Le marché de la montre connectée n’a pas grand-chose en commun avec celui de la montre de luxe… Rien à voir avec l’arrivée du quartz qui devait remplacer, une bonne fois pour toute, les calibres mécaniques. Les smartwatches, ne représentent pas la même menace pour l’horlogerie suisse, même si elles risquent de lui chiper quelques parts de marché dans certains segments de prix (notamment en-dessous de 500 euros). D’un autre côté, un porteur de Rolex, Patek, Omega ou Panerai n’abandonnera jamais sa Submariner, sa Calatrava, sa Seamaster ou sa Luminor pour un cadran tactile qui donne l’heure et la météo…
Toujours est-il que la montre connectée pourrait séduire certains horlogers suisses dans les années à venir… Swatch, bien évidemment, mais également une marque comme Tissot qui est déjà très présente dans ce secteur avec son incontournable T-Touch qui pourrait peut-être évoluer à terme vers la connectivité… Dans tous les cas, une marque s’annonce déjà prête à relever le défi : TAG Heuer. C’est ce que vient d’annoncer Jean-Claude Biver, patron du pôle horlogerie de LVMH qui indiquait récemment dans NZZ am Sonntag : « nous voulons lancer notre smartwatch, mais naturellement, cela ne doit pas être une copie de l’Apple Watch. Nous ne pouvons pas simplement suivre les pas d’un autre… ». Toutefois, M. Biver n’as pas donné plus de précisions quant à la sortie d’une telle montre sur le marché.
Incontestablement, TAG Heuer fait partie des marques les plus à même de proposer ce type de produit sur le marché… Tout d’abord, cet horloger commercialise déjà des téléphones de luxe, le Meridiist. De plus, l’année dernière, TAG Heuer équipait les marins d’Oracle Team USA, lors de la Coupe de l’America, avec l’Aquaracer 72. Pour l’occasion, tous portaient un chronographe digital, première montre nautique spécialement conçue pour et par un équipe de navigateurs professionnels.
Pour la première fois, un même instrument porté par chacun des membres de l’équipage au cours d’une régate affichait des informations constamment mises à jour sur le comportement du bateau et de ses voiles, notamment la vitesse de croisière et la force, l’orientation et l’angle du vent vrai. Le flux de données en temps réel –le mouvement du chronographe digital a été entièrement programmé par les ingénieurs Oracle Team USA– a permis au skipper Jimmy Spithill et à son équipage de réagir aussi rapidement que possible et de synchroniser au mieux leurs mouvements, optimisant le processus de prise de décision comme jamais.
Toujours est-il que la montre connectée pourrait séduire certains horlogers suisses dans les années à venir… Swatch, bien évidemment, mais également une marque comme Tissot qui est déjà très présente dans ce secteur avec son incontournable T-Touch qui pourrait peut-être évoluer à terme vers la connectivité… Dans tous les cas, une marque s’annonce déjà prête à relever le défi : TAG Heuer. C’est ce que vient d’annoncer Jean-Claude Biver, patron du pôle horlogerie de LVMH qui indiquait récemment dans NZZ am Sonntag : « nous voulons lancer notre smartwatch, mais naturellement, cela ne doit pas être une copie de l’Apple Watch. Nous ne pouvons pas simplement suivre les pas d’un autre… ». Toutefois, M. Biver n’as pas donné plus de précisions quant à la sortie d’une telle montre sur le marché.
Incontestablement, TAG Heuer fait partie des marques les plus à même de proposer ce type de produit sur le marché… Tout d’abord, cet horloger commercialise déjà des téléphones de luxe, le Meridiist. De plus, l’année dernière, TAG Heuer équipait les marins d’Oracle Team USA, lors de la Coupe de l’America, avec l’Aquaracer 72. Pour l’occasion, tous portaient un chronographe digital, première montre nautique spécialement conçue pour et par un équipe de navigateurs professionnels.
Pour la première fois, un même instrument porté par chacun des membres de l’équipage au cours d’une régate affichait des informations constamment mises à jour sur le comportement du bateau et de ses voiles, notamment la vitesse de croisière et la force, l’orientation et l’angle du vent vrai. Le flux de données en temps réel –le mouvement du chronographe digital a été entièrement programmé par les ingénieurs Oracle Team USA– a permis au skipper Jimmy Spithill et à son équipage de réagir aussi rapidement que possible et de synchroniser au mieux leurs mouvements, optimisant le processus de prise de décision comme jamais.