Le 9 novembre dernier, Jean-Claude Biver lançait en grandes pompes la TAG Heuer Connected à New York, lors d’une cérémonie au cours de laquelle le patron de la marque horlogère suisse était accompagné de Brian Krzanich, PDG d’Intel et de David Singleton, vice-président d’Android chez Google. Pour l’occasion, même Bernard Arnault, patron du groupe LVMH avait fait le déplacement, c’est dire l’enjeu que représente cette montre connectée…
Récemment, dans un entretien accordé au Matin Dimanche, J.C. Biver a indiqué qu’il aimerait à terme, que sa smartwatch soit fabriquée en Suisse. Ce qui n’est pas le cas actuellement, puisque si la montre a été imaginée en Suisse par TAG Heuer, les premières montres ont été fabriquées par Intel aux Etats-Unis. Toutefois, une partie de la production des microprocesseurs (le moteur de cette montre intelligente) devrait être installée au printemps prochain à la Chaux-de-Fonds, dans le fief de l’horlogerie traditionnelle.
Toujours selon JCB, « la montre connectée ne jouera pas le rôle de la montre à quartz de l’époque, car la montre connectée ne remplacera pas la montre mécanique, mais sera plutôt complémentaire. On pourra posséder les deux produits dont les fonctions, l’esthétique et les rôles sont totalement différents ainsi que le sont leur prix et leur cycle de vie ».
Selon les dernières informations, TAG Heuer aurait vendu jusqu’à maintenant 6.000 exemplaires de sa montre connectée commercialisée dans les 1.500 euros et développée avec Intel et Google. Rappelons que pour le moment, ce garde-temps ne bénéficie pas du label Swiss made.
Récemment, dans un entretien accordé au Matin Dimanche, J.C. Biver a indiqué qu’il aimerait à terme, que sa smartwatch soit fabriquée en Suisse. Ce qui n’est pas le cas actuellement, puisque si la montre a été imaginée en Suisse par TAG Heuer, les premières montres ont été fabriquées par Intel aux Etats-Unis. Toutefois, une partie de la production des microprocesseurs (le moteur de cette montre intelligente) devrait être installée au printemps prochain à la Chaux-de-Fonds, dans le fief de l’horlogerie traditionnelle.
Toujours selon JCB, « la montre connectée ne jouera pas le rôle de la montre à quartz de l’époque, car la montre connectée ne remplacera pas la montre mécanique, mais sera plutôt complémentaire. On pourra posséder les deux produits dont les fonctions, l’esthétique et les rôles sont totalement différents ainsi que le sont leur prix et leur cycle de vie ».
Selon les dernières informations, TAG Heuer aurait vendu jusqu’à maintenant 6.000 exemplaires de sa montre connectée commercialisée dans les 1.500 euros et développée avec Intel et Google. Rappelons que pour le moment, ce garde-temps ne bénéficie pas du label Swiss made.
