Durant les longs mois d’hiver, il n’est pas rare de rencontrer sur les routes helvètes, de gros chasse-neige gris et orange qui viennent déblayer les chaussées… Cette nouvelle SevenFriday P3/3 Bully vient rendre hommage à ces monstres mécaniques qui permettent aux Suisses de se rendre d’un point à un autre sans trop de souci.
Ces montres, qui s’inspirent à la base du design industriel, poursuivent donc leur développement dans le même esprit, avec l’arrivée de ce nouveau modèle P3/3 Bully. On retrouve l’imposant boitier carré aux coins arrondis de 47 mm (étanche 30 mètres) en acier qui abrite le calibre mécanique japonais Miyota 82S7 (heures, minutes, petite seconde et indication 24 heures).
On retrouve aussi les deux éléments fondamentaux propres à la marque : la « box » et l’« interface ». La « box » en inox est en réalité la boite qui abrite le mouvement et ses composants. Cette dernière est ceinturée par l’« animation ring » (en français « bague d’animation ») qui permet d’agrémenter et de décorer ces garde-temps avec des matériaux différents selon les versions : ici en caoutchouc blanc pour symboliser la neige. Quant au boitier en acier PVD gris et aux touches d’orange présentes sur le cadran, l’ensemble rappelle les couleurs du monstre mécanique.
L’« interface » est quant à elle composée des aiguilles, des disques, du cadran et du mouvement. Toutes les indications sont dessinées et réfléchies de manière à révéler la complexité mécanique du calibre et la retranscrire jusqu’à la surface. Le cadran à lui seul concentre cinq strates avec onze pièces en appliques.
Ces montres, qui s’inspirent à la base du design industriel, poursuivent donc leur développement dans le même esprit, avec l’arrivée de ce nouveau modèle P3/3 Bully. On retrouve l’imposant boitier carré aux coins arrondis de 47 mm (étanche 30 mètres) en acier qui abrite le calibre mécanique japonais Miyota 82S7 (heures, minutes, petite seconde et indication 24 heures).
On retrouve aussi les deux éléments fondamentaux propres à la marque : la « box » et l’« interface ». La « box » en inox est en réalité la boite qui abrite le mouvement et ses composants. Cette dernière est ceinturée par l’« animation ring » (en français « bague d’animation ») qui permet d’agrémenter et de décorer ces garde-temps avec des matériaux différents selon les versions : ici en caoutchouc blanc pour symboliser la neige. Quant au boitier en acier PVD gris et aux touches d’orange présentes sur le cadran, l’ensemble rappelle les couleurs du monstre mécanique.
L’« interface » est quant à elle composée des aiguilles, des disques, du cadran et du mouvement. Toutes les indications sont dessinées et réfléchies de manière à révéler la complexité mécanique du calibre et la retranscrire jusqu’à la surface. Le cadran à lui seul concentre cinq strates avec onze pièces en appliques.