Cette montre est équipée d’un boitier de 43 mm (étanche 100 mètres) en titane microbillé revêtu de carbure de titane qui a comme propriété d’être extrêmement résistant et plus léger que l’acier. Elle embarque dans sa course folle le fameux calibre 16, automatique, chrono et day-date. Sa lunette est en céramique, donc pratiquement inrayable.
Elle dispose d’un tachymètre pour la mesure de la vitesse moyenne (indispensable pour une montre de pilote digne de ce nom). Sa glace saphir est bombée et avec un double traitement anti reflets. Le fond est orné d’une décalque Nissan NISMO. Enfin, ce garde-temps est monté sur un bracelet en alligator mat Soft Touch surpiqué rouge.
Rappelons que depuis les années 70 avec Ferrari, et bien sûr Steve McQueen avec sa Monaco pour le film culte Le Mans, l’histoire de TAG Heuer est intimement liée à celle du circuit, et ce, quasiment chaque année. Avec souvent un podium pour son partenaire.
Elle dispose d’un tachymètre pour la mesure de la vitesse moyenne (indispensable pour une montre de pilote digne de ce nom). Sa glace saphir est bombée et avec un double traitement anti reflets. Le fond est orné d’une décalque Nissan NISMO. Enfin, ce garde-temps est monté sur un bracelet en alligator mat Soft Touch surpiqué rouge.
Rappelons que depuis les années 70 avec Ferrari, et bien sûr Steve McQueen avec sa Monaco pour le film culte Le Mans, l’histoire de TAG Heuer est intimement liée à celle du circuit, et ce, quasiment chaque année. Avec souvent un podium pour son partenaire.
En 2015, TAG Heuer s’associe donc avec le phénomène Nissan GT-R LM NISMO. Après seize années d’absence, le constructeur japonais revient avec une voiture révolutionnaire, un défi technologique. Une voiture incroyable au design différent, un monstre de plus de 1'000 chevaux à traction hybride avant équipée d’un V6 3 litres Biturbo. La seule ainsi motorisée en 2015 – toutes les autres sont des propulsions – du jamais vu depuis 1997.
Un engin engagé dans la catégorie-reine (LMP1) des gros prototypes, un concentré de technologie avec son système récupérateur d’énergie cinétique, ultra exigeante en termes de mise au point. En tous, trois exemplaires de la voiture sont engagés avec neuf pilotes qui vont se relayer. Trois d’entre eux, Lucas Ordonez, Jann Mardenborough et Mark Shulzhitskiy sont issus de la Nissan Academy, cette « école » de pilotage qui recrute... à partir d’un jeu sur Playstation.
Un engin engagé dans la catégorie-reine (LMP1) des gros prototypes, un concentré de technologie avec son système récupérateur d’énergie cinétique, ultra exigeante en termes de mise au point. En tous, trois exemplaires de la voiture sont engagés avec neuf pilotes qui vont se relayer. Trois d’entre eux, Lucas Ordonez, Jann Mardenborough et Mark Shulzhitskiy sont issus de la Nissan Academy, cette « école » de pilotage qui recrute... à partir d’un jeu sur Playstation.