L’exploration martienne titille toutes les agences spatiales… Des Américains en passant par les Européens et les Chinois, la planète rouge s’impose désormais comme notre « nouvelle frontière » !
« L'exploration de Mars est l'une des missions les plus importantes de la conquête de l'espace par l'homme, au fur et à mesure que nous étendons notre présence dans le système solaire » indiquait d’ailleurs lors de cette présentation, Jean-Claude Biver, PDG de TAG Heuer.
Et de préciser : « la formation et l'évolution de Mars sont comparables à celles de la Terre, ce qui nous aidera à en savoir plus sur l'histoire de notre planète ainsi que sur son futur. C'est un honneur et un privilège d'accompagner ce rêve, le prochain pas de géant pour l'humanité ». C’est dans cet esprit que la future mission chinoise de 2020 d’exploration de la planète rouge par la Chine mesurera le temps grâce à TAG Heuer !
Précisons d’ailleurs qu’une journée sur Mars dure 24h40 et qu’une année y dure 687 jours… Donc difficile d’utiliser sur la planète rouge une montre indiquant le temps terrien… A ce sujet, ce serait intéressant que TH développe une montre adaptée au temps martien, voire même, indiquant le temps terrien et le temps martien en même temps. Voyons ce que nous réserve M. Biver de ce côté…
Rappelons que le 20 février 1962, TAG Heuer fut le premier horloger suisse à aller dans l'espace avec un astronaute américain. « L'aiguille tourne ! » C'est avec ces mots que John Glenn a déclenché son chronomètre, devenant par la même occasion le premier Américain à réaliser un vol orbital habité à bord de la capsule Mercury/Friendship 7.
Ce chronomètre, fabriqué par TAG Heuer en Suisse, fut modifié en y ajoutant des bracelets élastiques pour que Glenn puisse le porter par-dessus la manche de sa combinaison spatiale. Suite aux échecs d'autres marques de montre lors des précédentes missions spatiales d'Alan Sheperd et de Virgil « Gus » Grissom, la TAG Heuer fut choisie par la NASA en raison de sa capacité à supporter les intenses forces gravitationnelles du décollage. Le chronomètre original se trouve aujourd'hui au Musée national de l'air et de l'espace de la Smithsonian Institution. Une copie se trouve au musée TAG Heuer de La Chaux-de-Fonds.
« L'exploration de Mars est l'une des missions les plus importantes de la conquête de l'espace par l'homme, au fur et à mesure que nous étendons notre présence dans le système solaire » indiquait d’ailleurs lors de cette présentation, Jean-Claude Biver, PDG de TAG Heuer.
Et de préciser : « la formation et l'évolution de Mars sont comparables à celles de la Terre, ce qui nous aidera à en savoir plus sur l'histoire de notre planète ainsi que sur son futur. C'est un honneur et un privilège d'accompagner ce rêve, le prochain pas de géant pour l'humanité ». C’est dans cet esprit que la future mission chinoise de 2020 d’exploration de la planète rouge par la Chine mesurera le temps grâce à TAG Heuer !
Précisons d’ailleurs qu’une journée sur Mars dure 24h40 et qu’une année y dure 687 jours… Donc difficile d’utiliser sur la planète rouge une montre indiquant le temps terrien… A ce sujet, ce serait intéressant que TH développe une montre adaptée au temps martien, voire même, indiquant le temps terrien et le temps martien en même temps. Voyons ce que nous réserve M. Biver de ce côté…
Rappelons que le 20 février 1962, TAG Heuer fut le premier horloger suisse à aller dans l'espace avec un astronaute américain. « L'aiguille tourne ! » C'est avec ces mots que John Glenn a déclenché son chronomètre, devenant par la même occasion le premier Américain à réaliser un vol orbital habité à bord de la capsule Mercury/Friendship 7.
Ce chronomètre, fabriqué par TAG Heuer en Suisse, fut modifié en y ajoutant des bracelets élastiques pour que Glenn puisse le porter par-dessus la manche de sa combinaison spatiale. Suite aux échecs d'autres marques de montre lors des précédentes missions spatiales d'Alan Sheperd et de Virgil « Gus » Grissom, la TAG Heuer fut choisie par la NASA en raison de sa capacité à supporter les intenses forces gravitationnelles du décollage. Le chronomètre original se trouve aujourd'hui au Musée national de l'air et de l'espace de la Smithsonian Institution. Une copie se trouve au musée TAG Heuer de La Chaux-de-Fonds.
Soulignons que TAG Heuer fut peut-être le premier mais pas le seul… Ainsi, la même année, l'astronaute Walter « Wally » Schirra fait entrer Omega dans l'Histoire en portant sa propre Speedmaster lors de la mission « Sigma 7 » du programme Mercury. De son côté, toujours en 1962, Scott Carpenter faisait entrer Breitling dans l’Histoire en portant une Navitimer au poignet.
En mai 2012, TAG Heuer a envoyé en mission orbitale son nouveau modèle de chronographe, le TAG Heuer Carrera Calibre 1887 SpaceX. La montre a été embarquée à bord de la station spatiale internationale par Spacex, pour faire la preuve de sa fiabilité et de sa précision, y compris dans des circonstances d'utilisation les plus extrêmes de tous les temps.
