Cela fait déjà un an et demi que la marque horlogère zurichoise SevenFriday est née. Depuis, elle n’a cessé de grandir sans campagne de communication, sans ambassadeur, sans sponsoring… Juste par le biais du bouche à oreille et par le marketing viral engendré par les réseaux sociaux (notamment sur Instagram ou Facebook)…
Résultat ? La marque « aux sept vendredi par semaine », le nom SevenFriday est tout simplement génial, se porte plutôt bien et se développe tranquillement. Jusqu’à maintenant trois modèles ont été commercialisés… Le P1, le P2 et le P3. Chacun étant proposé en différentes versions. Dont certaines très limitées.
Mais globalement, le design de ces garde-temps, quelque soit leur référence d’ailleurs, reste à peu près le même : un imposant boitier carré aux coins arrondis de 47 mm (étanche 30 mètres) en acier, avec ou sans PVD, qui abrite le calibre mécanique japonais Miyota 82S7 (heures, minutes, petite seconde et indication 24 heures). Si l’entreprise est zurichoise, le design est réalisé dans les bureaux biennois de la marque.
L’ensemble des collections de montres SevenFriday comportent deux éléments fondamentaux : la « box » et l’« interface ». La « box » en inox est en réalité la boite qui abrite le mouvement et ses composants. Cette dernière est ceinturée par l’« animation ring » (en français « bague d’animation ») qui permet d’agrémenter et de décorer ces garde-temps avec des matériaux différents selon les versions : de l’aluminium au du bois de chêne en passant par du caoutchouc ou de la silicone de couleur !
L’« interface » est quant à elle composée des aiguilles, des disques, du cadran et du mouvement. « Toutes les indications sont dessinées et réfléchies de manière à révéler la complexité mécanique du calibre et la retranscrire jusqu’à la surface » assure la marque dans son communiqué. Et de préciser : « le cadran à lui seul concentre cinq strates avec onze pièces en appliques ».
Côté tarif, comptez dans les mille euros environ, ce qui reste très raisonnable. De fait, lorsqu’on regarde ce genre de montres, on s’imagine des prix quatre à cinq fois supérieurs ! C’est toujours mieux que l’inverse… Enfin, « last but not least », ces SevenFriday sont livrées dans des boites en bois qui s’inspirent de celles qui accueillent les bonnes bouteilles de vin !
Bref, les SevenFriday sont des montres idéales pour ceux qui ont déjà tout, pour ceux qui veulent afficher l’heure autrement sans se ruiner ou pour ceux qui veulent démarrer leur collection horlogère par un modèle original et abordable (garantie de deux ans). A découvrir au Bon Marché ou chez Ochrono à Paris, chez Frojo à Marseille ou sur le web.
L’« interface » est quant à elle composée des aiguilles, des disques, du cadran et du mouvement. « Toutes les indications sont dessinées et réfléchies de manière à révéler la complexité mécanique du calibre et la retranscrire jusqu’à la surface » assure la marque dans son communiqué. Et de préciser : « le cadran à lui seul concentre cinq strates avec onze pièces en appliques ».
Côté tarif, comptez dans les mille euros environ, ce qui reste très raisonnable. De fait, lorsqu’on regarde ce genre de montres, on s’imagine des prix quatre à cinq fois supérieurs ! C’est toujours mieux que l’inverse… Enfin, « last but not least », ces SevenFriday sont livrées dans des boites en bois qui s’inspirent de celles qui accueillent les bonnes bouteilles de vin !
Bref, les SevenFriday sont des montres idéales pour ceux qui ont déjà tout, pour ceux qui veulent afficher l’heure autrement sans se ruiner ou pour ceux qui veulent démarrer leur collection horlogère par un modèle original et abordable (garantie de deux ans). A découvrir au Bon Marché ou chez Ochrono à Paris, chez Frojo à Marseille ou sur le web.