Si la passion est le moteur de l'horlogerie indépendante, la Foire de Bâle permet de confronter son intime création à la réalité du marché.
Une première participation à ce salon est toujours un exercice tout aussi attendu -l'entrée dans la cours des grands- que redouté. En 2013, la marque horlogère SuisseMecanica s’y est confrontée pour la première fois…
« Notre vision de l’horlogerie combine l’excellence de la manufacture suisse à une attention portée à chaque détail, afin de développer un design de caractère » souligne ainsi Juliana Renoult, cofondatrice et directrice artistique de SuisseMecanica.
Et de poursuivre : « cette approche a su capter l’attention non seulement des connaisseurs, mais aussi du grand public qui ne nous connaissait pas et qui a été particulièrement réceptif. A Bale, l’accueil a largement surpassé nos attentes. Le design est en effet une composante horlogère à laquelle le public est de plus en plus réceptif, voire demandeur ! Nous nous réjouissons d’avoir participé au nouveau BaselWorld, qui nous a comblés avec l’inauguration du magnifique nouveau complexe lui aussi très design ».
Si les grandes marques rassemblent un large consensus autour de leur positionnement, les jeunes maisons indépendantes qui se présentent à Bâle pour la première fois avancent en terrain inconnu.
« Nous nous attendions à ce que la haute qualité de manufacture et le travail minutieux soient très remarqués par les connaisseurs. Nous envisagions de la même manière que notre signature esthétique et les innovations techniques allaient séduire le marché italien, qui y est culturellement sensible », poursuit Juliana Renoult. « En revanche, nous savions que le marché asiatique était réputé en demande de pièces classiques et de grands noms établis. Or les publics de Japon, de Singapour et de Hongkong se sont largement arrêtés pour trouver dans nos pièces une approche différente et tout aussi exigeante ».
Une première participation à ce salon est toujours un exercice tout aussi attendu -l'entrée dans la cours des grands- que redouté. En 2013, la marque horlogère SuisseMecanica s’y est confrontée pour la première fois…
« Notre vision de l’horlogerie combine l’excellence de la manufacture suisse à une attention portée à chaque détail, afin de développer un design de caractère » souligne ainsi Juliana Renoult, cofondatrice et directrice artistique de SuisseMecanica.
Et de poursuivre : « cette approche a su capter l’attention non seulement des connaisseurs, mais aussi du grand public qui ne nous connaissait pas et qui a été particulièrement réceptif. A Bale, l’accueil a largement surpassé nos attentes. Le design est en effet une composante horlogère à laquelle le public est de plus en plus réceptif, voire demandeur ! Nous nous réjouissons d’avoir participé au nouveau BaselWorld, qui nous a comblés avec l’inauguration du magnifique nouveau complexe lui aussi très design ».
Si les grandes marques rassemblent un large consensus autour de leur positionnement, les jeunes maisons indépendantes qui se présentent à Bâle pour la première fois avancent en terrain inconnu.
« Nous nous attendions à ce que la haute qualité de manufacture et le travail minutieux soient très remarqués par les connaisseurs. Nous envisagions de la même manière que notre signature esthétique et les innovations techniques allaient séduire le marché italien, qui y est culturellement sensible », poursuit Juliana Renoult. « En revanche, nous savions que le marché asiatique était réputé en demande de pièces classiques et de grands noms établis. Or les publics de Japon, de Singapour et de Hongkong se sont largement arrêtés pour trouver dans nos pièces une approche différente et tout aussi exigeante ».
Détaillants, visiteurs, professionnels : tous ont trouvé leur motif de satisfaction personnelle à la découverte de la première collection de SuisseMecanica. Autre constat : un mois après la fermeture des portes de Baselworld, les visiteurs d’Allemagne, de Grande-Bretagne, des Pays-Bas ainsi que des États Unis ont été nombreux à remarquer ce concept et manifester un intérêt commercial à la démarche de la marque.
