Maintenant que Rolex est chronométreur officiel de la Formule 1, les marques horlogères se tournent vers la Formule E (FIA). Moins connue, mais plus écolo. De Richard Mille à de Grisogono (qui a réalisé le trophée), en passant par TAG Heuer, les horlogers suisses s’intéressent donc de plus en plus à cette toute nouvelle discipline.
Partenaire fondateur et chronométreur officiel de l’épreuve, TAG Heuer était présent tout au long de ce parcours urbain au cœur même de Pékin via des panneaux publicitaires le long des stands et sur la grille de départ. La marque a également synchronisé toutes les informations de course sur les écrans de contrôle, informant en temps réel pilotes, supporteurs et médias.
A nouvelle technologie, nouveau « bruit ». C’est dans un murmure électrique, que se sont ainsi élancées les voitures du Championnat du monde de Formule E, vingt monoplaces Spark-Renault SRT-01E rigoureusement identiques, emplissant l’air de Pékin de leurs décibels uniques et futuristes. Ils étaient plus de 75.000 spectateurs à applaudir leur passage tout au long d’un circuit de 3,44 km autour du stade olympique, le fameux « nid d’oiseau ».
Les e-Pionniers ont relevé le défi, sans céder à la pression (petit rappel évident du célèbre slogan de la marque « don’t crack under pressure). Soit, vingt-cinq tours de course sur des bolides à propulsion 100% électrique. La course a été épique jusqu'au tout dernier virage. C’est finalement l’ambassadeur de TAG Heuer, le pilote Lucas Di Grassi (Audi Sport ABT Formula E team) auteur d’un final incroyable, qui a remporté la première course de l'histoire du sport automobile électrique. Pour l’occasion, le pilote brésilien portait sa montre Carrera 1887 sur la première marche du podium.
Comme le souligne Alejandro Agag, PDG de Formula E Holdings : « c'est fantastique d'avoir un partenaire tel que TAG Heuer avec lesquels nous partageons les mêmes valeurs : l’audace, le respect de l'environnement et l’amour du divertissement ».
De son côté, Stéphane Linder, PDG de TAG Heuer remarquait : « Pour TAG Heuer, c’est une suite logique que de soutenir le championnat du monde de Formule E, innovation majeure de ces dix dernières années. Le sport automobile fait un grand pas vers un avenir plus respectueux de l'environnement. C'est une technologie futuriste et pionnière (…). Ce partenariat va de soi. La plus grande compétition de voitures de course à moteur électrique s’inscrit dans la continuité de notre histoire avec le sport automobile et souligne notre engagement dans le développement durable. La passion des voitures stimule l’innovation technique et la recherche de la performance depuis les débuts de la marque nous a incités à battre des records. La course d'aujourd'hui est un rêve qui devient réalité, la première étape d'une nouvelle ère ». Prochain paddock à haute tension ? Putrajaya, en Malaisie, le 22 novembre prochain.
Petite information de dernière minute concernant TAG Heuer : l’horloger travaille à la conception d’une montre connectée. « Nous voulons lancer une smartwatch » indiquait récemment Jean-Claude Biver, patron de la branche horlogerie chez LVMH. « Mais elle ne doit pas copier l’Apple Watch ».
Partenaire fondateur et chronométreur officiel de l’épreuve, TAG Heuer était présent tout au long de ce parcours urbain au cœur même de Pékin via des panneaux publicitaires le long des stands et sur la grille de départ. La marque a également synchronisé toutes les informations de course sur les écrans de contrôle, informant en temps réel pilotes, supporteurs et médias.
A nouvelle technologie, nouveau « bruit ». C’est dans un murmure électrique, que se sont ainsi élancées les voitures du Championnat du monde de Formule E, vingt monoplaces Spark-Renault SRT-01E rigoureusement identiques, emplissant l’air de Pékin de leurs décibels uniques et futuristes. Ils étaient plus de 75.000 spectateurs à applaudir leur passage tout au long d’un circuit de 3,44 km autour du stade olympique, le fameux « nid d’oiseau ».
Les e-Pionniers ont relevé le défi, sans céder à la pression (petit rappel évident du célèbre slogan de la marque « don’t crack under pressure). Soit, vingt-cinq tours de course sur des bolides à propulsion 100% électrique. La course a été épique jusqu'au tout dernier virage. C’est finalement l’ambassadeur de TAG Heuer, le pilote Lucas Di Grassi (Audi Sport ABT Formula E team) auteur d’un final incroyable, qui a remporté la première course de l'histoire du sport automobile électrique. Pour l’occasion, le pilote brésilien portait sa montre Carrera 1887 sur la première marche du podium.
Comme le souligne Alejandro Agag, PDG de Formula E Holdings : « c'est fantastique d'avoir un partenaire tel que TAG Heuer avec lesquels nous partageons les mêmes valeurs : l’audace, le respect de l'environnement et l’amour du divertissement ».
De son côté, Stéphane Linder, PDG de TAG Heuer remarquait : « Pour TAG Heuer, c’est une suite logique que de soutenir le championnat du monde de Formule E, innovation majeure de ces dix dernières années. Le sport automobile fait un grand pas vers un avenir plus respectueux de l'environnement. C'est une technologie futuriste et pionnière (…). Ce partenariat va de soi. La plus grande compétition de voitures de course à moteur électrique s’inscrit dans la continuité de notre histoire avec le sport automobile et souligne notre engagement dans le développement durable. La passion des voitures stimule l’innovation technique et la recherche de la performance depuis les débuts de la marque nous a incités à battre des records. La course d'aujourd'hui est un rêve qui devient réalité, la première étape d'une nouvelle ère ». Prochain paddock à haute tension ? Putrajaya, en Malaisie, le 22 novembre prochain.
Petite information de dernière minute concernant TAG Heuer : l’horloger travaille à la conception d’une montre connectée. « Nous voulons lancer une smartwatch » indiquait récemment Jean-Claude Biver, patron de la branche horlogerie chez LVMH. « Mais elle ne doit pas copier l’Apple Watch ».
