Hossegor, juin 2011. Ce petit village balnéaire du sud-ouest de la France, avec ses jolies maisons basques aux murs recouverts de crépis blanc est entièrement tourné vers le surf. Sa rue principale est d’ailleurs la seule en France à réunir sur quelques centaines de mètres, tous les grands noms de ce sport de glisse : O’neil, Oxbow, Quicksilver, Ripcurl, Carhartt, etc.
C’est là que se déroulait, le week-end dernier le Swatch Girl Pro France (ASP 6 Star Series). La grande rencontre de surf français de l’année qui a réuni le gratin des surfeuses du monde entier, venues affronter les impressionnantes vagues tubulaires landaises : Françaises, Américaines, Sud-africaines, Australiennes, etc. Elles étaient toutes là.
Pendant cinq jours, du 1er au 5 juin 2011, sur la plage des Bourdaines de Seignosse Hossegor, une immense tente a accueilli les jeunes femmes, leurs entraineurs, leurs proches, les sponsors et les journalistes invités à couvrir l’évènement. Inutile de vous dire qu’une compétition de surf féminin est le paradis des Beach Boys !
C’est là que se déroulait, le week-end dernier le Swatch Girl Pro France (ASP 6 Star Series). La grande rencontre de surf français de l’année qui a réuni le gratin des surfeuses du monde entier, venues affronter les impressionnantes vagues tubulaires landaises : Françaises, Américaines, Sud-africaines, Australiennes, etc. Elles étaient toutes là.
Pendant cinq jours, du 1er au 5 juin 2011, sur la plage des Bourdaines de Seignosse Hossegor, une immense tente a accueilli les jeunes femmes, leurs entraineurs, leurs proches, les sponsors et les journalistes invités à couvrir l’évènement. Inutile de vous dire qu’une compétition de surf féminin est le paradis des Beach Boys !
Ambiance cool, teintée d’influences beatniks. Un zest de rock dans l’air. Des cheveux blonds partout. Des lunettes de soleil de toutes les formes et de toutes les couleurs. Des nez recouverts de crème solaire.
Des pieds nus, des tongs, des baskets, des Docksides et même des Ugg. Des chiens qui dorment à l’ombre de leur maitre ou qui fouinent dans l'espoir de croquer un morceau. Mais aussi et surtout, des combinaisons en néoprène qui sèchent au soleil. Des pains de wax entamés et des rangées de surfs bien alignés.
Avec en fond sonore, la voix nasillarde du speaker commentant les épreuves dans un mélange improbable de franco-anglo-portugais…
Des pieds nus, des tongs, des baskets, des Docksides et même des Ugg. Des chiens qui dorment à l’ombre de leur maitre ou qui fouinent dans l'espoir de croquer un morceau. Mais aussi et surtout, des combinaisons en néoprène qui sèchent au soleil. Des pains de wax entamés et des rangées de surfs bien alignés.
Avec en fond sonore, la voix nasillarde du speaker commentant les épreuves dans un mélange improbable de franco-anglo-portugais…
Chez les Françaises, l’une des favorites était la jeune Pauline Ado -la coqueluche des plages landaises-, née à Bayonne en 1991. Elle a grandi en surfant sur les vagues du sud-ouest de la France et accumule les titres depuis qu’elle a l’âge de 14 ans.
Egalement présente lors de cette rencontre, Coco Ho, jeune et jolie surfeuse de Hawaii née en 91 -accessoirement nièce du champion du monde de surf Derek Ho. Elle fait partie de la Swatch Proteam, une équipe de jeunes sportifs talentueux sponsorisée par la marque horlogère.
Soulignons aussi la présence de l’américaine Bethany Hamilton qui réussit l’exploit de surfer avec un seul bras. En effet, à l’âge de douze ans, un requin lui a arraché le bras gauche.
Malgré ce handicap, Bethany, avec courage et obstination, a souhaité poursuivre sa carrière et vivre sa passion. Aujourd’hui, à l’âge de 22 ans, elle continue à affronter vaillamment les plus grosses vagues de la planète.
Un livre sur sa vie devrait d‘ailleurs sortir prochainement ainsi qu‘un film, « Soul Surfer », qui a été présenté lors de la dernière édition du Festival de Cannes.
