Mohamed Ali (ex Cassius Clay, son « nom d’esclave » qu’il a abandonné en devenant musulman) est une immense figure de l’histoire du sport, mais pas seulement. C’est aussi un homme qui a marqué l’histoire des droits civiques. Plus de 50 ans après avoir été médaillé d’or aux Jeux Olympiques de Rome en 1960, Mohamed Ali reste l’un des grands hommes du XXème siècle.
Son sens de l’éthique, ses techniques révolutionnaires et son courage ont contribué à bâtir sa légende ; une légende qui fut tout de même entachée de soupçons de fraude (cf « le coup de poing fantôme). Par ailleurs, après sa conversion à l’islam, il s'affiche aux côté de Malcom X et d’Elijah Muhammad, leaders de la Nation de l'Islam, un groupuscule sectaire afro-américain qui prêche la haine des Blancs et la séparation des races. Dès lors, le boxeur va diviser l’Amérique, avec les pro et les anti Ali.
Il lui faudra des années pour reconquérir le cœur de l’Amérique. Cela passera, entre autre, par son fantastique combat contre George Foreman au Zaire. Un combat gagné en huit rounds dans la chaleur insoutenable de Kinshasa, le 30 octobre 1974.
Parmi ses nombreuses récompenses et titres, il a été désigné comme « Le sportif du siècle » par le magazine américain Sports Illustrated et comme « L’athète du siècle » par GQ. L’ONU le nommera également « Messager de la Paix ». Il a aussi reçu la Médaille Présidentielle américaine de la Liberté ainsi qu’un prix pour l’ensemble de sa vie par Amnesty International.
En 1984, après une semaine d'examens dans un hôpital new-yorkais, Ali apprend qu'il souffre de la maladie de Parkinson. « C'est un jugement de Dieu. Il m'a donné cette maladie pour me rappeler que je ne suis pas le numéro 1. C'est lui ». La pratique de la boxe n’a surement rien arrangé dans le développement de cette pathologie.
Son sens de l’éthique, ses techniques révolutionnaires et son courage ont contribué à bâtir sa légende ; une légende qui fut tout de même entachée de soupçons de fraude (cf « le coup de poing fantôme). Par ailleurs, après sa conversion à l’islam, il s'affiche aux côté de Malcom X et d’Elijah Muhammad, leaders de la Nation de l'Islam, un groupuscule sectaire afro-américain qui prêche la haine des Blancs et la séparation des races. Dès lors, le boxeur va diviser l’Amérique, avec les pro et les anti Ali.
Il lui faudra des années pour reconquérir le cœur de l’Amérique. Cela passera, entre autre, par son fantastique combat contre George Foreman au Zaire. Un combat gagné en huit rounds dans la chaleur insoutenable de Kinshasa, le 30 octobre 1974.
Parmi ses nombreuses récompenses et titres, il a été désigné comme « Le sportif du siècle » par le magazine américain Sports Illustrated et comme « L’athète du siècle » par GQ. L’ONU le nommera également « Messager de la Paix ». Il a aussi reçu la Médaille Présidentielle américaine de la Liberté ainsi qu’un prix pour l’ensemble de sa vie par Amnesty International.
En 1984, après une semaine d'examens dans un hôpital new-yorkais, Ali apprend qu'il souffre de la maladie de Parkinson. « C'est un jugement de Dieu. Il m'a donné cette maladie pour me rappeler que je ne suis pas le numéro 1. C'est lui ». La pratique de la boxe n’a surement rien arrangé dans le développement de cette pathologie.
Pour célébrer le « GOAT » - le « Greatest Of All Time » - une soirée caritative a été organisée dans le fameux club de boxe Gleason’s Gym à Dumbo, Brooklyn où Mohamed Ali s’est entraîné. Les bénéfices de la soirée ont été reversés au Muhammad Ali Center. Son épouse Lonnie Ali et de nombreuses personnalités du monde de la boxe et proches, dont les deux grandes légendes de la boxe qui ont combattu Ali, George Chuvalo et Earnie Shavers, étaient présents pour l’occasion.
L’évènement s’est déroulé dans le mythique club de boxe du Gleason’s Gym sous le pont de Brooklyn, celui qui a vu s’entraîner Mohamed Ali et plus de 130 autres Champions du Monde de Boxe, dont plusieurs douzaines de Gants d’Or. Depuis plus de 65 ans (et aujourd’hui à quelques semaines de son déménagement), la salle se trouve au premier étage d'un bâtiment ordinaire, dans ce quartier populaire du sud-est de New York. Mais dès la porte franchie, on y plonge dans l'univers de la boxe.
