La Fédération de l'industrie horlogère suisse FH, avec près de 500 membres -petits, moyens et grands fabricants et fournisseurs- apprécie à sa juste valeur cette reconnaissance des efforts consentis par l'industrie horlogère helvétique en faveur de la place économique suisse.
Incontestablement, celui qui accompagne un produit d’une étiquette « Swiss Made » bénéficie d'une plus-value. La très grande majorité de l'industrie horlogère suisse s’estime également redevable de cette plus-value. Cette industrie crée ici des emplois et des places d'apprentissage.
Elle veille à ce qu'une proportion importante de la valeur ajoutée provienne de Suisse. Elle investit en Suisse. Et elle s'assure une longueur d'avance sur le reste du monde, grâce à l'innovation et aux développements permanents effectués dans notre pays. Le fait que le concept fonctionne montre le succès de la branche. Toute la Suisse peut bénéficier de cet engagement.
Une montre qui est à 50% suisse se trouve être aussi à 50% asiatique -et pourrait ipso facto se faire appeler montre asiatique à juste titre. Si le Parlement venait à cultiver un tel doute, cela se paierait rapidement. Non seulement pour les montres, mais pour tous les produits étiquetés « Swiss made ».
Un consommateur ne sera plus prêt à payer un prix plus élevé pour des produits suisses si ceux-ci ne correspondent pas à ce qu’ils promettent. Une dilution de la marque Suisse mettrait donc des emplois en danger –des emplois directs mais aussi indirects. Par exemple, une entreprise produisant sur sol helvétique réjouit notamment les fabricants de machines locaux. Ces derniers peuvent fabriquer la nouvelle ligne de production et l’entretenir.
Avec la confirmation renouvelée d'une part minimale de valeur suisse fixée à 60% pour les produits industriels, la CAJ-CE prouve qu'elle prend la protection durable des emplois suisses au sérieux. Le « Swiss Made » ne doit pas être dilué, une base juridique claire doit enfin empêcher les abus. Ce seul fait renforcera les emplois suisses – en particulier dans les PME.
Incontestablement, celui qui accompagne un produit d’une étiquette « Swiss Made » bénéficie d'une plus-value. La très grande majorité de l'industrie horlogère suisse s’estime également redevable de cette plus-value. Cette industrie crée ici des emplois et des places d'apprentissage.
Elle veille à ce qu'une proportion importante de la valeur ajoutée provienne de Suisse. Elle investit en Suisse. Et elle s'assure une longueur d'avance sur le reste du monde, grâce à l'innovation et aux développements permanents effectués dans notre pays. Le fait que le concept fonctionne montre le succès de la branche. Toute la Suisse peut bénéficier de cet engagement.
Une montre qui est à 50% suisse se trouve être aussi à 50% asiatique -et pourrait ipso facto se faire appeler montre asiatique à juste titre. Si le Parlement venait à cultiver un tel doute, cela se paierait rapidement. Non seulement pour les montres, mais pour tous les produits étiquetés « Swiss made ».
Un consommateur ne sera plus prêt à payer un prix plus élevé pour des produits suisses si ceux-ci ne correspondent pas à ce qu’ils promettent. Une dilution de la marque Suisse mettrait donc des emplois en danger –des emplois directs mais aussi indirects. Par exemple, une entreprise produisant sur sol helvétique réjouit notamment les fabricants de machines locaux. Ces derniers peuvent fabriquer la nouvelle ligne de production et l’entretenir.
Avec la confirmation renouvelée d'une part minimale de valeur suisse fixée à 60% pour les produits industriels, la CAJ-CE prouve qu'elle prend la protection durable des emplois suisses au sérieux. Le « Swiss Made » ne doit pas être dilué, une base juridique claire doit enfin empêcher les abus. Ce seul fait renforcera les emplois suisses – en particulier dans les PME.