Après avoir présenté cette année quatre éditions limitées célébrant les 50 ans de l’iconique TAG Heuer Monaco, l’horloger a clôturé ces festivités avec une cinquième et dernière montre lors d’un événement immersif au Space Plus de Shanghai.
On ne présente plus la Monaco de chez TAG Heuer. Depuis cinquante ans, ce chrono carré fait partie des montres mythiques. Pourtant, à l’origine, en 1969, cette montre était un « clou »… Comprendre dans le jargon horloger helvétique : un échec commercial ! C’est d’ailleurs pour cela que Jack Heuer la proposa aux producteurs du film Le Mans, histoire d’essayer de relancer le modèle.
Et bien lui en a pris ! En effet, c’est dans ce film que Steve McQueen -qui ne jurait que par sa Rolex Submariner sans date- porta une Monaco pour les besoins de ce long-métrage… Comme le souligne Jack Heuer, « la place privilégiée de la Monaco sur le poignet de l’acteur contribua à créer sa légende, mais c’est le design si particulier du chronographe et le côté résolument novateur du boîtier – aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur – qui la fit sortir du lot ».
Depuis, cette montre a été déclinée dans de très nombreuses versions, mais la plus mythique est celle équipée du Calibre 11 (automatique / 40 h de réserve de marche) avec ses poussoirs situés à 2 et 4 heures, sa couronne à 9 heures, ses compteurs argentés à 9 et 3 heures et son guichet date à 6 heures.
On ne présente plus la Monaco de chez TAG Heuer. Depuis cinquante ans, ce chrono carré fait partie des montres mythiques. Pourtant, à l’origine, en 1969, cette montre était un « clou »… Comprendre dans le jargon horloger helvétique : un échec commercial ! C’est d’ailleurs pour cela que Jack Heuer la proposa aux producteurs du film Le Mans, histoire d’essayer de relancer le modèle.
Et bien lui en a pris ! En effet, c’est dans ce film que Steve McQueen -qui ne jurait que par sa Rolex Submariner sans date- porta une Monaco pour les besoins de ce long-métrage… Comme le souligne Jack Heuer, « la place privilégiée de la Monaco sur le poignet de l’acteur contribua à créer sa légende, mais c’est le design si particulier du chronographe et le côté résolument novateur du boîtier – aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur – qui la fit sortir du lot ».
Depuis, cette montre a été déclinée dans de très nombreuses versions, mais la plus mythique est celle équipée du Calibre 11 (automatique / 40 h de réserve de marche) avec ses poussoirs situés à 2 et 4 heures, sa couronne à 9 heures, ses compteurs argentés à 9 et 3 heures et son guichet date à 6 heures.
Pour le jubilé de ce chrono, TAG Heuer a dévoilé le cinquième -et dernier- des cinq nouveaux garde-temps de collection inspirés par la Monaco originale. En effet, cinq variations de ce modèle ont présentées tout au long de l’année 2019 (un par grande décennie).
Le premier de ces modèles, inspiré par les années 1969 à 1979, a été dévoilé au Grand Prix de Monaco de Formule 1 en mai et le deuxième, en hommage à la période 1979 à 1989, a été présenté en juin au Mans, en France. La troisième édition, inspirée par les années 1990, a fait son entrée en juillet au E-Prix de New York. La quatrième édition, en l’honneur des années 2000, a reçu un accueil international lors de sa présentation à Tokyo, en septembre dernier.
Voici donc la cinquième et dernière version de cette collection : elle embarque un cadran anthracite soleillé orné d’index plaqué or noir. Ses compteurs rhodiés présentent également un effet soleillé. La trotteuse, les aiguilles des minutes et secondes du chronographe et le marqueur à 12h apportent la touche de couleur (rouge) et dynamisent le cadran.
Tout comme sur le modèle original, les boutons-poussoirs sont placés à droite du boîtier, tandis que la couronne polie est à gauche –une disposition non conventionnelle qui distingue la Monaco depuis un demi-siècle. A noter que le boitier en acier est sablé et que ses poussoirs sont polis.
Le boîtier étanche à 100 mètres renferme le célèbre calibre 11, une version moderne du mouvement de chronographe à remontage automatique lancé avec la Monaco originale de 1969. Cette montre est proposée en édition limitée à 169 pièces.
Le fond de de boîte porte le logo original « Monaco Heuer », ainsi que les mentions « 2009-2019 Special Edition » et « One of 169 » (plus économique que numéroter chaque boite, c’est un peu dommage sur une telle commémoration). Adoptant un design inspiré du modèle original, le fond en acier inoxydable présente une finition brossée verticale et circulaire polie.
Cette montre est proposée sur un bracelet en cuir de veau perforé noir avec doublure noire et coutures grises.
Le premier de ces modèles, inspiré par les années 1969 à 1979, a été dévoilé au Grand Prix de Monaco de Formule 1 en mai et le deuxième, en hommage à la période 1979 à 1989, a été présenté en juin au Mans, en France. La troisième édition, inspirée par les années 1990, a fait son entrée en juillet au E-Prix de New York. La quatrième édition, en l’honneur des années 2000, a reçu un accueil international lors de sa présentation à Tokyo, en septembre dernier.
Voici donc la cinquième et dernière version de cette collection : elle embarque un cadran anthracite soleillé orné d’index plaqué or noir. Ses compteurs rhodiés présentent également un effet soleillé. La trotteuse, les aiguilles des minutes et secondes du chronographe et le marqueur à 12h apportent la touche de couleur (rouge) et dynamisent le cadran.
Tout comme sur le modèle original, les boutons-poussoirs sont placés à droite du boîtier, tandis que la couronne polie est à gauche –une disposition non conventionnelle qui distingue la Monaco depuis un demi-siècle. A noter que le boitier en acier est sablé et que ses poussoirs sont polis.
Le boîtier étanche à 100 mètres renferme le célèbre calibre 11, une version moderne du mouvement de chronographe à remontage automatique lancé avec la Monaco originale de 1969. Cette montre est proposée en édition limitée à 169 pièces.
Le fond de de boîte porte le logo original « Monaco Heuer », ainsi que les mentions « 2009-2019 Special Edition » et « One of 169 » (plus économique que numéroter chaque boite, c’est un peu dommage sur une telle commémoration). Adoptant un design inspiré du modèle original, le fond en acier inoxydable présente une finition brossée verticale et circulaire polie.
Cette montre est proposée sur un bracelet en cuir de veau perforé noir avec doublure noire et coutures grises.