité dont le plongeur est peu à peu nimbé au fur et à mesure qu’il descend dans les grands fonds.
Les bracelets, fabriqués dans des matières modernes, rendent aussi hommage aux modèles d’origine et également à leurs couleurs. Le bracelet imitant la texture du tissu du modèle 62MAS de 1965 est réinterprété en silicone, plus résistant et confortable. Celui de la recréation de 1968, également en silicone, présente le même motif pyramidal que son prédécesseur, mais la recréation du modèle de plongée de 1975 est montée sur le bracelet de type « accordéon », réalisé par Seiko.
Ces trois modèles seront produits en éditions limitées à 1 100 exemplaires au monde. Les recréations de 1965, 1968 et 1975 seront respectivement commercialisées à partir de juin, juillet et août.
Un écrin commémoratif pouvant accueillir les trois recréations ainsi que les trois bracelets noirs supplémentaires sera également proposé à partir de mai 2020. Seuls 100 exemplaires seront disponibles au monde.
Les trois modèles possèdent des verres saphir avec traitement antireflet sur la surface intérieure. Grâce à son cadran en fer doux, la recréation de 1975 offre quant à elle une meilleure résistance anti-magnétique, jusqu’à 40 000 a/m.
Les trois recréations partagent le même cadran bleu-gris évocateur des beautés marines et de leurs incroyables performances à fonctionner dans les grandes profondeurs. A noter le dégradé sur les recréations de 1965 et de 1968 qui évoque l’obscurité dont le plongeur est peu à peu nimbé au fur et à mesure qu’il descend dans les grands fonds.
Les bracelets, fabriqués dans des matières modernes, rendent aussi hommage aux modèles d’origine et également à leurs couleurs. Le bracelet imitant la texture du tissu du modèle 62MAS de 1965 est réinterprété en silicone, plus résistant et confortable. Celui de la recréation de 1968, également en silicone, présente le même motif pyramidal que son prédécesseur, mais la recréation du modèle de plongée de 1975 est montée sur le bracelet de type « accordéon », réalisé par Seiko.
Ces trois modèles seront produits en éditions limitées à 1 100 exemplaires au monde. Les recréations de 1965, 1968 et 1975 seront respectivement commercialisées à partir de juin, juillet et août.
Un écrin commémoratif pouvant accueillir les trois recréations ainsi que les trois bracelets noirs supplémentaires sera également proposé à partir de mai 2020. Seuls 100 exemplaires seront disponibles au monde.
Prospex 55e anniversaire tarifs :
- SLA037 - Recréation en édition limitée de la montre de plongée de 1965 : 6 500 € (édition limitée à 1 100 exemplaires au monde)
- SLA039 - Recréation de la montre de plongée de 1968 étanche à 300 m : 7 000 € (édition limitée à 1 100 exemplaires au monde)
- SLA041 - Recréation de la montre de plongée professionnelle de 1975 étanche à 600 m : 4 500 € (édition limitée à 1 100 exemplaires au monde)