Souvent coiffé d'un chapeau haut-de-forme et le visage toujours recouvert d'un masque -ou de sa main- pour préserver son anonymat (ou pour cacher une tête à claques ?), Alec Monopoly s’est rendu célèbre en dessinant le fameux petit banquier bedonnant –symbole de l’ultra-capitalisme- du non moins célèbre jeu de société. Depuis, il a dessiné ce personnage dans toutes les situations possibles...
Ses « œuvres » riches et colorées (principalement pour nouveaux riches d’ailleurs) utilisent la figure de ce banquier que tout le monde connaît mais Alec Monopoly s'est aussi tourné vers d'autres icônes de la culture populaire pour les mettre en scène. Picsou, Richie Rich...
Aujourd'hui, la signature d'Alec se vend cher ; son compte Instagram recense près d’un million de followers. Un compte IG qui résume à lui seul toutes les dérives de ces enfants ultra-gâtés, voire même totalement pourris, qui se prennent en photo avec leur jet privé, leurs Ferrari, leurs sac Hermès ou Louis Vuitton en série limitée entourés de filles en bikini qui montrent leurs fesses (jolies d’ailleurs) toutes bronzées. Bref, le comble de la vulgarité, du mauvais goût à outrance et le symbole d’une société qui part en vrille…
Ses « œuvres » riches et colorées (principalement pour nouveaux riches d’ailleurs) utilisent la figure de ce banquier que tout le monde connaît mais Alec Monopoly s'est aussi tourné vers d'autres icônes de la culture populaire pour les mettre en scène. Picsou, Richie Rich...
Aujourd'hui, la signature d'Alec se vend cher ; son compte Instagram recense près d’un million de followers. Un compte IG qui résume à lui seul toutes les dérives de ces enfants ultra-gâtés, voire même totalement pourris, qui se prennent en photo avec leur jet privé, leurs Ferrari, leurs sac Hermès ou Louis Vuitton en série limitée entourés de filles en bikini qui montrent leurs fesses (jolies d’ailleurs) toutes bronzées. Bref, le comble de la vulgarité, du mauvais goût à outrance et le symbole d’une société qui part en vrille…
C’est donc cet "artiste" qui signe une fois encore une collection pour TAG Heuer. Pour cette année, une montre Formula 1 ou une Carrera qui reprennent comme à l’accoutumée sur leurs cadrans, le fameux petit personnage masqué par un foulard et coiffé d’un chapeau haut-de-forme.
La première dispose d’un boitier de 41 mm et d’un bracelet caoutchouc noir perforé. Sa lunette unidirectionnelle est traitée en PVD noir avec échelle des 60 secondes. La TAG Heuer Carrera Heuer 01 pousse encore plus loin le détail, grâce à la présence du logo ALEC imprimé sur le fond de boite en verre saphir, au travers duquel il est possible d’admirer le Calibre Manufacture Heuer 01.
Ce chronographe dispose d’un boitier en acier brossé de 43mm allié à un bracelet en maillon acier en forme de « H ». La lunette fixe est, quant à elle, en céramique noire et dispose d’une échelle tachymétrique.
Pour rappel, la première collaboration entre TAG Heuer et le « street-artist » date de 2016, à l’occasion d’Art Basel à Miami. A cette occasion Alec Monopoly a réalisé une fresque géante éphémère sur le mur de la boutique TAG Heuer située en plein cœurdu Miami Design District. Un an plus tard les premières pièces nées de la collaboration entre l’horloger suisse et Alec Monopoly voyaient le jour… Et se vendaient comme des petits pains…
La première dispose d’un boitier de 41 mm et d’un bracelet caoutchouc noir perforé. Sa lunette unidirectionnelle est traitée en PVD noir avec échelle des 60 secondes. La TAG Heuer Carrera Heuer 01 pousse encore plus loin le détail, grâce à la présence du logo ALEC imprimé sur le fond de boite en verre saphir, au travers duquel il est possible d’admirer le Calibre Manufacture Heuer 01.
Ce chronographe dispose d’un boitier en acier brossé de 43mm allié à un bracelet en maillon acier en forme de « H ». La lunette fixe est, quant à elle, en céramique noire et dispose d’une échelle tachymétrique.
Pour rappel, la première collaboration entre TAG Heuer et le « street-artist » date de 2016, à l’occasion d’Art Basel à Miami. A cette occasion Alec Monopoly a réalisé une fresque géante éphémère sur le mur de la boutique TAG Heuer située en plein cœurdu Miami Design District. Un an plus tard les premières pièces nées de la collaboration entre l’horloger suisse et Alec Monopoly voyaient le jour… Et se vendaient comme des petits pains…