On ne présente plus l’Aquaracer de TAG Heuer. L’un des grands classiques de son catalogue et l’une des stars de la marque avec la Monaco et la Carrera. Elle revient donc cette année, dans une nouvelle version qui a su conserver les principales caractéristiques de ce modèle (notamment sa lunette à douze pans) mais en plus « racées ». A ce titre, sa dénomination évolue, passant de l’Aquaracer à l’Aquaracer Professional 300.
Pour mémoire, tout a commencé en 1978 avec la Heuer Ref. 844, une montre de plongée qui présentait alors des faux airs de Rolex Submariner. Pour autant, son cadran arborait une échelle graduée sur 24 heures rouge, des index des heures revêtus de Superluminova et une lunette de plongée rotative et ronde (pas encore à douze pans) avec une échelle des minutes.
Au cours des quatre décennies qui ont suivi, TAG Heuer fera évoluer cette plongeuse avec notamment la Night Diver ou encore, les séries 1000 et 2000. La Ref. 844 est, quant à elle, devenue au fil du temps, une des favorites des collectionneurs. Un collector vintage.
Pour mémoire, tout a commencé en 1978 avec la Heuer Ref. 844, une montre de plongée qui présentait alors des faux airs de Rolex Submariner. Pour autant, son cadran arborait une échelle graduée sur 24 heures rouge, des index des heures revêtus de Superluminova et une lunette de plongée rotative et ronde (pas encore à douze pans) avec une échelle des minutes.
Au cours des quatre décennies qui ont suivi, TAG Heuer fera évoluer cette plongeuse avec notamment la Night Diver ou encore, les séries 1000 et 2000. La Ref. 844 est, quant à elle, devenue au fil du temps, une des favorites des collectionneurs. Un collector vintage.
Depuis 1983, cette collection présentait une étanchéité d’au moins 200 mètres et était dotée d’une lunette tournante unidirectionnelle, d’une couronne vissée, d’index revêtus de Superluminova, d’une glace saphir et d’une boucle à double poussoir de sécurité.
Pour commencer, les équipes de TAG Heuer ont retravaillé l’élément de design le plus marquant et le plus reconnaissable de l’Aquaracer : sa lunette tournante unidirectionnelle à douze pans. Ils ont bien évidemment conservé sa forme en la faisant évoluer, en intégrant un insert en céramique résistant aux rayures et en cannelant ses douze facettes afin de la rendre plus maniable.
Puis, ils ont repensé le profil dentelé interne de la lunette pour que le mécanisme de rotation soit plus fluide, plus silencieux et plus facile à régler. Il faut savoir que l’une des premières choses que les amateurs de montres de plongée vérifient, c’est le cliquetis de la lunette ! Un point fondamental pour une plongeuse. Et généralement, un gage de qualité.
Pour commencer, les équipes de TAG Heuer ont retravaillé l’élément de design le plus marquant et le plus reconnaissable de l’Aquaracer : sa lunette tournante unidirectionnelle à douze pans. Ils ont bien évidemment conservé sa forme en la faisant évoluer, en intégrant un insert en céramique résistant aux rayures et en cannelant ses douze facettes afin de la rendre plus maniable.
Puis, ils ont repensé le profil dentelé interne de la lunette pour que le mécanisme de rotation soit plus fluide, plus silencieux et plus facile à régler. Il faut savoir que l’une des premières choses que les amateurs de montres de plongée vérifient, c’est le cliquetis de la lunette ! Un point fondamental pour une plongeuse. Et généralement, un gage de qualité.
La glace saphir (antireflets) a elle aussi subi quelques modifications. Ainsi, une loupe a été intégrée au-dessus de la date à 6h sur la partie interne du verre pour garantir un toucher uniforme. Cela vise à offrir une meilleure lisibilité de la date quel que soit l’angle de vue.
Sur le cadran, les huit index des heures sont désormais octogonaux (en écho à la lunette à douze pans) et la couronne comprend douze facettes. Par ailleurs, d’autres transformations esthétiques améliorent la lisibilité. C’est le cas notamment de l’aiguille des heures : plus large, elle prend une forme plus marquée de glaive qui rappelle le dernier modèle TAG Heuer Série 2000 lancé en 2004.
Quant à l’aiguille des minutes, elle est plus étroite et donc clairement identifiable au premier coup d’oeil, même en conditions de faible luminosité. A noter que pour encore plus de clarté, les designers ont choisi un Superluminova bleu pour l’aiguille des minutes et vert pour l’aiguille et les index des heures. Un principe que l'on retrouve notamment chez Omega. depuis quelques années déjà.
Sur le cadran, les huit index des heures sont désormais octogonaux (en écho à la lunette à douze pans) et la couronne comprend douze facettes. Par ailleurs, d’autres transformations esthétiques améliorent la lisibilité. C’est le cas notamment de l’aiguille des heures : plus large, elle prend une forme plus marquée de glaive qui rappelle le dernier modèle TAG Heuer Série 2000 lancé en 2004.
