« Lors de sa visite, Leonardo s’était particulièrement intéressé à tout ce qui pourrait être entrepris pour réduire notre consommation d’énergie. Sa visite à La Chaux-de-Fonds s’était transformée en un véritable audit environnemental ! Grâce à l’intérêt incroyable qu’il porte à notre savoir-faire séculaire et nos ateliers high-tech et à son contact aussi chaleureux que respectueux à l’égard de nos équipes, ce rendez-vous a été un des moments les plus marquants en cette année de célébration du 150e anniversaire de TAG Heuer » souligne Jean-Christophe Babin dans le communiqué de la marque.
Les nombreux aspects de la politique de développement durable de la société abordés à cette occasion ont abouti à des propositions… lumineuses. Plus concrètement, l’accord sur les toits solaires est intervenu fin septembre : il porte sur l’installation de près de 500 panneaux sur les toits des quatre bâtiments principaux de TAG Heuer et son usine de production de La Chaux-de-Fonds, en Suisse. Cette installation est deux fois plus importante que celle du stade de la Maladière. La production annuelle s’élèvera à plus de 100 000 kWh. L’installation débutera en décembre et le nouveau système photovoltaïque sera mis en service cet hiver.
« La production annuelle attendue permettrait de parcourir 400 000 kilomètres avec un roadster électrique Tesla. Nous venons tout juste de clôturer les célébrations du 150e anniversaire par le premier tour du monde en voiture 100% électrique, le roadster Tesla TAG Heuer, au cours d’un voyage épique qui nous a vus parcourir 37 000 km. L’équation est simple : notre production électrique nous permettrait de réaliser l’équivalent d’une dizaine de tours du monde en voiture électrique ! » déclare encore Jean-Christophe Babin.
Le projet, qui s’élève à 750 000 francs suisses (environ 570.000 euros). Afin de limiter l’empreinte carbone de l’acheminement des équipements, les panneaux électriques seront fournis par une société européenne. L’accord contribue à la concrétisation des engagements pris par TAG Heuer dans les traités environnementaux locaux, qui prévoient une réduction de 17% des émissions de gaz à effet de serre de la société sur les dix prochaines années, et participe ainsi activement à la mise en œuvre par la Suisse des objectifs établis par le protocole de Kyoto.
Cette annonce intervient après le lancement de la première montre mécanique conçue en collaboration avec Leonardo DiCaprio, l’Aquaracer 500M. Le modèle a été redessiné par l’acteur pour lever des fonds au bénéfice du Natural Resources Defense Council (NRDC) et de Green Cross International, deux des plus grandes organisations mondiales de défense de l’environnement.
Depuis que l’acteur a rejoint la flotte impressionnante d’ambassadeurs TAG Heuer en 2009, la société a pris un virage écologique à 180°. « TAG Heuer est consciente d’être investie d’une mission aussi bien au niveau de l’entreprise qu’à l'échelle mondiale. C’est une mission qui nous surpasse tous. TAG Heuer est une marque qui se donne les moyens de donner vie à ses convictions. Je suis fier d’être parmi vous aujourd’hui pour rendre hommage à une société qui agit pour aider à mes côtés des organisations environnementales à but non lucratif. » a souligné Leonardo DiCaprio dans un discours à Bâle cette année.
Les nombreux aspects de la politique de développement durable de la société abordés à cette occasion ont abouti à des propositions… lumineuses. Plus concrètement, l’accord sur les toits solaires est intervenu fin septembre : il porte sur l’installation de près de 500 panneaux sur les toits des quatre bâtiments principaux de TAG Heuer et son usine de production de La Chaux-de-Fonds, en Suisse. Cette installation est deux fois plus importante que celle du stade de la Maladière. La production annuelle s’élèvera à plus de 100 000 kWh. L’installation débutera en décembre et le nouveau système photovoltaïque sera mis en service cet hiver.
« La production annuelle attendue permettrait de parcourir 400 000 kilomètres avec un roadster électrique Tesla. Nous venons tout juste de clôturer les célébrations du 150e anniversaire par le premier tour du monde en voiture 100% électrique, le roadster Tesla TAG Heuer, au cours d’un voyage épique qui nous a vus parcourir 37 000 km. L’équation est simple : notre production électrique nous permettrait de réaliser l’équivalent d’une dizaine de tours du monde en voiture électrique ! » déclare encore Jean-Christophe Babin.
Le projet, qui s’élève à 750 000 francs suisses (environ 570.000 euros). Afin de limiter l’empreinte carbone de l’acheminement des équipements, les panneaux électriques seront fournis par une société européenne. L’accord contribue à la concrétisation des engagements pris par TAG Heuer dans les traités environnementaux locaux, qui prévoient une réduction de 17% des émissions de gaz à effet de serre de la société sur les dix prochaines années, et participe ainsi activement à la mise en œuvre par la Suisse des objectifs établis par le protocole de Kyoto.
Cette annonce intervient après le lancement de la première montre mécanique conçue en collaboration avec Leonardo DiCaprio, l’Aquaracer 500M. Le modèle a été redessiné par l’acteur pour lever des fonds au bénéfice du Natural Resources Defense Council (NRDC) et de Green Cross International, deux des plus grandes organisations mondiales de défense de l’environnement.
Depuis que l’acteur a rejoint la flotte impressionnante d’ambassadeurs TAG Heuer en 2009, la société a pris un virage écologique à 180°. « TAG Heuer est consciente d’être investie d’une mission aussi bien au niveau de l’entreprise qu’à l'échelle mondiale. C’est une mission qui nous surpasse tous. TAG Heuer est une marque qui se donne les moyens de donner vie à ses convictions. Je suis fier d’être parmi vous aujourd’hui pour rendre hommage à une société qui agit pour aider à mes côtés des organisations environnementales à but non lucratif. » a souligné Leonardo DiCaprio dans un discours à Bâle cette année.