Les murs y sont couverts d'affiches d'anciens champions de boxe, la salle abrite quatre rings, des sacs d'entraînement, des tapis de course. On y voit partout des images de Mohamed Ali. Et le propriétaire des lieux, Bruce Silverglade, âgé de plus de 75 ans, a raconté avec fierté le lien qui unit Gleason's Gym au champion. « C'est là qu'il est venu s'entraîner pour le combat qui a stupéfait le monde », en évoquant le combat en 1964 entre Ali et le champion du monde en titre dans la catégorie poids lourds Sonny Liston. C'est lors de ce combat que Mohamed Ali commence à forger sa légende, l'emportant à la surprise générale contre le tenant du titre, en six rounds (les bookmakers le donnaient à 7 contre 1).
Lors de cette grande soirée caritative, toutes ces anciennes légendes de la boxe ont partagé leurs souvenirs, mais surtout, ils ont fait monter les enchères d’une montre commémorative, pièce unique, présentée par TAG Heuer, au profit du Muhammad Ali Center (Louisville, Kentucky). Cette montre en or inspirée de la fameuse montre Ring-Master créée en 1957 et aujourd’hui dans le musée TAG Heuer, était équipée de 7 anneaux, chacun avec des graduations, dont celle pour la boxe. Deux graduations étaient possibles : l’une pour les combats professionnels avec les 15 rounds de 3 minutes avec 1 minute de repos, et l’autre pour les combats amateurs avec les 15 rounds de 2 minutes chacun avec 1 minute de repos.
La montre unique « Tribute to Muhammad Ali » est présentée dans un coffret exceptionnel contenant également l’écrin spécial de la montre, une paire de gants rouges signés de Mohamed Ali, une médaille commémorative, les certificats d’authenticité, l’ensemble dans une valise faite sur-mesure pour l’occasion en Suisse, en cuir finitions cloutées. Une série spéciale « Tribute to Muhammad Ali » en acier sera disponible très prochainement dans une sélection de points de vente TAG Heuer partout dans le monde.
L’évènement s’est déroulé dans le mythique club de boxe du Gleason’s Gym sous le pont de Brooklyn, celui qui a vu s’entraîner Mohamed Ali et plus de 130 autres Champions du Monde de Boxe, dont plusieurs douzaines de Gants d’Or. Depuis plus de 65 ans (et aujourd’hui à quelques semaines de son déménagement), la salle se trouve au premier étage d'un bâtiment ordinaire, dans ce quartier populaire du sud-est de New York. Mais dès la porte franchie, on y plonge dans l'univers de la boxe.
Les murs y sont couverts d'affiches d'anciens champions de boxe, la salle abrite quatre rings, des sacs d'entraînement, des tapis de course. On y voit partout des images de Mohamed Ali. Et le propriétaire des lieux, Bruce Silverglade, âgé de plus de 75 ans, a raconté avec fierté le lien qui unit Gleason's Gym au champion. « C'est là qu'il est venu s'entraîner pour le combat qui a stupéfait le monde », en évoquant le combat en 1964 entre Ali et le champion du monde en titre dans la catégorie poids lourds Sonny Liston. C'est lors de ce combat que Mohamed Ali commence à forger sa légende, l'emportant à la surprise générale contre le tenant du titre, en six rounds (les bookmakers le donnaient à 7 contre 1).
Lors de cette grande soirée caritative, toutes ces anciennes légendes de la boxe ont partagé leurs souvenirs, mais surtout, ils ont fait monter les enchères d’une montre commémorative, pièce unique, présentée par TAG Heuer, au profit du Muhammad Ali Center (Louisville, Kentucky). Cette montre en or inspirée de la fameuse montre Ring-Master créée en 1957 et aujourd’hui dans le musée TAG Heuer, était équipée de 7 anneaux, chacun avec des graduations, dont celle pour la boxe. Deux graduations étaient possibles : l’une pour les combats professionnels avec les 15 rounds de 3 minutes avec 1 minute de repos, et l’autre pour les combats amateurs avec les 15 rounds de 2 minutes chacun avec 1 minute de repos.
La montre unique « Tribute to Muhammad Ali » est présentée dans un coffret exceptionnel contenant également l’écrin spécial de la montre, une paire de gants rouges signés de Mohamed Ali, une médaille commémorative, les certificats d’authenticité, l’ensemble dans une valise faite sur-mesure pour l’occasion en Suisse, en cuir finitions cloutées. Une série spéciale « Tribute to Muhammad Ali » en acier sera disponible très prochainement dans une sélection de points de vente TAG Heuer partout dans le monde.