Quant à l’aiguille des minutes, elle est plus étroite et donc clairement identifiable au premier coup d’oeil, même en conditions de faible luminosité. A noter que pour encore plus de clarté, les designers ont choisi un Superluminova bleu pour l’aiguille des minutes et vert pour l’aiguille et les index des heures. Un principe que l'on retrouve notamment chez Omega. depuis quelques années déjà.
Cette Aquaracer nouvelle génération a été affinée : son boîtier a été aminci ainsi que la lunette et le bracelet métallique. Les cornes ont été raccourcies et les bords du boîtier chanfreinés puis polis pour un aspect plus raffiné. Le protège-couronne a également été retouché. Plus doux et plus arrondi, il offre à la couronne un « écrin » évocateur de la Ref. 844. Quant à l’étanchéité, elle a été portée à 300 mètres (30 bars).
Les designers ont repris le célèbre casque de scaphandre apparu pour la première fois sur le fond du boîtier de l’Aquaracer en 2004. On remarque qu’ils ont rendu le casque de scaphandre plus anguleux et ajouté une visière à… douze facettes ! Derrière lui, on retrouve un décor hexagonal. « Last but not least », le fond du boîtier sera désormais monté de sorte que le scaphandre soit toujours droit. Le luxe se cache dans les détails.
A sa sortie, cette collection présentera sept références dans deux tailles de diamètre. Six sont en acier avec, au choix, un cadran noir, bleu ou argenté (pas forcément la plus intéressante). La septième, en titane mat de grade 2, arbore un cadran vert dans un boîtier de 43 mm uniquement (très belle version).
Les designers ont repris le célèbre casque de scaphandre apparu pour la première fois sur le fond du boîtier de l’Aquaracer en 2004. On remarque qu’ils ont rendu le casque de scaphandre plus anguleux et ajouté une visière à… douze facettes ! Derrière lui, on retrouve un décor hexagonal. « Last but not least », le fond du boîtier sera désormais monté de sorte que le scaphandre soit toujours droit. Le luxe se cache dans les détails.
A sa sortie, cette collection présentera sept références dans deux tailles de diamètre. Six sont en acier avec, au choix, un cadran noir, bleu ou argenté (pas forcément la plus intéressante). La septième, en titane mat de grade 2, arbore un cadran vert dans un boîtier de 43 mm uniquement (très belle version).
Les modèles en acier sont pourvus d’un insert de lunette en céramique noire ou bleue avec triangle blanc à 12h en Superluminova bleu. Sur le modèle en titane (4.000 euros), l’insert en céramique verte comprend un triangle jaune à 12h et chaque indication sur l’échelle des minutes est recouverte de Superluminova bleu pour optimiser sa lisibilité en conditions de faible éclairage.
Chaque référence possède un bracelet métallique intégré redessiné, équipé d’un système d’ajustement pouvant allonger ou réduire la longueur du bracelet de 1,5 cm. Cela permet au porteur d’ajuster la taille de son bracelet sans avoir à retirer sa montre pour qu’elle puisse être portée au-dessus d’une combinaison de plongée. Ou pour l’agrandir lorsque le poignet gonfle en cas de grosses chaleurs.
Chaque référence possède un bracelet métallique intégré redessiné, équipé d’un système d’ajustement pouvant allonger ou réduire la longueur du bracelet de 1,5 cm. Cela permet au porteur d’ajuster la taille de son bracelet sans avoir à retirer sa montre pour qu’elle puisse être portée au-dessus d’une combinaison de plongée. Ou pour l’agrandir lorsque le poignet gonfle en cas de grosses chaleurs.
Pour compléter cette collection tout en rendant hommage à la Ref. 844, TAG Heuer propose l’Aquaracer Professional 300 Tribute to Ref. 844, une version en édition limitée de 844 exemplaires qui est un clin d’œil à la montre de 1978. Elle associe un boîtier en titane de grade 5 à des éléments visuels du modèle historique. Le cadran noir lisse reprend ainsi l’échelle 24h d’origine.
Cette montre présente en outre des éléments phosphorescents vintage (de couleur crème) et un bracelet en caoutchouc noir perforé inspiré du design d’origine pour permettre à l’eau de s’écouler facilement au niveau du poignet. Avec perforations octogonales.
Les huit références de la nouvelle collection Aquaracer Professional 300 sont animées par le Calibre 5 de TAG Heuer : un mouvement mécanique à remontage automatique.
Cette montre présente en outre des éléments phosphorescents vintage (de couleur crème) et un bracelet en caoutchouc noir perforé inspiré du design d’origine pour permettre à l’eau de s’écouler facilement au niveau du poignet. Avec perforations octogonales.
Les huit références de la nouvelle collection Aquaracer Professional 300 sont animées par le Calibre 5 de TAG Heuer : un mouvement mécanique à remontage automatique.