En savoir plus sur le site Internet dédié : www.swatchgirlspro.com
Egalement présente lors de cette rencontre, Coco Ho, jeune et jolie surfeuse de Hawaii née en 91 -accessoirement nièce du champion du monde de surf Derek Ho. Elle fait partie de la Swatch Proteam, une équipe de jeunes sportifs talentueux sponsorisée par la marque horlogère.
Soulignons aussi la présence de l’américaine Bethany Hamilton qui réussit l’exploit de surfer avec un seul bras. En effet, à l’âge de douze ans, un requin lui a arraché le bras gauche.
Malgré ce handicap, Bethany, avec courage et obstination, a souhaité poursuivre sa carrière et vivre sa passion. Aujourd’hui, à l’âge de 22 ans, elle continue à affronter vaillamment les plus grosses vagues de la planète.
Un livre sur sa vie devrait d‘ailleurs sortir prochainement ainsi qu‘un film, « Soul Surfer », qui a été présenté lors de la dernière édition du Festival de Cannes.
En savoir plus sur le site Internet dédié : www.swatchgirlspro.com
Les nouveautés Swatch
A l’occasion de ce grand rendez-vous de surf féminin, Swatch a présenté plusieurs nouveautés horlogères. Tout d’abord, un modèle New Gent édition limitée Swatch Girl Pro (montre totalement étanche qui résiste sans problème aux vagues de l’Atlantique).
Une série de cent pièces qui était réservée à la boutique Swatch d’Hossegor. Inutile de sauter dans le premier avion pour Biarritz, elles sont pratiquement toutes vendues ! Notamment aux collectionneurs du Swatch Club spécialement descendus pour l’occasion.
Mais Swatch a également dévoilée la collection Swatch Stripes (voir photo ci-dessous) : la marque surfe sur le look marinière avec cinq nouveaux modèles Gent Originals arborant un bracelet en plastique coloré rayé (bleu, violet, turquoise, rouge et rose)de blanc. Assurément l’une des montres de l’été 2011.
A l’occasion de ce grand rendez-vous de surf féminin, Swatch a présenté plusieurs nouveautés horlogères. Tout d’abord, un modèle New Gent édition limitée Swatch Girl Pro (montre totalement étanche qui résiste sans problème aux vagues de l’Atlantique).
Une série de cent pièces qui était réservée à la boutique Swatch d’Hossegor. Inutile de sauter dans le premier avion pour Biarritz, elles sont pratiquement toutes vendues ! Notamment aux collectionneurs du Swatch Club spécialement descendus pour l’occasion.
Mais Swatch a également dévoilée la collection Swatch Stripes (voir photo ci-dessous) : la marque surfe sur le look marinière avec cinq nouveaux modèles Gent Originals arborant un bracelet en plastique coloré rayé (bleu, violet, turquoise, rouge et rose)de blanc. Assurément l’une des montres de l’été 2011.
Du nouveau également dans la collection Diaphane Chrono avec l’arrivée de dix nouvelles montres Swatch Full-Blooded arborant un cadran coloré, une robuste lunette en aluminium et un bracelet disponible en diverses couleurs tendances.
Ciblant directement les femmes, trois de ces nouveaux modèles affichent les index des heures en cristal et des couleurs vives, tandis que deux autres illustrent la fascination actuelle pour les crânes, en proposant des cadrans affublés de têtes de mort argentées. Une autre série de cinq nouveaux modèles monochromes unisexes se décline en différentes couleurs.
On le sait, Swatch collabore étroitement avec des artistes de renommée internationale depuis plus de vingt-cinq ans. Ensemble, ils créent de l’« art pour le poignet » en combinant créativité artistique et technologie horlogère. Aujourd’hui, la marque présente la nouvelle œuvre de l’artiste japonais Hiroyuki Matsuura.
Né à Tokyo, ce dernier a oeuvré comme graphiste avant qu’une exposition individuelle en 2005 ne le révèle en tant qu’artiste. Aujourd’hui, il travaille sur des supports très variés -peinture, sculpture et éditions limitées d’œuvres multiples- au Japon et à l’étranger.