Le 12 juillet 2016, TAG Heuer a annoncé un partenariat exclusif avec le programme aérospatial Zero-G de S3 (Swiss Space Systems). La TAG Heuer, qui sert de carte d'embarquement pour accéder au vol, donnera au public l'occasion de faire l'expérience de l'apesanteur (un projet à l’origine qui devait être mené avec Breitling).
De son côté, la Chine n’est pas en reste en matière de conquête spatiale… En 1964, les meilleurs scientifiques chinois rédigèrent un rapport relatif à un projet de satellite. En 1970, le premier satellite terrestre construit par l'homme était lancé par la Chine. En 2003, la Chine réalisait le premier vol spatial habité. En 2007, le premier satellite orbital de la Lune était lancé, toujours par la Chine, et en 2013, la première sonde lunaire chinoise se posait avec succès. Celle-ci fonctionne dans l'espace depuis 19 mois maintenant, ce qui constitue un record mondial du temps de travail le plus long sur la Lune... L'ambition de la Chine d'explorer l'espace n'a jamais connu de répit. Et s’intensifie dans le cadre de sa course aux technologies avec les Américains.
Le 22 avril 2016, Xu Dazhe, le directeur de l'Agence spatiale chinoise (CNSA) a confirmé lors d'une conférence de presse du Conseil d'Etat qu'une mission vers Mars avait officiellement été constituée et qu'une sonde non habitée serait envoyée en orbite autour de Mars avant d'atterrir sur la Planète Rouge en 2020 afin d'étudier le sol, l'environnement ainsi que l'atmosphère de la planète pour la toute première fois.
Comme l’indique Liu Jizhong, représentant le Centre d'Exploration Lunaire et d'Ingénierie de l'Industrie Aérospatiale : « la mesure du temps est d'une importance cruciale dans l'industrie aérospatiale. (…) Selon notre plan, la Chine devrait se poser sur Mars autour de 2020. Même si le chemin à parcourir est semé d'embûches, les astronautes chinois entreront dans l'histoire en faisant la preuve de leur intrépidité. Nous avons hâte que ce moment enthousiasmant arrive ».
La première mission d'exploration de Mars consistera à entrer en orbite avec la planète, puis à se poser et à déployer une astromobile martienne. Atteindre trois objectifs en une seule mission est un grand défi.
En mai 2012, TAG Heuer a envoyé en mission orbitale son nouveau modèle de chronographe, le TAG Heuer Carrera Calibre 1887 SpaceX. La montre a été embarquée à bord de la station spatiale internationale par Spacex, pour faire la preuve de sa fiabilité et de sa précision, y compris dans des circonstances d'utilisation les plus extrêmes de tous les temps.
Le 12 juillet 2016, TAG Heuer a annoncé un partenariat exclusif avec le programme aérospatial Zero-G de S3 (Swiss Space Systems). La TAG Heuer, qui sert de carte d'embarquement pour accéder au vol, donnera au public l'occasion de faire l'expérience de l'apesanteur (un projet à l’origine qui devait être mené avec Breitling).
De son côté, la Chine n’est pas en reste en matière de conquête spatiale… En 1964, les meilleurs scientifiques chinois rédigèrent un rapport relatif à un projet de satellite. En 1970, le premier satellite terrestre construit par l'homme était lancé par la Chine. En 2003, la Chine réalisait le premier vol spatial habité. En 2007, le premier satellite orbital de la Lune était lancé, toujours par la Chine, et en 2013, la première sonde lunaire chinoise se posait avec succès. Celle-ci fonctionne dans l'espace depuis 19 mois maintenant, ce qui constitue un record mondial du temps de travail le plus long sur la Lune... L'ambition de la Chine d'explorer l'espace n'a jamais connu de répit. Et s’intensifie dans le cadre de sa course aux technologies avec les Américains.
Le 22 avril 2016, Xu Dazhe, le directeur de l'Agence spatiale chinoise (CNSA) a confirmé lors d'une conférence de presse du Conseil d'Etat qu'une mission vers Mars avait officiellement été constituée et qu'une sonde non habitée serait envoyée en orbite autour de Mars avant d'atterrir sur la Planète Rouge en 2020 afin d'étudier le sol, l'environnement ainsi que l'atmosphère de la planète pour la toute première fois.
Comme l’indique Liu Jizhong, représentant le Centre d'Exploration Lunaire et d'Ingénierie de l'Industrie Aérospatiale : « la mesure du temps est d'une importance cruciale dans l'industrie aérospatiale. (…) Selon notre plan, la Chine devrait se poser sur Mars autour de 2020. Même si le chemin à parcourir est semé d'embûches, les astronautes chinois entreront dans l'histoire en faisant la preuve de leur intrépidité. Nous avons hâte que ce moment enthousiasmant arrive ».
La première mission d'exploration de Mars consistera à entrer en orbite avec la planète, puis à se poser et à déployer une astromobile martienne. Atteindre trois objectifs en une seule mission est un grand défi.