Le grand oral bâlois passé avec succès, il appartient à présent à SuisseMecanica de transformer l’essai. La marque est aujourd’hui distribuée en France auprès de certains détaillants experts qui ont su détecter le potentiel de la marque, comme Romain Réa. Ce choix, par l’un des plus grands noms de la place horlogère parisienne n’a pas manqué d’attirer l’attention de nombreux de ses confrères, pour beaucoup à l’étranger. Des accords commerciaux sont en discussion avancée dans le reste de l’Europe, l’Asie et les États Unis.
Pour autant, SuisseMecanica reste très attachée à son positionnement de marque pour collectionneurs. En six mois, la marque a vendu 50% des pièces de son premier exercice, étant en cela en phase avec ses objectifs. Au-delà de ces premières commandes, BaselWorld a également donné un coup d’accélérateur non négligeable auprès de nouveaux clients. Au final, SuisseMecanica devrait donc conclure son année en avance sur ses prévisions. La saison 2013/2014 s’ouvrira ensuite sur une production de trois fois ces premiers volumes, toujours en laissant la part belle aux séries limitées et petites séries.
Comme de nombreux autres indépendants présents au Palace à ses côtés, SuisseMecanica affiche de belles ambitions tout en restant fermement ancrée dans la réalité. Guidée par la passion et l’esprit d’entreprise, la marque est – et restera – à taille humaine, et donc proche de ses clients. « Nous n’avons pas vocation à devenir une marque de mass market. Nous avons déjà une communauté de fans et ‘early adopters’ et tenons à conserver cet esprit intimiste qui nous y lie », conclut François Renoult, cofondateur de SuisseMecanica.
Rappelons que SuisseMecanica est une marque horlogère suisse (créée en 2010) implantée à La Chaux-de-Fonds. Elle crée, développe et produit des garde-temps exclusivement en éditions limitées, sur une signature esthétique contemporaine forte, soutenue par un design unique. Pour sa première collection SM8, SuisseMecanica a développé plusieurs innovations dont un système breveté inédit de protection de couronnes coulissant.
Le grand oral bâlois passé avec succès, il appartient à présent à SuisseMecanica de transformer l’essai. La marque est aujourd’hui distribuée en France auprès de certains détaillants experts qui ont su détecter le potentiel de la marque, comme Romain Réa. Ce choix, par l’un des plus grands noms de la place horlogère parisienne n’a pas manqué d’attirer l’attention de nombreux de ses confrères, pour beaucoup à l’étranger. Des accords commerciaux sont en discussion avancée dans le reste de l’Europe, l’Asie et les États Unis.
Pour autant, SuisseMecanica reste très attachée à son positionnement de marque pour collectionneurs. En six mois, la marque a vendu 50% des pièces de son premier exercice, étant en cela en phase avec ses objectifs. Au-delà de ces premières commandes, BaselWorld a également donné un coup d’accélérateur non négligeable auprès de nouveaux clients. Au final, SuisseMecanica devrait donc conclure son année en avance sur ses prévisions. La saison 2013/2014 s’ouvrira ensuite sur une production de trois fois ces premiers volumes, toujours en laissant la part belle aux séries limitées et petites séries.
Comme de nombreux autres indépendants présents au Palace à ses côtés, SuisseMecanica affiche de belles ambitions tout en restant fermement ancrée dans la réalité. Guidée par la passion et l’esprit d’entreprise, la marque est – et restera – à taille humaine, et donc proche de ses clients. « Nous n’avons pas vocation à devenir une marque de mass market. Nous avons déjà une communauté de fans et ‘early adopters’ et tenons à conserver cet esprit intimiste qui nous y lie », conclut François Renoult, cofondateur de SuisseMecanica.
Rappelons que SuisseMecanica est une marque horlogère suisse (créée en 2010) implantée à La Chaux-de-Fonds. Elle crée, développe et produit des garde-temps exclusivement en éditions limitées, sur une signature esthétique contemporaine forte, soutenue par un design unique. Pour sa première collection SM8, SuisseMecanica a développé plusieurs innovations dont un système breveté inédit de protection de couronnes coulissant.