Pour cette collection (photo ci-dessous), le Japonais a dessiné six New Gent, disponibles sous la forme d’un coffret spécial (dans les boutiques exclusives Swatch) contenant les six montres. Il s’agit d’une édition limitée à 777 exemplaires numérotés (SUOZS01). Les montres conçues par Hiroyuki Matsuura sont aussi vendues individuellement en édition non limitée. Les noms et références sont les suivants:
Ciblant directement les femmes, trois de ces nouveaux modèles affichent les index des heures en cristal et des couleurs vives, tandis que deux autres illustrent la fascination actuelle pour les crânes, en proposant des cadrans affublés de têtes de mort argentées. Une autre série de cinq nouveaux modèles monochromes unisexes se décline en différentes couleurs.
On le sait, Swatch collabore étroitement avec des artistes de renommée internationale depuis plus de vingt-cinq ans. Ensemble, ils créent de l’« art pour le poignet » en combinant créativité artistique et technologie horlogère. Aujourd’hui, la marque présente la nouvelle œuvre de l’artiste japonais Hiroyuki Matsuura.
Né à Tokyo, ce dernier a oeuvré comme graphiste avant qu’une exposition individuelle en 2005 ne le révèle en tant qu’artiste. Aujourd’hui, il travaille sur des supports très variés -peinture, sculpture et éditions limitées d’œuvres multiples- au Japon et à l’étranger.
Pour cette collection (photo ci-dessous), le Japonais a dessiné six New Gent, disponibles sous la forme d’un coffret spécial (dans les boutiques exclusives Swatch) contenant les six montres. Il s’agit d’une édition limitée à 777 exemplaires numérotés (SUOZS01). Les montres conçues par Hiroyuki Matsuura sont aussi vendues individuellement en édition non limitée. Les noms et références sont les suivants:
Enfin, l’histoire d'amour entre Swatch et l'art se poursuit avec de nouvelles créations signées par le célèbre photographe de mode britannique Rankin qui a imaginé huit nouveaux modèles Gent Originals.
Une partie de ces créations se présente sous la forme d'un jeu de cinq montres en édition limitée et numérotée à 777 pièces, proposé dans un emballage spécial. Trois montres Gents supplémentaires dessinées par le photographe britannique sont vendues individuellement en édition illimitée.
Les œuvres du photographe et réalisateur londonien Rankin continuent d'influencer l'iconographie contemporaine. Co-fondateur d'un magazine de mode, il est surtout connu pour ses portraits créatifs, dont les sujets peuvent aller de célébrités à des déplacés au Congo.
Ses œuvres, qui remettent souvent en question les diktats de la beauté, sont régulièrement exposées dans les galeries du monde entier, ainsi que sur des panneaux publicitaires ou sur des couvertures de magazines.
Il a également réalisé des clips musicaux pour des artistes populaires, des publicités pour des marques internationales, ainsi qu'un long-métrage, « The Lives of the Saints », pour lequel il a reçu un prix.
Il est aussi connu pour avoir réalisé plusieurs documentaires tels que « The Seven Photos that Changed Fashion », « South Africa in Pictures » et, plus récemment « Shooting the Stars », qui retrace l'histoire de la photographie à Hollywood. Rankin soutient également plusieurs associations caritatives. Il vit et travaille au nord de Londres, où il a aménagé son propre studio ainsi qu'une galerie.
Une partie de ces créations se présente sous la forme d'un jeu de cinq montres en édition limitée et numérotée à 777 pièces, proposé dans un emballage spécial. Trois montres Gents supplémentaires dessinées par le photographe britannique sont vendues individuellement en édition illimitée.
Les œuvres du photographe et réalisateur londonien Rankin continuent d'influencer l'iconographie contemporaine. Co-fondateur d'un magazine de mode, il est surtout connu pour ses portraits créatifs, dont les sujets peuvent aller de célébrités à des déplacés au Congo.
Ses œuvres, qui remettent souvent en question les diktats de la beauté, sont régulièrement exposées dans les galeries du monde entier, ainsi que sur des panneaux publicitaires ou sur des couvertures de magazines.
Il a également réalisé des clips musicaux pour des artistes populaires, des publicités pour des marques internationales, ainsi qu'un long-métrage, « The Lives of the Saints », pour lequel il a reçu un prix.
Il est aussi connu pour avoir réalisé plusieurs documentaires tels que « The Seven Photos that Changed Fashion », « South Africa in Pictures » et, plus récemment « Shooting the Stars », qui retrace l'histoire de la photographie à Hollywood. Rankin soutient également plusieurs associations caritatives. Il vit et travaille au nord de Londres, où il a aménagé son propre studio ainsi qu'une galerie.
